TO FEVRIER 1975 .- CARCES (83) 000000 75102264 Heure: vers 21 h 2 Un épicier de CARCES, M. Alain FRAISSE a été le témoin d'une étrange apparition : il a aperçu pendant quelques minutes un OVNI. Ils'agissait a-t-il déclaré à la gendarmerie " d'un objet circulaire, renflé à une extrêmité, d'environ 16 mètres de long, possédant cinq hublots éclairés et également des lueurs sur la partie inférieure et à l'extrêmité de l'objet la plus fine, stabilisé à 5 ou 6 mètres du sol. Cet engin était silen- cieux." Il n'a pas précisé s'il avait pu entrevoir, malgré son émotion, des passagers. Aussitôt une enquête de gendarmerie a été ouverte et dès mardi, les gendarmes interrogeaient les habi- tants des alentours pour retrouver d'éventuels témoins. "LA MONTAGNE " du 16 - 2 - 1975. COMPLEMENTS D'INFORMATIONS à l'OBSERVATION DU IO FEVRIER 1975 à CARCES (83).- 000000000000000 Témoin: M. Alain FRAISSE (33 ans) arrivait au volant de sa 404 au lieu dit " La Grange à 3, 5 kms de la commune sur la nationale 562. " J'ai vu des lueurs dans un champ de blé de Maurice Stuergatt a-t-il dit à notre reporter. J'ai cru qu'on faisait brûler des sarments de vigne, comme c'est léha- bitude à cette époque de l'année. Mais subitement j'ai aperçu dans le champ à 50 ou 60 m de la route, un engin étrange : une masse noire ressemblant à un chapeau breton avec une longue queue d'ou s'échappait une lumière orange. Au même moment la radio de ma voiture s'est arrêtée. L'engin était immobilisé à 5 ou 6 m au-dessus du sol. Il mesurait dans les 15 mètres. Il y avait un habitacle de 3 ou 4 m de haut avec 5 hublots rec- tangulaires éclairés orange. Je suis resté 2 ou 3 minutes sans descendre de voiture. L'engin bougeait et ne faisait aucun bruit. J'ai eu tellement peur que je suis reparti. Au bout de 500 m ma radio s'est remise à marcher." M. FRAISSE prévint la gendarmerie qui dressa procés verbal. Mais l'histoire ne s'ar- rête pas là: pendant 2 jours M. FRAISSE a eu de violents maux de tête et la peinture de l'aile avant gauche de sa voiture est partie comme si elle avait été gommée. Un autre témoin, M. BOUVET qui habite une petite maison en bordu- re du champ de blé a déclaré : "Mon poste de télévision à piles a été en dérangement chaque soir pendant I mois. In fonctionne normalement depuis le II Février." M. BOUVET ajoute que l'image se branillait tous les soirs vers 20 h 30. A l'heure où M. FRAISSE fit avoir vu l'engin mystérieux. Mais la " soucoupe " de M. FRAISSE a été prise au sérieux par des gens bien plus haut placés. Après le rapport des gendarmes, le directeur de la gendarmerie M. COCHARD atransmis une note au Ministère de la Défense. Une enquedé appro- fondie a été ordonnée. Le Ministère a plusieurs raisons de s'in- 0000000000000000 11 0000 SUITE : CARCES.(83) quiéter : I. Le sérieux de M. FRAISSE qui est un homme posé et sain d'esprit. 2. La proximité du plateau d'ALBION. Carcès n'est pas loin de la base des missiles nucléaires de la force de frappe française. 3. Cette affaire s'est produite peu de temps avant les plus grandes manoeuvres militaires depuis 15 ans. Elles autont lieu du 22 Avril au 9 Mai dans le Midi: Aviation - Marine - Armée de l'Air pour la défense du plateau d'ALBION. Une équipe de 4 ingénieurs spécialisés dans les OVNI est partie pour CARCES envoyée par la Direction des Affaires techniques et scientifiques du Ministère de la Défense. Ils sont restés 3 semaines. On ne connait pas encore leurs con- clusions. Mais on sait que M. POHER le chercheur toulousain qui centralise les témoignages sur les OVNI a envoyé à M. FRAISSE un questionnaire. D'autres spécialistes ont fait des films, des photographies aux infra-rouges; ils affirment qu'à l'endroit où a été vu l'engin, on décèle un champ magnétique supérieur à la normale. " SPECIAL DERNIERE" N° 320. du 18 au 24 Avril 1975.