Ier AOUT 1976.- BONCOURT (55) 0000⁰00000 76106016 HEURE 02 H 30. Les faits se sont déroulés à BONCOURT, un petit village situé au Nord de Cammercy dans la Meuse. Mme D. Colette, âgée de 43 ans, secrétaire demeurant prés de Nancy, faisait du camping avec des amis. Cette nuit là, elle partit pour assouvir un besoin naturel. Il faisait trés beau, le ciel était totalement dégagé et les étoiles apparentes. La personne ne se souvient pas d'avoir remarqué la lune. Au moment où elle quitta sa tente, son regard fut immédiatement attiré par cinq lumières oblongues affectant la forme de cigares qui tournaient autour d'un axe invisi- ble comme un manège de la foire " selon sa propre expres- sion. Ces objets tréslumineux de couleur jaunâtre lui semb- lèrent distants au plus de I kilomètre. Leur taille aurait pu être comparée à celle d'une grosse voiture. Ils ne faisaient aucun bruit. Intriguée et fas- cinée, Mme D. regarda ce ballet nullement effrayée. Soudain, tout a prit fin, comme si ce spectable s'était "éteint ". Cette manifestation avait duré 5 bonnes minu- tes. Le témoin, ne pouvant se résoudre à retourner se coucher, continua à scruter le ciel. Quelques minutes à peine s'étaient écoulées que les cigares resurgiment mais, cette fois, leurs évolutions se déroulaient au-dessus de la cime des arbres et le mouvement était un va et vient continuel de la gauche vers la droite et vice versa. Le témoin eut cette fois l'impression de faire un mauvais rêve et tenta lors de réveiller ses amis qui dormaient quelques mètres plus loin dans une caravane. Elle n'y parvint pas et dut se résoudre à poursuivre seule son observation. C'est alors, qu'elle s'aperçut qu'un de ces objets semb- lait" planté " là, à quelque 500 m dans le champ qui lui faisait face. Se retournant, elle en aperçut un autre dans la même position, plus proche semblait-il, à environ 200 m. Prise de panique, elle se précipita une nouvelle fois vers la caravane de ses amis qu'elle réveilla à grands cris. " J'avais la sensation d'être encerclée par les OVNI, m'a- t-elle confié, et pourtant, je ne suis pas de nature frous- sarde. Au début, je trouvais cette aventure trés intéres- sante; je me disais, regarde bien, tu n'auras pas l'occa- sion de revoir ce phénomène. Mais, au fur et à mesure que ces choses se rapprochaient " j'ai senti une panique folle m'envahir. Je n'ai pas tenté d'aller voir de plus prés à quoi ressemblaient ces lueurs, ce que j'ai d'ail- leurs regretté le lendemain, bien sûr. Lorsque mes amis m'ont ouvert, nous avons continué à re- garder tous ensemble, cet extraordinaire spectacle. Les deux cigares plantés ou poses sur le sol me paraissaient avoir une hauteur de I m 50 sur un diamètre de 50 cm. Ils ne gougeaient absolument pas et émettaient une lumière constante et me semblaient plus lumineux que les autres. Leurs formes me semblaient plus rectangulaires que rondes. Pendant ce temps les autres objets continuaient leur incessant va et vient. Nous regardions mes amis et moi, #7 médusés, installés dans la caravane, les fenêtres ouvertes. Puis, comme la première fois, d'un coup; tout a disparu, comme une lumière qui s'éteint. L'ensemble de l'observation a duré prés de 40 Minutes." Personne ne s'est rendu sur les lieux où les deux objets ont été vus ni le lendemain, ni les jours suivants, c'est bien dommage. On aurait pu y trouver des traces intéressan- tes. Cela n'est pas cettain cependant, car on ignore si ces masses lumineuses touchaient effectivement le sol. Cette histoire n'a fait l'objet d'aucune insertion dans la presse et d'aucune enquête de gendarmerie. Cette observation peut-être rapprochée d'une seconde, qui elle aussi, est pratiquement inconnue du public. Elle n'a donné lieu, à ma connaissance qu'à un court entrefilet dans la presse. Cela n'a rien d'étonnant puisque ce cas fait intervenir, en plus des principaux, des militaires de garde. (voir fiches suivantes) EXTRAIT DU LIVRE DE ROBERT ROUSSEL (ED; Belfond) "OVNI fin du secret P. 91.92.93.