ENQUETE DE M. BOULEAU SUR L'OBSERVATION DE LA FLAMENGRIE LE Ier AVRIL 1975 à 21 h 15. .......102338 0000 Le temps est couvert, il ne fait pas noir. Venant d'un petit chemin, Messieurs MARCHANT et MACAREZ, ralentissent, s'arrêtent au STOP du croisement avec la D. 285. Ne voyant rien venir, ils tournent à droite en direction de LA CAPELIE, pour s'arrêter 200 m plus loin à la ferme des époux TERRET-VERPLANKE, située sur le territoire de LA FLAMENGRIE, au Kilomètre 4000, pour rassembler les bidons à l'en- trée de la cour. The chose intrigue, M. MARCHANT, quelque chose res- semblant à un gros phare de voiture couleur orangée. Il fait des appels de phare, en approchant lentement de la ferme, tout en se demandant ce que cela peutêtre. Ils sont inquiéts, car cette forme lumineuse se précise et grossit. Arrivés à trente mètres environ ile boient nettement cette lueur que M. MACAREZ estime à 2 m de diamètre, couleur orange, avec sur tout le pourtour des reflets violets présentant toutesles couleurs de l'arc en ciel; éclairant le paysage tout autour : les bidons de lait, l'entrée de la cour, etc.... Tout à coup, de cette chose partent comme des lueurs res- semblant à celles d'un chalumeau de soudure à arc, se dirigeant vers eux, Aveuglé, MACAREZ porte la main droite devant ses yeux et crie à MARCHANT paralysé sur son siège: "Arrête ! Mais arrête donc! on a entrer dedans !". MARCHANT est incapable de s'arrêter, son pied est collé à l'accélérateur, il ne voit plus rien, il avance, brusquement plus rien, plus de lueur...... Arrivés devant la ferme, ils s'arrêtent hébétés, descendent de camion. MAGAREZ ramasse en vitesse les Bidons de lait et ils repartent en vitesse..... MACAREZ siggale que les bidons lui ont parus anormalement chauds. Il ressent des douleurs dans la poitrine, sans plus. Terminant leur tournée, ils arrivent à la Laiterie de NOUVION, où les bidons sont déchargés et vidés. Ils racontent leur aventure, on the les croient pas. Ils vont se coucher. M. MACAREZ énervé, n'arrive pas à trouver le sommeil, ayant toujours cette vision devant les yeux. Le lendemain en faisant leur tournée, ils passent devant la ferme, s'arrêtent et découvrent avec surprise les traces. M. MARCHANT va trouver les fermiers qui n'ont rien vu etleur montre les empreintes sous la boîte aux lettres, le long du fossé et les bas côtés de la route. Peu de temps après M. MACAREZ est pris d'un malaise et nee peut terminer sa tournée. M. MARCHANT le ramène chez lui, il passe ensuite à la gendarmerie de LA CAPELLIE. Elle se rend sur les lieux et commence son enquête. J'ai appris la nouvelle 48 h après, par l'UNION, je me suis rendu sur les lieux le 4 Avril, il n'y avait plus de traces La boîte aux lettres n'était pas brûlée et je n'ai pas constaté de magnétisme supérieure la normale. Pas de brûlures non plus sur le poteau électrique et la haie. Le lendemain eut lieu l'interrogatoire de M. MACAREZ. Le docteur était venu la veille et lui a prescrit 8 jours de repos et des cal- ments. M. MACAREZ se plaignait toujours de douleurs dans la poitrine et sa peau portait des traces rouges. Je n'ai pas vu M. MARCHANT à ce moment là, mais j'ai eu confirmation par le fermier, la gendarme- rie, que le lendemain, ses yeux étaient rouges.