II MARS 1977.-
MERVILLE
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77105362
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FRANCEVILLE-PLAGE.-(14)
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Heure: 20 H 20 env.
pendant 25 mn.
TEMOINS : M. BREARD, sa femme et Mme PERRIN et son fils.
LES FAITS: M. BREARD rentrait de son travail au volant
de sa Renault 16 et arrivait au niveau du pont de Cabourg,
il aperçoit dans le ciel un objet intensément lumineux
de couleur jaunâtre affectant la forme d'un disque dont
le diamètre apparent correspond approximativement à 4/5°
de celui de la pleine lune.
M. BREARD observe l'objet à travers son pare brise, car
1'OVNI le précède en gardant toujours la même distance
entre lui et la voiture qui roule à 70-80 km/h. Le
témoin est littéralement subjugué par ce qu'il voit,
comme il pleuvait légèrement le témoin avait branché les
essuie-glaces de sa voiture il constate que ceux-ci vont
anormalement vite. Arrivé à la sortie du Home bourgade
situé à 2 kms de FRANCEVILLE, 1 OVNI effectue un virage
à angle droit et s'éloigne sur la droite du témoin en
direction de la mer. Une fois à FRANCEVILLE, M. BREARD
se dirige immédiatement sur le parking donnant sur la
plage où il espère retrouver 1'0.V.N.I. Effectivement,
il observe maintenant 1'OVNI qui s'est stabilisé au-
dessus de la mer, au large de QUISTREHAM. Il eut l'idée
alors de se servir de son avertisseur sonore pour attirer
l'attention de la famille PERRIN. M. PERRIN étant absent,
Mme PERRIN et son fils observèrent depuis le balcon
1 OVNI équipés d'une paire de jumelles. Aux jumelles,
l'objet avait la forme d'un " haricot " avec des lignes
courbes verticales, plus lumineuses que l'ensemble de
1'objet. Puis M. BREARD est rentré chez lui pour se munir
de sa parte de jumelles plus puissantes que celles de
Mme PERRIN. Lorsqu'il est revenu sur place il était accom-
pagné de sa femme. Ils purent ainsi observer 1'6VNI qui
était devenu légèrement verdâtre. L'objet se mit alors à
se déplacer légèrement en prenant une forme légèrement
ovale en accélérant d'abord doucement, puis de plus en
plus vite et reprendre sa forme première de disque, pour
disparaître définitivement en direction du large.
A noter que M. et Mme BREARD ont été relativement impres-
sionnés par cette observation.
ENQUETE DE M. CHEVALLIER (GENPI)