26 FEVRIER 1975 CHALONS SUR MARNE (51) 75 2,29 7 Heure: 19 II 30 00000000000000000 TEMOIN: Mme GUIDER, 7, rue Albert Schweitzer, son beau père, des voisins. LES FAITS: Je circulais en voiture sur la Pénétrante urbaine qui traverse Châlons, d'Est en Ouest. Je rentrais chez moi lorsque sou- dain, j'ai aperçu le phénomène, à proximité de la voie de chemin de fer. Il s'agissait d'une forme ovale très lumineuse qui a soudain traversé la Pénétrante à une vitesse folle." Mme GUIDER regagne alors son appartement et à sa grande stupéfaction elle constate que 1'0VNI s'est stabilisé dans le ciel, à hauteur d'un bloc d'immeuble, rue Benjamin Franklin, à une centaine de mètres envi- ron de chez elle. "L'engin demeura à cet endroit sans bouger, pendant une vingtaine de minutes. Après ce laps de temps, 18 " cigare commencé à s'animer. Il est devenu de plus en plus brillant, puis s'est mis à bouger d'une façon irrégulière, se déplaçant tantôt de gauche à droite, tantôt de haut en bas. Puis soudain, alors que j'avais alerté mes voisins qui s'étaient précipités à la fenêtre, la masse a donné naissance à TROIS AUTRES OVNI, de dimension plus réduite. L'un d'eux, d'une teinte pâle, aveuglante, les 2 autres, d'une couleur rouge vif. Les deux derniers clignotaient comme le signal lumineux d'une abbulance, ajoute Mme GUIDER. Trente secondes plus tard, ces 3" ballons de rugby" se diviseient eux-mêmes en DOUZE BOULES qui prirent la direction de REIMS à une allure inimaginable. Pendant ce temps 1'0VNI du début s'était consi- détablement dégonflé" pour finalement se transformer en un éclair qui a disparu dans le ciel. Je suis formelle, conclut Mime GUIDER, il ne s'agissait ni d'avions, ni d'hélicoptères on ne percevait aucun bruit." Hormis les voisins, le beau père de Mme GUIDER, gardian de nuit aux repôts des Galeries Lafayette, avait assisté à une scène identique, " tôt le matin, et également la veille. Leurs témoignages concordent. DUREE de l'observation de Mme GUIDER : de 19 H 30 à 20 H 20 : soit 50 minutes. " L'UNION " du 28 DEVRIER 1975. ENVOI DE M. GAVEL. EPERNAY.