9 DECEMBRE 1977.- (Vendredi) LIEU DIT FONTFAURET.-(24) 000 000000000 HEURE: entre 18 H 15 et 18 H 45. TEMOIN Chantal X. LIEU DIT FONTOAURET, commune de Rampieux (Dordogne). LES FAITS : Chantal, le témoin, vient de terminer ses devoirs dans la cuisine. Elle se dirige vers la fenêtre donnant sur une grand pré, et se dispose à fermer les volets quand, à travers la vitre, entre les rideaux légèrement tirés, elle aperçoit, venant de la direction S. ou S.. elle ne peut le préciser un objet volumineux, d'environ 7 mètres de longueur et de 2 m 50 à 3 mètres de hauteur, d'un rouge brillant, de forme comparable, selon ses dires, à un oeuf aplati aux deux bouts, qui se déplace à vitesse trés lente (20 à 30 km/h) sensiblement au-dessus des arbres bordant le champ à sa limite opposée. Cet objet va se poser dans le pré, en face d'elle à 75 m environ. Auparavant, durant la courte trajectoire, s'offrant à ses yeux, rien de particulier. Mais, dés que l'objet amorce la descente aui lui a paru se faire sans ralentissement notable, elle voit sortir successivement de dessous l'objet B ou 4 pieds. Chantal a bien entendu un bruit de moteur comparable à celui d'une 203 Peugeot à son régime normal, mais ce ronflement s'est arrêté à l'atterrissage. C'est alors le silence absolu. L'objet est d'un rouge trés vif, semblable à celui émis par les feux stop des véhicules. Je ne peux pas mieux le comparer nous affirme le témoin. Cette lumière constante couvre uni- formément l'objet et dessine parfaitement ses contours sur lesquels elle n'aperçoit aucune aspérité. Quelques minutes aprés, de l'arête supérieure de l'engin et de son centre, va sortir, face à elle, un être trés grand - 2 m, 2 m 50- vraisemblablement plus proche de 2, 50 m, qui s'élevera jusqu'à l'extrême limite côté droit (par rapport au sens de l'atterrissage) descendra, sans le toucher, de profil, jusqu'au sol, le longera, toujours de profil, accomp- lira l'ascension côté gauche et réintégrera l'objet sans qu'aucune porte en saillie ne se manifeste. Durant tout ce parcours, effectué lentement et sans à coups, tous les membres de l'humanoïde sont restés droits et immo- biles. Chantal n'a vu ni échelle expérieure, ni raccordement quelconque de l'être avec l'objet. Un court moment s'écoule, puis nouveau et même bruit. L'objet s'élèvera verticalement, décrira une légère courbe à partir du Ièr point, traversera le CD. 660 et atterriza à 150 mètres au ras d'un bosquet, à 10 m environ de la route et à 50 m de la maison. Chantal a l'impression qu'il ne s'est pas posé à la verticale, comme lors du Ier atterrissage. Le bruit s'arrêtera soudain, dés le contact au sol, mais sa forme, sa luminosité et sa couleur resteront identiques. Pour suivre ses évolutions, entre les 2 atterrissages, le témoin a quitté la fenêtre de la Ière observation pour se mettre derrière celle qui ouvre sur le chemin départemental. Ces 2 fenêtres étant trés prés l'une de l'autre, elle a pu le faire sans avoir à le quitter des yeux plus de 2 ou 3 secondes, selon nos tests. Il restera là, autour de 2 minutes et s'élèvera jusqu'au dessus des arbres pour disparaître derrière eux définitive- ment, direction N.NW. [9.0 Jendre PRECISIONS COMPLEMENTAIRES : I. sur LES FAITS : Selon le témoin aucune voiture n'est passée durant les faits. Autour des lieux, pas d'antennes TV. ni de matières métal- lisées ou brillantes. Deux lignes téléphoniques dont l'une longe le CD. 660. Une ligne B.T. et des clôtures électri- fiées à partir de postes portatifs. Ce soir là, le ciel est clair et étoilé. Pas de lune, pas de vent. 2. SUR L'OBJET : Outre, ses dimensions et sa couleur, nous répéterons les propos de Chantal; sa lumière trés vive était bien soutenable et n'a pas du tout fatigué les yeux. Elle 1'a regardé cependant durant environ 10 mn au sol et 15 mn au total. Posé, il se situait sensiblement à son niveau. Quant à sa hauteur durant la trajectoire, nous l'estimons d'aprés les relevés sur place et les indications du témoin, autour de 12 à 15 mètres bien qu'il ait semblé à Chantal être juste au-dessus des supports téléphoniques. 3. SUR L'IMPACT PSYCHIQUE, PHYSIQUE et autres.: Pas de troubles chez le témoin, autres que ceux du 9/12 au soir. Soucieuse et quasiment muette. Pas de modifications apparentes de son comportement jusqu'à ce jour. Revenons à ce Vendredi soir, entre 18 H 30 et 19 H 00, la mère de Chantal revient avec son enfant de la grange. Trés troublée le témoin lui raconte l'extraordinaire qu'elle vient de vivre. Sa mère croit à ses dires, même si elle lui en exprime des réserves. Plus tard, aprés 20 H 00 arrive sa soeur, puis son père. Nouvelles explications. Son père, à son arrivée, se rend compte qu'il y a de 1'énervement 210349 1¹ dans la maison. Il nous a dit. Alors peut-être que Chantal s'est régugiée dans le mutisme ? Le chine attaché prés de la maison n'a pas aboyé. Aucun trouble, pas plus que sur les autres animaux de la ferme. Toutefois, la mère de Chantal nous a fait part d'une curieuse réaction des vaches le surlendemain des faits. Ce jour là, contrairement à l'habitude, elles ont été subitement excitée: sautant dans tous les sens comme si elles avaient subi une succession de décharges électriques. Cela se serait produit dans le pré, hors des clôtures, sur une bande de terrain de I, 50 m à 2 m maximum, prés du CD. et se serait reproduit pendant 2 ou 3 jours consécutifs dans ce même couloir. Cette largeur "névralgique peut fort bien être sous la trajectoire de l'objet. L HUMANOIDE : Il lui est apparu avec une netteté parfaite, sans aucun appareil, tige ou antenne extérieure. Sa tête est carrée de couleur gris-blanc. Une vitre sombre impéné- trable, couvre toute la face. Son cou est court. Son vete- ment, type scappandre, bosselé, aussi bien sur le corps que sur les membres est de couleur gris moyen (et d'une seule pièce). Jambes téés longues, disproportionnées avec la taille, qui elle même est mince Les bras et les mains paraissent mieux proprotionnées. Les doigts, au nombre de cing (elle a insisté sur ce point étaient aussi recouverts, mais non bosselés) sont légèrement écartés. Les pieds par contre, elle ne les a pas vus. Le croquis qu'elle nous en a fait, s'inspire sans doute de ceux de l'objet dont elle ne l'a pas dissocié, ou d'une vision figitive. On ne sait. Lorsque l'humanoide est sorti de l'objet il s'est élevé à environ I m. Comme il se mouvait à l'intérieur du ayonnement, on peut estimer que ce dernier était supérieur à 4 m. Les vêtements n'étaient pas brillants (plutôt ternes). PRECISIONS COMPLEMENTAIRES : Nous insistons sur ce point, qu'il se déplaçait, tel un cosmonaute dans l'apesantenne mais sans qu'aucun de ses membres n'ait la moindre flexion, le moindre mouvement. Il est toujours resté trés droit. Ces pieds semblaient glisser sur l'herbe. A combien se trouvait-il de l'engin? A Im, I m 50. L'être est donc sorti de face et a fait le tour de l'objet de profil. Ce I/4 de tour a échappé au témoin. Il s'est toutefois effectué avant la descente, si nous nous fions à ces propos. LES TRACES : Au Ier atterrissage, deux empreintes de pied seulement auraient été identifiées par le père du témoin, sans autre détail sur leurs caractéristiques; 1'herve avait environ 25 cm; ceci explique sans doute celà. Nous avons procédé sur le travail par triangulations. Les pans coupés et les tangentes se retrouvent bien sur le plan. Donc, cette figure asymétrique cerne la vérité. Des tuiles avaient été mises le surlendemain de l'atterrissage à chaque pied de l'objet par les parents du témoin. Il ne semble pas qu'elles aient été déplacées. L'absence prolongée d'herbe à ces endroits tend à le démontrer. Cependant, l'espacement entre les pieds ne peut-être considé- ré comme absolument précis. L'herbe était encore fanée le lendemain comme ayant souffert d'une forte chaleur. Elle était couchée dans le sens de la trajectoire de l'engin. Au 2ème atterrissage, les empreintes des pieds ont été vues par Chantal, ses parents et des témoins dignes de foi. 9 ont été relevées. L'ont-elles toutes été ? Leur enfoncement dans le sol était inférieur à I cm. Cepen- dant celui-ci était imprégné tout au moins humide, car nous avons relevé la pluviométrie des 15 jours précédents : elle est de l'ordre de 30 mm avec 15 mm 1'avant veille des faits. Le pré est exposé face SUD et clôturé. Il est presque dénudé en bordure du bosquet. La terre ets argilo-sableuse. Pas de paccage depuis quelques temps déjà. LE MILIEU FAMILIAL. LE TEMOIN : Nous situons cette famille modeste, de souche paysanne dans le contexte. Elle se compe se de 7 enfants, âgés respectivement de : 28- 21-19 - 15 - 12 8 et 5 ans 1/2. Quatre sont à charge. L'aînée des quatre est interne dans un CES et ne rentre que le Vendredi soir, aprés 20 heures. L'avant dernier est, au moment des faits avec sa maman dans la grange et la plus jeune se trouve avec le témoin dans la cuisine. Chantal la tiendra volontai- rement ou non (difficile à apprécier) en dehors du phénomène. Agée de 12 ans, elle est élevée au C.E.G. de BEAUMONT DU PERIGORT. Le papa travaille dans une Entreprise de TP. Il rentre tard. Ww La maman qui reste au foyer pour s'occuper de la maison, des enfants et des nombreux animaux de la ferme. Beaucoup de volailles pour nourrir toute cette famille en excellente santé, se trouve à ce moment là dans la grange, proche des lieux deatterrissages. Mais occupée par son travail, elle n'a rien vu, ni rien entendu. Les ouvertures de la grange sont opposées au Ier atterrissage. Elle est sortie peu de temps aprés la disparition de l'objet. Pas de télévision à la maison construite il y a 8 ans. grave Un transistor sert à s'évader hors des limites coutumières. Chantal, apparemment, ne lit pas d'ouvrages de science-fictio ou d'épouvantes. Elle n'est pas loguace, mais éveillée. Avant le 9/12/77, elle avait entendu baguement" parler du phénomène OVNI sans, semble-t-il y attacher d'importance. C'est possible, car le témoin n'est du tout genre scrutateur du ciel. En outre, l'activité ne manqae pas autour êt dans la maison. Nous devons également signaler qu'au cours de nos fréquentes visites, nous n'avons jamais enregistré de contradictions dans la relation des faits, malgré des questions piège. Certes, dans les détails, apparaissent des omissions; des trous subsistent. Nous les mettons sur le compte du recul et de la peur. 17 Pour ce qui concerne l'essentiel, elle a été précise, affir- mative et spontanée. A titre d'exemple, nous mentionnons que dés notre Ière visite, nous lui avons présenté le croquis de l'objet qui avait été envoyé à LDLN d'aprés ses descrip- tions. Elle s'est exclamée, "Non, c'est pas comme ça ! Et lui a donné déjà la forme que nous retrouvons sur l'objet planifié. Avant de terminer ce paragraphe, nous nous devons de remer- cier toute la famille présente, de son extrême amabilité, de son accueil et de son concours et de conclure par une appréciation de M. L'Abbé Fournel, curé de Rampieux, sur Chantal qu'il connaît bien: "Elle a les pieds sur terre.!* LES LIEUX L'ENVIRONNEMENT : FONTFAURET est un lieu dit de la Commune de Rampieux, située en bordure du CD.660 entre Beaumont du Périgord au N.W. et Monpazier au S.E. à peu prés à égale distance des 2 chefs-lieux. nedo sit mb Deux immeubles y sont édifiés : l'un vétuste et inhabité, 1'autre de construction récente où vit la famille X. Il n'y a pas d'autres maisons d'habitations dans un rayon de 200 mètres. Situé sur un plateau à 196 m d'altitude, le hameau est blotti entre des haies et bosquets. Un bois relativement important d'essences diverses, bouche, l'orizon sur toute la face Sud. Une seule percée ouvre sur le village à SBORJOU situé côté N.E. à environ 600 m. Mais aucune maison de ce village n'est habité sur la façade FONTFAURET. Prés des lieux d'atterrissages, alternant des prairies avec des terres arables. Beaucoup d'arbres fruitiers. La terre est riche. Côté oriental, la forêt de la Bessedé vient mourir à quelques kms de là. La région périphérique est parcourue par de petits ruisseaux, affluents de la Couze au Nord et du Dropt au Sud. Le premier se jette dans la Dordogne, le second dans la Garonne. La configuration générale du terrain est ainsi représentée par une succession de collines et vallées, parfois avec des activités assez importantes. CARTE GEOLOGIQUE : I.- Un anticlinal se termine au N.W. de Fonhfauret (à 30 kms à vol d'oiseau). Il s'étend sur 40 kms environ de Mauriac, prés Neuvic en Dordogne à Mouleydier. Son tracé est jalonné par de petites failles à faibles rejets. 2.- Un accident anticlinal de 25 Dus de long de direction N.W. fait apparaître le campanien au milieu du Maestrich? tien sur plus de 40 m de haut dans la vallée de la Couze. Son axe est jalonné par des affleurements campaniens de St Avit Mont Ferrand. -3 DOOX Difficile de tracer une droite à travers la Dordogne sans passer sur un témoignage du passé historique ou préhistori- que. Les alentours de Fontfsanet n'achappent pas à la règle. Lenéolithique se manifeste par deux monuements mégalithiques, l'un est détruit. Le Dolmen de Blanc dresse toujours sa fière et imposante allure. Une légende lui est rattachée, la voici : " Une jeune bergère surprise par l'orage, se recommande à Dieu, Aussitôt de gran- des pierres se dressèrent, lui faisant comme une allée cou- verte. L'orage avait beau gronder, la bergère était à l'abri." D'où le nom de la Grotte de la Vierge donné à ce Dolmen. C'est un des plus beaux du Périgord. Nous n'avons pas connaissance de site Gallo-Romain remarquab- le. Du XIème au XVème siècle, le moyen âge est hautement repré- senté Chapelles, Eglises, Romanes, Eglises fortifiées, Bastides Anglaises, ou Franco-Anglaises, Casernes et Eglises des Templiers, Abbayes et Cloîtres. Nous trouvons tout cela dans un rayon de 10 à 15 kms autour de Fontfauret. Nous citons particulièrement: Beaumont du Pg, Bastide du XIIIe, Chapelle Romane XIe - CDDOIN: Eglise Romane XIe - (s Edifice abrite une pièce de tissi oriental XIe ou XIIe siècle, a longtemps passé pour le suaire ayant enveloppé le Christ). Un magnigique cloftre du XVe ou XVIe Abbaye Cister- cienne (Merchadier, lieutenant du roi Richard Coeur de Lion a fait une pieuse donation à cette Abbaye. Il y a un acte authentique). St Avit Senieur Belle église XIIe XIIIe (il subsiste quelques arcades d'un ancien cloître, fût un centre trés important) Montferrand du Pgd château fort; halles du XIIIe église romane. Ste Croix Eglise des Templiers (il y tolttia rait une crypte sous l'église) caserne des Templiers. Monpazier fondé en 1284 par Edouard Ier d'Angleterre est une bastide imposante. Sous le village des Andrieux, il y aurait une grotte naturelle souterraine importante. C'est prés de co village que le II/12/1977, Chantal, sa mère et ses deux jeunes frères auraient vu un objet à trés faible altitude ayant même forme et même grosseur que celui du 9/12/1977. Cette observa- tion aurait été faible à peu prés vers 18 H 30. COMMENTAIRES PERSONNELS : Chantal est l'unique témoin des atter- rissages dont l'un avec sortie d'humanoide. Est-elle ou non capable de fabulation ? Difficile d'affirmer ou d'infirmer. Pourtant nous nous sommes donnése du mal pour essayer de cerner sa personnalité et de faire jaillir cette étincelle qui efface- rait le doute. Or, c'est indéniable, Chantal a vu quelque chose ce soir là. Il y a du positif dans le récit des faits. Sans un concours extérieur, il lui est impossible de relater tel ou tel détail qu'une personne rompue au phénomène OVNI aurait perna à imagi- ner. Sans les répéter tous, nous citons en particulier : La tête de l'être est gris blanc; le vêtement du corps est gris moyen. Il est sorti tout droit de l'engin et en a fait le tour de profil. La " vitre " couvre le visage et non toute la tête. Il a des jambes longues et disproportionnées avec la taille. Le corps est mince. Le cou est court. Sa hauteur ? Pourquoi n'aurait-il pas eu I, 50 m au lieu de 2, 50 m. Org cette hauteur approche des probabilités. Quant à l'objet, elle a rejeté tous ceux qui nous lui avons proposé, y compris les plus approchants de son croquis initial. Un seul est en lice, et cela se termine par rapport valable ETRE OBJET. Enfin, il y a les traces et leurs témoins digne: de foi. WALIN ye MONDSSTE de foi. Le négatif se situe dans l'environnement et sur des points particuliers non négligeables. al L'absence de la mère au moment des faits qui revient de la grange dés la disparition de 1'OVNI. b) Le bruit de l'engin n'aurait-il pas dû attirer son atten- tion lorsqu'il est passé au-dessus du pré, à côté de la grange? (Elle nous a dit à ce sujet qu'en trayant les vaches et avec leur remue-ménage " elle n'a rien entendu). c) Est-il stir que son enfant, fort remuant, soit toujours resté auprés d'elle pendant 15 minutes, sans mettre le nez dehors ? d) Le cadet qui est à côté de sa soeur dans la cuisine, et qui n'a rien vu, alors que les volets des deux fenêtres ne sont pas fermés et que passe juste devant ce volumineux objet qui irradie tout autour. c) La visite sur les lieux de la Gendarmerie, le surlende- main de l'atterrissage qui, aprés des témoignages contra- dictoires et aprés avoir entendu les parents de Chantal conclut Affaire sans intérêt. f) L'article paru dans la presse signalant que contraire- ment aux bruits, il s'agissait d'un ballon sonde. g) Le témoignage négatif d'un chauffeur de camion qui serait passé durant les faits. h) L'absence d'intérêt des frères et soeurs de Chantal (19 et 15 ans) à ce qu'elle aurait vu. Nous avons contacté le Cat de la Brigade de Gendarmerie de Beaumont de Perigord qui nous a trés gentiment relaté 1'enquête et nous a dit d'agir avec prudanee. Pour eux, l'affaire a été classée sans suite. tatoo tol ob Par contre, M. L'Abbé Fournel, à l'origine de notre enquête, accorde une grande confiance à Chantal et à son témoignage. Nous ajouterons que toute la famille a subi les assauts cri- tiques des allergiques au phénomène OVNI. A tel point qu'il n'est plus question depuis déjà pas mal de temps de parler de tout ça ". Merci à cette chamante famille d'avoir fait pour nous excep- tion à la règle et de nous avoir permis de mener cette post- enquête difficile dans d'excellentesee conditions. Merci à M. L'Abbé Fournel d'avoir établi les contacts de nous avoir toujours accueillis avec plaisir. Malgré tous nos efforts, bous avons sûrement négligé des points importants, il suffit de nous les rappeler. On ne peut de toutes façon, considérer cette enquête comme définitive- ment close. ENQUETE DE MM. R et PH. DARNAUBGUILHEM. LDLN n ) 183 (Mars 1979) P. 22. 23. 24. 25. 26. 27.