13 FEVRIER 1975 .-
COLLERET .-(59)
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Heure: vers 20 h 20
M. ALLART, 55 ans, représentant en produits agricoles, venait de
quitter sa mère et bentrait chez lui par le jardin, les maisons
Utant côte à côte. Il aperçut dans le ciel étoilé un objet dont
il ne vit pas tous les contours. Selon ses propres termes il n'en
vit que l'avant, mais estima sa configuration totale à quelques
35 ou 40° dans le ciel. C'était un large disque au bord extérieur
lumineux, et dont la coupole arrondie luisait d'un jaune blanc
émis de l'intérieur et ne se diffisent pas.
La
M. ALLART prévint son épouse (53 ans) qui sort et voit le même
phénomène se déplaçant d'EST en OUEST, parallèlement à la RN 49.
L'objet évolue à la vitesse et à l'altitude d'un avion de tourisme,
comme ils en voient souvent venir de l'aérodrome de Maubeuge.
Salemagne Brutalement, la " soucoupe change de cap à angle droit
et allant maintement du NORD. au SUD, se dirige vers les témoins
(à leur gauche) pour couper la RN 49. Aucun son pas de parasite #y
aucune réaction sur l'éclairage. Les animaux domestiques n'ont pas
réagi.
Les témoins traversent leur maison pour se rendre par devant, sur
la nationale et voient déboucher, mattenant à leur droite, llobjet
volant. Ils remarquent alors qu'il projette d'intenses rayons :
sortes d'arcs électriques bleus longs et puissants, qui se perdent
dans le lointain, et se produisent alternativement l'un à droite,
l'autre à gauche. Il était aussi équipé à l'arrière, de deux gros
feux oranges. Ils le surveillent espérant le voir jusqu'à sa dispa-
rition à l'horizon, mais bientôt ils ne remarquent plus l'objet,
seul un flash d'un côté le trahit encore; puis plus rien....
L'objet, d'après eux, avait un diamètre supérieur à celui de la
pleine lune. Tous deux pendaient que c'était un appareil secret
A
duquel auraient pu sortir, en cas d'atterrissage, non pas de
petits humanoides, mais des combattants avec leur arsenal. Ceci
pour préciser que les témoins ne croient pas aux OVNI et même à
présent leur donne une explication militaire. Durée de l'observation
2 minutes.
Enquête de J.M. BIGORNE et B. HONZE.