JUIN 1976.-
LE PONTET -(84)
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HEURE 07 H 45.
La famille V. habitait encore la PONTET et se rendait chaque
matin à edène afin d'ouvrir la station service dont ils
dont les gérants.
Un matin de Juin, M. V. et sa fille, à bord de leur Peugeot
504 (essence) viennent juste de quitter leur domicile et
roulent à allure moyenne sur l'Avenue A. Daudet. Signalons
que ce quartier est une zone rurale comportant de vastes
champs. Depuis on a construit de nombreuses villas. M. V.
est au volant, sa fille à ses côtés, la vitre baissée.
Arrivés à mi-hauteur de ladite avenue, Melle V. constate sur
sa droite la présence insolite d'une masse métallique posée
au sol, à une vingtaine de mètres du bord de la chaussée.
Elle constate sa forme ovoïde ainsisa teinte " d'un joli
gris métallisé "(semblable à celui de certaines voitures).
L'engin est parfaitement immobile et est entouré d'un halo
verdâtre qui paraît phosphorescent. Elle compare sa taille
à celle d'une SIMCA 1000 (environ 2,50 sur I, 50 m).
A ce moment là, Melle V. avertit son père qui jette un coup
d'oeil furtif. M. V. ne ralentit pas pour autant l'allure
de son véhicule. Au moment précis où tous deux passent à la
hauteur de l'engin, celui-ci s'élève lentement à la verticale,
un peu comme le ferait un ballon dirigeable. Melle V. suit
seule des yeux, par la vitre baissée, 18évolution ascendante
de l'objet, tandis que la voiture continue d'avancer. La
jeune personne voit ainsi l'engin monter jusqu'à une hauteur
d'environ 15 mètres(pris comme repère la cime des arbres
clôturant le champ du côté EST).
. HORS SERIE N° I.
VAUCLUSIENNES
Cervantes et Jean Pierre TROADEC.
D'OBSERVATIONS
30 ANNEES
Une fois cette altitude atteihte le phénomène sera é
cachépar ces grands arbres. 300 mètres plus loin le véhi-
cule s'afrête au STOP qui croise la route de Montfavet et
Melle V. ne voit plus l'objet dans le ciel. Mais, vu sa
situation à l'intérieur de la 504 il est possible que
l'ovoïde soit toujours là, soit en mouvement, soit en
station immobile. Mais les arbres et quelques bâtisses
masquaient le champ. Toutefois il est aussi possible que
l'objet aprés une vive accélération ait pu disparaître
dans le ciel. Non intéressée par ce dont ils venaient
d'être les témoins ils prirent rapidement la direction de
Védène pour rejoindre la station service. L'observation
n'aura duré que quelques secondes.
Son travail terminé vers 13 H 00, Melle V. en rentrant
chez elle en cyclomoteur s'arrêta au bord de la route afin
de constater si des traces étaient visibles. De la route.
elle n'aperçut rien et rentra.
NOTE: La masse semblait être de métal. Aucune superstruc-
ture ne fut observée (ni antenne, porte, rivets...).
"La coque était parfaitement lisse et arrondie..." Le
halo quant à lui paraissait se dégager de la masse elle-
même. Au premier abord Melle V. a pensé que l'OVNI touchait
le sol, toutefois la hauteur des herbes (40 cm) ne permet
pas de préciser si le phénomène reposait à terre ou en
était seulement à quelques centimètres.
Ce dont elle est certaine c'est de ne pas avoir vu ni
pied, ni béquille, ainsi qu'aucune autre activité autour
de cet oeuf de métal. Notre témoin principal comparera
son " objet" à un ballon de rugby. Une ligne à haute
tension ainsi que divers cables électriques passent au-
dessus de ce champ. DOSSIER DU G.R.E.P.O. Jean Manuel