16 MAI 1976.- PUGET S/ DURANCE .-(84) Soutea f TEMOINS: M. et Mme BLASSIN, leur fille 26 ans, résidant à Logis Neuf Bouches du Rhône - Les BLASSIN sont agriculteurs. 00000000000000000 76101980 Heure: 16 H. M. Raphaël PASCAL résidant, Villa La Baronne, à PUGET. Cros ex- ploitant de la région, honorablement connu, bénéficiant d'une cer- taine motoriété locale. Agé de 69 ans. IES FAITS: M. PASCAL décide de vendre une de ses terres qui se trouve en bordure de la Durance, terres du nom de la Baronne (même nom que la villa). Les acheteurs sont les BLASSIN. Ils se trouvent donc sur place le 16 Mai, vers 16 H. Il fait beau, le soleil est radieux il n'y a pas de nuage et pas de vent. Les terres de La Baronne sont plantées de vigne etd'arbres fruitiers et isolées. Ils arrivent au bord de la Durance, empruntent un chemin de pierre, en bout de chemin fait une courbe sur la gauche pour longer la rivière. Juste avant cette courbe, M. PASCAL au volant de son auto (une Mercédes) voit sur sa droite, sur l'flot situé à cet endroit là de la Durance, un bobjet en forme de dôme de couleur rouille. Il l'aper- çoit quelques instants mais la voiture continue de rouler, il est le seul à avoir vu. Quelques mètres aprés il fait marche arrière pour revoir plus en détails la scène. A ce moment les BLASSIN voient aussi l'objet. Il est situé à une centaine de mètres d'eux. Ils sont séparés de lui par le bras d'eau de la Durance. Il est parfai- tement immobile et posé au sol. Sa teinte est rouille. Sur le dessus du sôme il y a une petite coupole de la même couleur que le reste. On ne distingue pas bien la base de l'engin, car quelques petits arbustes et de 1'herbe la cache. Une petite brise faisait osciller les arbres environnants et par moment on pouvait voir sur la petite coupole du sommet un reflet argenté. A part celà, aucune " VIE 'entours. Tout semblait figé. L'appareil paraissait métallique, 9 " parfaitement solide. Aucune infrastructure visible. Aucune ouv ture, hublot, ni rivet. Tout était d'un seul bloc. Mais les BLASSIN étaient venus pour voir ce terrain, et, M. PASCAL repartit etils continuèrent à faire le tour de ses terres. M. PASCAL était trés troublé, c'était la première fois qu'il voyait quelque chose sur cette petite île. Sur le coup, il pensa à um OVNI mais il décida qu'une fois les Blassin partis, il reviendrait avec des jumelles pour tirer cette affaire au clair. La conversa- tion vira vers la vente du terrain et, de fil en aiguille, M. PASCAL oublia l'objet observé. Il y repensa tard dans la nuit, avec le regret de ne pas être retourné sur les lieux. Le lendemain matin, 17 Mai, il prit ses jumelles et redescendit au bord ee la Durance. Il něy avait plus rien. C'est à ce moment là qu'il commença à penser à une soucoupe 10 volante " Les enquêteurs se sont rendus sur les lieux (1'flot) un mois après lorsqu'ils ont été au courant et ont découvert des traces de pneus. On a pensé à des engins amphibies militaires. Renseignements pris, il y avait en effectivement des manoeuvres militaires, mais elles s'étaient achevées DEUX JOURS AVANT L'OBSERVATION. (Renseignements donnés par la MARRIE et la CENDARMERIE) Certaines blanches d'arbres étaient brisées mais avaient elles été brisées par les militaires ou par l'objet inconnu ? Pour les Blassin qui n'étaient pas du pays, qui ne connaissaient pas les lieux, qui ne savaient pas que sur cet flot il n'y avait JAMAIS rien eu, pour eux, l'objet était " une vieille cabine de camion " abandonnée. ENQUETE DE JEAN PIERRE TROADEC ET ROBERT FRANCHINO.