12 NOVEMBRE 1977.- ANICHE .-(59) 000000 HEURE: entre MINUIT et MINUIT 30. TEMOINS : M. R. MINOL, 19 ans, résidant chez ses parents, cité de l'Archevêque, profession; ébéniste. M. et Mme LECLERCQ, ses parents (remariage). LIEU ANICHE (nord), Michelin 53, pli 4, en bordure de la N. 43 A, reliant DENAIN à DOUAI. La région est plate et caractéristiques du pays minier; pas de sources ou marais, pas de Centrale Electrique ou de poste de transformation EDF. Cette nuit là, le ciel était clair et étoilé, il fai- sait sec, avec un peu de vent. La lune n'était pas visible (NL). LES FAITS: R. MINOL rentrait chez lui aprés avoir passé la soirée chez sa fiancée. Comme à son habitude, avant de se mettre au-lit, il flana quelques instants dehors. Levant la tête il resta pétrifié de stupéfaction par le spectable qui s'offrait à lui. Alors que rien auparavant ne troublait le ciel nocturne, presque à sa verticale se trouvait une énorme boule lumineuse, blanc laiteux, non éblouissante. Les bords en étaient précis. L'ensemble subis- sait des variations d'intensité lumineuse trés lentes et irrégulières, mais n'allant pas jusqu'à l'extinction. Cette"boule" était régulière mais le témoin se souvient bien qu'elle avait les pôles un peu plus aplatis mais res- semblant tout de même plus à un ballon de football qu'à un ballon de rugby... Pour avoir une idée du diamètre appa- rent de cette boule, le témoin fût prié de donner une IS I grandeur sur un double décimètre tenu à bout de bras. Mais il leva les bras au ciel, et ayant trés bien compris ce que 1'on attendait de lui, compara la taille apparente à celle du porte-documents de l'enquêteur, qui mesure 40 cm. Plusieurs fois lors de notre entretien nous reviñes sur ce point, et chaque fois le témoin assuré de sa bonne compré- hension et répata que ce phénomène faisait dans le ciel, une tache aussi grande que le porte-documents. Par contre, il n'avait aucune idée de la distance éventuelle entre lui et cette boule. Conscient qu'il voyait un phéno- mène inhabituel, il appela sa mère et son beau père afin qu'ils constatent avec lui. Ils sortirent l'un et l'autre, avec le chien bâtard qui vit dans la maison et ne manque jamais l'occasion d'aller faire un tour en solitaire ! Mais à ce moment là exceptionnellemaht, dés qu'il fut dans la cour, il fit immédiatement demi-tour et rentra précipitam- ment dans la cuisine. A l'apel de son fils, Mme DECLERCQ crût d'abord qu'il était malade, elle dira: " Il avait une voix étrange, j'ai cru qu'il avait besoin d'aide...". Elle sortit donc, suuvie de peu par son mari. Elle voulut allumer la lampe de la cuisine, mais le témoin principal l'arrêta, lui disant quèà son avis, ob ne verrait plus rien, tout devant " s'arrêter ". Le récit de Mme DECLERCQ concorde exactement avec celui de son fils. Par contre, celui de son mari est différent. A son épouse, à son fils, à l'enquêteur, il dira avoir vu "La Grande Ourse "(sic). Par contre, il dira déjè avoir vu un OVNI, juste aprés la guerre, entre SOMAIN et DOUAI; cette