GROUPEMENT REGIONAL DE RECHERCHE OVNI.PECHABOU 31320 CASTANET
ENQUETEUR: DENISE LACANAL.
TEMOIN: Madame EVELYNE SPECIEL. 25 ANS. EDUCATRICE SPECIALISEE.
10, Rue A. CAMUS BT.A 31320 CASTANET.
LES FAITS
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DATE: Dernier dimanche de NovembreI1936 1976. A FIGEAC Lot et
(283
Garonne
Il était 19h30. Je me trouvais chez mes parents, Monsieur
et Madame LOMPUECH, 9 bis dar du Boulevard a FIGEAC. J'étais ave
ma mère. Mon mari était parti accompagner ma soeur qui prenait
le train pour Toulouse.
Ma mère regardait par la fenêtre de la salle de bains
pour voir si ma soeur ne manquait pas son train, car depuis cet
te fenêtre on voit la gare et un morceau des rails. J'étais dan
la salle a manger. A cette époque de. 1'année il faisait déja
V
nuit. C'est ma mère qui la première a observé des lumières étra
détachaient sur la masse noire de la
ges inhabituelles, qui se
petite colline " Le Cingle" qui surplombe Figeac. ( a environ
I Km. a vol d'oiseau) Elle m'appela aussitôt : " viens vite!
estce que tu vois ce que je vois?" Je suis allée la retrouver
et j'ai moi aussi vu des lumières étrangessur une ligne. Cela
faisait des flashes tout le long, sur une ligne. Cela n'avait
rien de comparable aux lumières clignotantes des avions. Ces
" flashes " semblaient reliés sans la moindre séparation sombre
entre eux. On voyait le contour fonçé de la colline derrière.
La couleur était d'un blanc comme l'arc électrique. J'ai vu
cette expression sur un livre et je me suis dit " c'est tout
à fait cela ". C'était une couleur et une lumière que nous
n'avions jamais vu. On a remarque que les flashes étaient plus
importants a l'extrêmité gauche peut être parce que la " chose
semblait être en biais par rapport à nous et que c'était le
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coté gauche qui était le plus tourné vers nous. Nous avons
constaté que, au dessus des lumières il semblait y avoir une
forme sombre. En fait, nous en sommes sures. Cette " chose"
est donc passée sur le dessus de la colline, audessus d'une
ferme. Cela marchait lentement, comme un ballon. Bien plus
lentement qu'un petit avion. C'était plus gros qu'un gros
avion. Nous n'avons pas constaté de bruit mais la fenêtre était
fermée. Nous étions dans tous nos états.
Monsieur Spéciel, mari de Madame Spéciel déclare a son tour
: lorsque je suis revenu de la gare, j'ai trouvé ma femme et
sa mère dans le noir, l'une prés de l'autre, bouleversées. Ma
femme voulait partir sur la colline voir s'il y avait des tra-
ces. Je me suis d'abord moqué d'elles, mais devant leur état
j'ai compris que quelque chose d'extraordinaire venait de se
passer.
REMARQUE : malgré trois tentatives, il ne m'a pas été possi-
ble de rencontrer Madame LOMPUECH mère de MmE. Spéciel. Le
dernier rendez-vous était le 20 Décembre 1977. Mais Mme. Lom-
puech n'est pas venue au rendez-vous. Mme. Spéciel avait dit
que peut être sa mère ne voudrait pas parler de cela.
Croquis d'apres le temoin
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masse Sombre
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brillant
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FLASHES
FERITE
colline