15 MAI 1978.- D.IOI entre MONTILLY et BGNEUX.-(03) 00000 0000 HEURE 02 H 00. TEMOIN: Melle Jacqueline B. (anonymat demandé) 24 ans. Enseignante. LES FAITS: Aprés avoir passé la soirée chez une amie de MONTILLY, Melle B. reprit la route peu avant, deux heures du matin. Au volant de sa R 5, elle arriva au carrefour entre la D. I3 et la D. IOI à la sortie de l'agglomération? c'est alors qu'elle remarqua à travers son pare brise droit devant elle à une altitude estimée à 300 m, un objet insolite de couleur orange terne yaht tout à fait la taille apparente et la forme d'une demi-lune. 2 Le dit objet se mit alors à suivre le véhicule à des distances différentes étant donné que la taille apparente variait considétablement. Tantôt à droite, tantôt à gauche de la route, la poursuite se prolongea sur 3 kms jusqu'au lieu dit LAUGERE. A cet endroit, à 6 ou 700 m à gauche de la route et à une dizaine de mètres d'altitude, Melle B. vit ✓ suvitement apparaître une boule incandescente orange qui se transforma en une masse de forme étrange. (Voir croquis) Cette transformation s'opéra DU HAUT VERS LE BAS, COMME UN STORE QUE L'ON BAISSERAIT, La base du phénomène touchait le sol ou en était trés proche. Tout le paysage se trouva alors éclairé comme en plein jour, l'intérieur du véhicule était lui aussi baigné de lumière. Soudain, semblant jaillir de l'extrêmité supérieure de l'objet, un immense faisceau lumineux blanchâtre s'évanint 20 à 30° environ apparut, se perdant dans le ciel où il éclaira quelques nuages épars. Paniqué, le témoin accé- léra manquant de peu de quitter la route dans un visage négocié en catastrophe. Cette panique jointe à la brié- veté de l'observation (quelques secondes) fit que le témoin n'eut pas le temps d'enregistrer beaucoup de détails, mais elle se rendit parfaitment compte de L ENORMITE de la chose AUSSI HAUTE QU'UNE MAISON DE DEUX ET AGES. Dés qu'elle arriva au village voisin, Melle B. se sentit en sécurité, mais elle n'avait pas hélas observé la dis- parition du phénomène qui d'ailleurs avait assez rapide- ment été cabhé par des arbres et des vallonements. Passé BAGNEUX, en direction de ST LEOPARDIN d'ANGY où elle habite, Melle B. remarqua encore dans le ciel la présence d'un objet en forme de croissant de lune, d'une couleur orange terne qui évoluait, les pointes, tantôt vers le haut, tantôt vers le bas et qui se mit lui aussi à suivre le véhicule jusqu'à ce que le témoin arrive chez lui. Vers 02 H 15, Melle B. fut chez elle et réveilla ses parents. Mme B. traînée par sa fille jusqu'à la fenêtre put assister à une curieuse manifestation céleste. A un moment les nuages parurent s'ouvrir lentement et il en sortit une lumière verte vaporeuse non éblouissante. Puis les nuages se refermèrent. Le phénomène se répéta encore deux fois au SUD. OUEST alors que la première fois il avait eu lieu plein SUD. Enfin, quelques secondes plus tard, Mme B. aperçut au SUD. OUEST, un objet lumi- neux ponctuel rouge qui disparut rapidement. **** L' ENQUETE: Elle fut menée le jour même par M. JARDILLIER qui. malgré la "fraßcheur" de l'évènement et bien du mal à obtenir des précisions de la pas du témoin qui dans sa panique avait avant tout pensé à se mettre en sécurité. Ainsi, il fut impossible de retrouver le lieu exact de l'observation, le témoin était incapable de le reconnaître sur une portion de Poute de quelques kilomètres. Un endroit présumé fut déterminé. Le campagne y est constituée de champs délimités par des haies avec quelques arbres et taillis. Malgré une longue prospection sur place, il ne fut pas posible de trouver des traces supsectes ou d'obtenir dans les domaines voisins un témoignage qui aurait pu apporter confirmation. Les agriculteurs des lieux n'entendirent aucun bruit et ne remarquèrent aucune agitation anormale parmi leur bétail. A l'endroit présumé passe une ligne H.T. Surant la courte phase d'observation de l'objet principal au ras du sol, le témoin put enregistrer des faits qui pour lui constituent des " impossibilités " mais qui en fait sont par- faitemabt connus de ceux qui s'intéressent à l'ufologie. Ainsi Melle B. ne comprit pas comment malgré l'intensité de la lumière émise (illuminant toute la campagneà elle put néanmoins observere les contours parfaitemanit nets de l'objet, impeccablement découpés sur le fond noir de la nuit. En outre, Melle B. suite à une question posée par l'enquêteur, confirma, DETAIL ABSURDE POUR ELLE, que la lumière émise ne provoquait aucune ombre. Nous ne croyons pas utile de rappeler les dizaines de cas où de tels phénomènes furent observés. COMMENTAIRES DU DELEGUE REGIONAL : Il y aurait beaucoup à dire sur cette observation qui constitue un véritable festival de phénomènes" para-lumineux). Nous n'y reviendrons pas, ayant déjà eu l'obcasion de traiter le sujet à plusieurs reprises. TOURI Nous voudrions simplement apporter un élément troublant dont M. JARDILLIER ne pouvait pas avoir connaissance. Dans l'Allier, la quasi totalité des atterrissages sont rigoureusement alignés (sur une droite d'ailleurs prati- quement parallèle à BAVIC) or, ce qui somme toute assez remarquable, c'est que cette ligne d'atterrissage coupe trés aráctement la D. IOI dans la portion ou Melle B. fit son observation. Quel dommage que le témoin n'ait pas pu préciser. ENQUETE DE M. JARDILLIER (Ref. 1.000.000. 150578) LDLN No 184 (AVRIL 1979) P. 26.27. "pisceau humineux jobjet osamage олонде sol Croquis de l'offet "Hout comme une maison de 2 étages"