ENQUETE DE MM. Jean Louis BROCHARD (Délégué Régional) et Pascal GIREAUDOT le 12 Janvier 1975. (Observation parue dans Quest France 29 SEPTEMBRE 1974.- le 7 Octobre 1974) RIEC S) HITOC SUR BELCH --(29 s) 74.102.62.650. 0000000000000000 entre TEMOINS: M. et Mme Francis IE BIHAN (46 et 44 ans) M. Younic LE BIHAN (leur fils âgé de 20 ans) - 37, rue de Penmoor. M. LE BIHAN père est marin de commerce. 2 L' OBSERVATION: A 0 h 45, M. et Mme IE BIHAN sont brusquement réveillés par leur fils rentrant d'une soirée et qui vient de surgir dans leur chambre. Celui-ci leur demande de venir dans sa chambre (orientée SUD.SUD.EST) en prenant soin de ne pas allumer. Ils purent alors contempler un spectable d'une rare beauté. Mr 13 BIHAN dira: "On dirait une paquebot illuminé au milieu d'une prairie..." L'objet à quelques 500 m à vol d'oiseau de leur maison leur apparut avec les jumelles comme un demi-globe dont la partie supérieure ressemblait à tout niveau à un " foyer" aux contours vaporeux indéfinis. En son centre, des sortes de hublots dégageant une lumière très vive, d'une couleur très belle mais assez difficile à définir tenant de l'orangé et de vert. A ce qui leur sembla être la base de l'objet, et de chaqye côté un feu... de position, de la grosseur sensiblement de deux phares de voiture chacun, d'un rouge très vif, rappelant celui des " Stop " d'une voiture, circu- laire, mais là encore aux contours vaporeux, flou. Aucun pied ne leur apparut et il leur parut même que l'objet reposait sur une coussin d'air car celui-ci semblait vibrer, oscillant de droite à gauche en demi-cercle? (peut-être même tournait-il sur lui- même; les témoins ne sauraient le dire avec certitude), Toujours est-il que celui-ci ne touchait pas le sol, mais était environ à 60 cm de celui-ci. L'objet semblait de grandes dimensions: 10 m de diamètre pour 7 m de haut. Lobbjjet à aucun moment ne s'est déplacé et ils le virent toujours de face. Brusquement, tout devien noir à l'emplacement où quelques fractions de secondes plus tôt se SUITE RIEC SUR BELON trouvait l'objet; et M. et Mme LE BIHAN purent voir très haut dans le ciel un point lumineux jaurel disparaître à grande vitesse. C'est à ce moment précis que M. LE BIHAN fils aperçut les 3 êtres.... ou du moins les 3 silhouettes et demanda à sa mère en lui passant les jumelles ce qu'elle voyait..... 3 êtres d'apparence humanoide, assez grands : I m 70 environ de forte corpulence (Mme LE BIHAN fit une comparaison avec le bonhomme Michelin) se déplaçant assez lour- dement se balançant de droite à gauche (exactement commes les Astro- nautes Américains marchant sur la lune...) Aucun détail visible, ils étaient enveloppés d'une combinaison de la couleur d'un métal en fusion (couleur papier aluminium) mais non éblouissante. Leur tête était ronde, mais aucun détail de leur visage n'était visible. Ils ne portaient aucune coiffure. Brusquement les 3" êtres" changèrent de direction et vinrent droit sur les témoins, en formation en V (un devant, les 2 autres de chaque côté : voir couverture LDIN N° 132) et semblaient alors voler au-dessus du sol, traversant tous les obs- tacles. Pris de panique, les témoins s'écrièrent: "Ils nous ont repérés, ils vont nous irradier, il faut abandonner la maison..." Ils quittèrent voulurent. aussitôt leur maison et se refugièrement chez leur Mère habitant dans la mfle rue, regardant constamment derrière eux, s'attendant à tout moment à voir surgir " les êtres ". Mine LE BIHAN était tellement ter- rorisée qu'elle demeurera au milieu de la rue, incapable de faire un pas, criant à son mari et à son fils de fuir, qu'elle se sacrifiait pour leur permettre de fuir, il restrait ainsi quelqu'un pour racon- ter leur cauchemar aux autorités. MM. LE BIHAN Père et fils portèrent Mime LE BIHAN chez le voisin le plus proche un gendarme en retraite. Ces voisins me diront que les témoins étaient verts, la figure défor- mée par la terreur; ils passèrent la nuit chez eux. Les témoins possèdent un chien, un fox qui hurlera à la mort peu avant les faits et continuera tout au long de la fuite éperdue. SUITE RIEC SUR BELON Le temps ce soir là était à l'orage et peu de temps avant l'obser- vation, deuxcoups de tonnerre d'une rare violence avaient fait vibrer les fenêtres de la maison et une piluie dilivienne avait suivi et paradoxalement, les éléments s'étaient complètement calmés au moment de l'observation. Le vent était pratiquement nul, le ciel couvert, la température relativement douce. Mme LE BIHAN constatera que son horloge, remontée normalement ce soir là, s'est arrêtée à l'heure précise de l'observation et serait repartie normalement le lendemain matin. Aucune remarque concernant les montres. Le lieu présumé de l'atterrissage quadrillé parla Gendarmerie ne révèlera aucune trace: du fait du sol particulière- ment gorgé d'eau par les pluies tombées les jours précédents. Aucune faille géologique. Par contre une ligne à haute tension et à basse tension juste au-dessus de la zone présumée de l'atterrissage. Physiquement et psychiquement parlant, Mme LE BIHAN demeurera très traumatisée durant les 3 jours qui suivirent. Elle aura des insommée des maux de tête, l'impression d'avoirle cerveau envrloppé dans de la ouate et percevra sur tout son corps des picotements comme provo- qués par des aiguilles; ces picotements disparaîtront aussi brusque- ment qu'ils étaient apparus quelques jours plus tard, En outre, Mme LE BIHAN a perdu 12 kilos. MM. LE BIHAN père et fils, malgré le temps passé, n'arrivent pas à se libérer de cette vision et demeurent éga- lement assez traumatisés.