DERNIERE SEMAINE DE MARS 1977.- CHAMBOLLE - MUSIGNY.-(21) 000000000000 0000 HEURE de 02 H 15 à 04 H 00. TEMOINS: Anonymat demandé (témoin principal cas nº I, son frère et leur grand-mère). a) Vers 02 H 15 du matin, le témoin principal remontait la grande rue du village avec 6 ou 7 camarades (-noncontactés) quand, arrivés au niveau de la 2ème pompe (point d'eau potable avec bac en pierre) un des garçons, aperçoit au sommet de la colline identique au cas de Mi-Juin 1974), prés d'une grotte comme des jeunes gens, une lumière ou un faisceau dont l'intensité est assez forte puisque le témoin la compa- rera à de la lave de volcan. Cette lumière est particulière- ment aveuglante, mais reste figée. De cette clarté fixe une lumière vert pâle s'est étalée sur le vignoble et s'est arrê- tée à 4 ou 5 mètres environ des témoins. A l'endroit où se trouvait la clarté takée étalée, les témoins voyaient mieux qu'en plein jour puisque le témoin principal, affirme qu'ils voyaient à travers la végétation et de ce fait apercevaient un mur non visible de jour au même endroit (arbustes et buis- sons). Après une immobilité d'environ 2 minutes, la lumière s'est résorbée vers la source fixe. Une fois la lumière comp- 1ětement résorbée, le phénomène disparut (ou s'éteignit) le processus complet abec apparition identique se répéta 4 ou 5 fois dans un laps de temps rapproché sans variante parfai- tement la colline s'est résolument engagé dans un sentier menant au sommet, croyant que la lumière pouvait être un in- cendie. Tout en montant il aperçut la lumière s'étaler et 90 venir vers lui. A un moment qu'il ne put me préciser, l'ensemble du phénomène disparut (comme on éteint une lampe) instantanément. Le témoine eut l'impression de ressentir une sorte de courant d'air ou violente dépression " au moment de la disparition. Ce n'est qu'en rentrant chez lui aprés qu'il apprit la Ière partie du témoignage. ENQUETE DE Alan JEANNIARD DU DOT. LDLN No 185 (MAI 1979) P. 25.26.