25 NOVEMBRE 1976.- CD. 130 vers SAINT PIERRE DE BRESSIEUX.-(38) 0000000 HEURE environ 06 H 45 - 07.. COMPTE RENDU de M. C. Louis, 56 ans, cultivateur, demeu- rant à SAINT ETIENNE DE SAINT GEAIS (Isère), au lieu dit #Le Maté". "Ce jour, 25 NOVEMBRE 1976, aux environs de 06 H 45, j'ai quitté mon domicile. Je conduisais mon véhicule sur la route de ST MARCELLI, puis le CD 518, puis j'ai pris le CD. 130 en direction de SAINT PIERRE DE BRESSIEUX (38). Au lieu dit " Les Parprennières ", j'ai laissé mon véhi- vule en stationnement sur l'accotement herbeux, à gauche par rapport à mon sens de marche. Je connais la région car je viens souvent chasser. Ce matin, je cherchais un endroit pour me mettre à l'affit. Mon chien de chasse était enfermé dans le coffre de me voiture. Je suis sorti de la voiture et je me suis tomu prés de la porte. J'explorais le coin. Le temps était légèrement brumeux, mais il y avait une bonne visibilité car je voyais les coteaux de SAINT MICHEL DE SAINT GEOIRS (38). Le jour no devait pas tarder à se lever, il devait etre 07 H ou 07 H I0, car à ce moment j'ai entendu la caravelle vol régulier quitter l'aéroport de SAINT ETIENNE DE SAINT GEOIRS. C'est en regardant lex côteaux de St Michel de St Geoirs que j'ai cru voir un feu de cheminée aux envi- rons de cette agglomération. J'ai vu une lueur rouge qui scintillait avec des étincelles. Etant loin de toute agglomération, je ne pouvais par faire appel aux pompiers. Le jour se levant, je me suis dit en moi-même que ce feu avait dit 8tre localisé par un habitant de la commune et que le nécessaire avait été fait. J'ai pris nonfusil de chasse dans mon véhicule, j'ai jeté un coup d'oeil et le feu de cheminée avait disparu. Gela a duré quelques secondes. De par ma position, je dominais le chemin départemental 130 B qui descendait vers le CD 518. De nouveau j'ai été attirée par une lumière qui scin- tillait, gence phare tournant des véhicules des Ponts et Chaussée. Je suivais des yeux cette lumière et, quand celle-ci était à environ une cinquantaine de mètres de moi, j'ai changé d'avis. Ce n'était plus le girophare des Ponts, mais une lumière se tenant à 10 mètres du sol. Je n'ai pas cherché à savoir ce que cela était, je n'ai fait que suivre des yeux cette lumière. Lorsque cette lumière était à 10 ou 15 mètres du sol, c'est-à-dire à 10 ou 15 mètres de noi, d'un seul coup, cette chose a pivoté d'un quart de tour. Je me trouvais en présence d'un objet de forme allongée, sorte de poisson ou cigare, long de 2 mètres environ d'un diamètre de 45 à 50 centi- mètres. Le fuselage cylindrique était incandescent en permanence et une lueur incandescente intermittente se propageait sur tout cet objet. Cet objet était immobile à 10 m du sol. Des flammes s'échappaient du fuselage, émises, sans bruit. J'ai dénombré au moins 3 rangées de petits carreaux de 4 à 5 cm de côté sur tout le fuselage dans la partie visible pour moi. Sur cette même partie xxxx à l'avant, il y avait un hublot d'un diamètre de 20 cm. L'ensemble rayonnait sans xebet arrêt. Il ne me semble gtx pas avoir vu le sol éclairé par la lucur de cet objet. Je n'ai pas eu peur, j'étais armé. Sur le coup je n'ai pas ponsé à un OVNI, j'ai plutôt cru à un engin secret militaire. Je n'ai pas voulutirer, je ne voulais pas avoir des enmis avec l'armée. Je l'ai observé durant une disaine de secondes, puis je me suis dit " J'ai intéret à mettre les bouts avant qu'il ne se produise quelque chose, on ne sait jamais." Sans perdre de vue l'objet, je suis rentré dans mon véhicule puis j'ai refermé la portière. A ce moment, l'engin s'est déplacé en direction du Sud, et sa vitesse était de 50 à 60 km/H, sans aucun bruit et toujours en émettant une luaur rouge sur tout le fuselage. J'ai perdu de vue cet objet dés 1'instant où il avait franc le sommet du côteau se trouvant au SUD. Je précise que mon chien n'a aboyé à aucun moment. Je suis le seul témoin je n'ai vu personne dans le coin. C'est la première fois que je vois une telle chose et j'ai poursuivi ma partie de chasse aprés cela, mais I kn plus loin. Mon intention était de garder mon aventure pour moi. Je ne voulais pas ne faire ridiculiser et je voulais éviter les journalistes. En rentrant à mon domicile, vers 08 H, j'ai raconté mon histoire à mon épouse. Je ne pouvais la garder cette chose me tracassait. Mon épouso m'a invité à me présenter à la gendarmerie. Je n'ai pas voulu vous voir plus tôt, car je ne voulais pas vous ennuyer avec mon histoire. Cet aprés- midi, mon épouse a fini par ne convainore. Je n'ai jamais été malade, j'ai seulement été soigné il y a trois ans pour une insuffisance mitrale, mon coeur battait trop len- tement. Je me rends sur les lieux avec vous pour vous indiquer mon emplacement et la direction prise par 1'objet. Je vous remets un croquis avec les détails correspondants aux particularités vues sur cet objet." EXTRAIT DU LIVRE DE ROBERT ROUSSEL (Ed. Belfond) " CVNI FIN DU SECRET" P. 18. 119. 120.