La LIBERTE DE L'EST du 24.6.1976 - EST REPUBLICAIN du 25.6.1976. et LDLN No 158 (00CTOBRE 1976) P. 25 publient une observation en date du 23 JUIN 1976 à POUSSAY (88) à 01 Heure. ENQUETE DE M. René FAUDRIN. 00000000000000000 000000 TEMOINS M; André FOLRENTIN et sa femme. LIEU POUSSAY est un petit village de 500 à 600 habitants environ. Au Nord de Mirecourt, à 2 kms sur la route D. 413 (Carte Michelin N° 629 pli 15). Le village a été construit autour d'une ancienne cité Chanoinessee TEMOIGNAGE DE Mme FLORENTIN, infirmière. " Il se levait (son mari) il s'était réveillé pour se lever. Il entend un bruit. Mais trés, trés fort. Et lui, aussitôt qu'il entend un bruit il faut qu'il sache; il a ouvert les volets pour voir ce qui se passait. Et c'est à ce moment là qu'il a vu " la boule "orange. Un grand disque, à peu prés I m 20, quelque chose comme cela. Dans le ciel, qui partait en direction de AMBACOURT. Et à ce moment là, il m'a dit Lève toi, lève toi, viensvoir il y a quelque chose dans le ciel. Je me suis levée et j'ai aperçu aussi. Une boule rouge orange. On ne pouvait pas définir ce que c'était. Y avait il une traînée ? "La nuit était tellement noire que l'on ne pouvait pas voir. J'ai vu juste la boule. Le ciel était trés noir. Une hnit sans lune. Je crois que c'était au mois de Juin, je ne peux pas dire au juste... Je ne sais plus au juste, la date." - Les lumières du village étaient elles éclairées ? Non, elles sont éteintes (habituellement). - La gendarmerie a-t-elle enquêté ? "Oui, la gendarmerie de MIRECOURT." "Mon mari n'avait pas fait de déposition, ils en avaient juste parlé entre copains, au travail. Les copains ont répercuté 1'histoire et les journalistes sont venus." Estece que vous avez l'habitude de voir passer des avions? Est-ce que vous les reconnaissez ? "Ah ben oui, il en passe souvent avec le camp de Juvincourt là, qui est à côté (4 kms à l'Ouest de Poussay). Est-ce que votre mari venait de déjeuner avant son obser- vation ? "Non, il se levait, il avait l'esprit libre 19 RECIT DE M. André FLORENTIN. - www "Il était OI H du matin, je me levais, puisque je travaille la nuit. Et tout à coup, j'entends un bruit, mais alors spécial, qui n'avait rien à voir avec un bruit d'avion à réaction, ni un bruit d'avion normal. Un bruit spécial. Je dis à ma femme: "Quéest-ce que ça peut être que ça ?" J'ouvre la fenêtre, les volets et, venant d'OUEST en EST.. Je l'appelle et je lui dit " Regarde!" Alors, un engin que je ne peux pas vous dire si c'était une coupole, s'il avait une queue à l'avnat, une queue à l'arrière. Un rond que j'avalue approximativement à 2 mètres de diamètre. De couleur jaune orange. Qui ne se déplaçait pas très vite. Qui, était, disons, pas trés haut, à 300-400 mètres peut- être. Et puis un coup,, qui a disparu à l'horizon, en direc- tion de CHARMES. Ca n'a pas duré trés longtemps. Mais je ne peux pas dire comme certains qui voyaient un engin qui montait, qui descendait, qui partait, qui revenait. Non, cet engin là partait." C'était OI OI H 15. Mais ce n'était pas un bruit d'avion, mais il y avait palgré tout du bruit. - C'était... chaque fois que j'allume ma bouteille de gaz tous lesmatins, cela faisait à peu prés le même bruit. Tous les matins j'y pense, je dis Tiens!" Il est parti en direction de CHARMES. OUEST.EST! M. FLORENTIN est chef de quai aux Ets SOLPEIM. Les gendarmes n'ont pas donné suite à l'affaire et cela parce qu'ils prétendent que le témoin est un bon buveur. MAIS LE TEMOIN SE REVEILLAIT A PEINE IL NE FAUT PAS LOU- BLIER ! (enquête résumée) LDLN No 174 (AVRIL 1978) P. 15.16.17.18 19.20. 3 autres personnes auraient entendu le bruit dont parle M. FLORENTIN (voir fiches suivantes). AR