2 AOUT 1976.- SAINT PIERRE SUR MER.-(34) oooooooooooooooooo00 76105608 Heure 03 H 30 TEMOIN: M. Jean Paul LACOMBE Instituteur à Béziers. Lot- Francès à MONTADY 34310 CAPESTANG, né le 28.8.1942. LES FAITS: M. LACOMBE en vacances à ST PIERRE SUR MER et ne dormant pas décide de se lever et d'aller faire une promenade sur le bord de mer (plage de sable) en direction de VALRAS. En revenant sur ses pas entre le camping de "Pisse Vache" et le " Rocher de St Pierre " au-dessus de la ligne d'horizon côté "terre" délimité par le massif de "La Clape ", M. LACOMBE voit un objet lumineux: centre comparé à deux parties arrière de " WOLSVGEN" formant la p parrie centrale principale. Cette partie centrale étant d'un bleu trés lumineux spécial comme un mélange de bleu métallisé clair et lumineux en soi et un peu de la couleur d'un arc électrique mais non éblouissant. Cette partie centrale était bordée tout autour de lumières oranges pulsant simultanément comme le feraient des feux de chan- gement de direction de voitures (environ I pulsation par seconde). V - Déplacement parallèle à la côte, vitesse constante. Dispa- rition vers l'intérieur des terres. DUREE DE L'OBSERVATION : entre 5 et 15 secondes. Dispari- tion par occultation, par les collines, en direction du fem "Gouffre de l'Oeil Doux ". Diamètre apparent estimé à 2 fois la pleine lune : vu à la distance de 250 à 300 m; matérialisée de façon assez précise par la falaise et les collines. UOA S Aprés s'être convaincu lui-même qu'il n'avait pas rêvé, M. Lacombe conscient de l'exceptionnel de son observa- tion a été fortement impressionné par son observation et c'est en habent le pas qu'il a continué son chemin en direction de sa maison à tel point qu'il a dû courir par moments. DURANT CE TRAJET IL A ETE PRIS D'UNE PEUR QUAIL S'EXPLIQUE RPRES COUP COMME UNE PEUR SUBJECTIVE ; IL A EU L'IMPRESSION INDEFINISSABLE DE QUELQU'UN QUI N'EST PAS SEUL OU DE QUELQU UN QUI SE SENT OBSERVE PAR DERRIERE M. Lacombe qui est un fervent de la parapsychologie et qui pratique des recherches d'hypnose pense avoir à ce moment là fait un barrage mental, une obstruction en quelque sorte à tout contact éventuelle et peut-être probable avec le phénomène ou l'intelligence du phénomène observé. IL DIT AVOIR EU UNE PEUR INTENSE" D'ENTRER EN CONTACT. En arrivant au port au pas de course, M. LACOMBE a été témoin d'un autre phénomène, toutes les lumières du bord de plage et du port (lampadaires) ont soudain été éteintes mais pas de façon normale, comme si l'on avait pompé la lumière. Par contre le café et le dancing La Sieste " sont restés éclairés de façon normale. Les lumières sont restées éteintes environ 15 secondes puis sont redevenues normales. M. LACOMBE est alors allé se coucher il n'a parlé à son épouse que plus tard, car le lendemain il a préféré gardes ses impressions pour lui. Il est à noter que Mme LACOMBE a été témoin le 4 AOUT 1976 à MONTADY d'un passage d'OVNI ce qui a décidé son mari à lui exposer son observation. NOTE :Renseignement pris auprés de M. MADOLE responsable toit de l'installation et de l'entretien de l'éclairage public de St Pierre qui nous a dit qu'une extinction progressive était impossible vu le type d'installation. ENQUETE DE M. GRAZI OLI. LDLN No 166 (Juin - Juillet 1977) p. 26 et 27.