30 SEPTEMBRE 1974.- NANTES Apocal Parc de la Gaudinibre).-644). Heure entre inuit et I heure TEMOINS Quatre élèves du Centre de Reductation Professionnelle de la Gaudinière: MM. SORBA, ROCUET, GALLEN et LOTTE. Les quatre camarades venaient de se séparer pour aller se cbucher après avoir passé la soirée ensemble dans la chambre de M. SORTA, située au 1er étage dans un angle de l'aile hôtelière en face du terrain de football, M. SORBA raconte " Je me déshabillnis en regardant dans la direction du terrain de football, quand soudain, je vis arriver une petite lumière rouge qui se dirigenit vors moi en se déplaçant à une allure très rapide. Quand elle se fut rapprochée, je m'aperçus qu'elle faisait partie d'un engin sombre en forme d'assiette renversée. J'ai aussitôt été prévenir mes camarades." H. ROGUET est arrivé dans la chambre alors que l'engin approchait à une distance de 150 à 200 mètres selon ses estima- tions il l'a vu atterrir à la façon dont tombe une feuille morte, en oscillant d'un bord à l'autre, dégageant une forte fumée blanche. Le mystérieux objet était prêt à se poser quand arrivèrent à leur tour dans la chambre M. CALIEN et LOFTE : ils ont vu distincte- ment l'engin que surmontait une lumière oruge orangée tournoyante, à la façon des feux de signalisation des ambulandes toutefois beaucoup plus grosse. Les derniers arrivés devaient commettre une erreur en allumant la chambre : aussitôt l'engin devait se déporter d'environ 50 mètres. sur la droite. Il avait atterri dans le parc de la Caudinière et venait de se placer en lisière du bois, les quatre camarades qui suivaient attentivement le spectable ont vu un carré de lumière blanche, aussi crue que la lumière d'une lampe à iode, se déta- cher sur la paroi de l'engin, comme si une porte venait de s'ouvrir. dr SUTTE MANTES Toutefois, ils ne découvrirent aucun personnage. Trois nouveaux ands étant arrivés l'un d'eux apporta une paire de jumelles qui ne permit guire une meilleur observation. Selon leurs estimations le diamètre de l'engin était de 5 mètres. Retenus par la crainte, Ils n'allèrent pasle soir même sur les lieux de cet. atterrissage insolite mais ils s'y rendirent dès l'ouverture des portes du parc le dianenche matin. A l'endroit précis où ils avident vu l'engin se poser, ils devaient constater que l'herbe était foulée sur un diamètre correspondant aux dimensions de l'engin. Cette trace cir- culaire étant entourée de formes géométriques régulières, carrés et triangles dont l'empreinte restait marquée sur le sol. En outre, les traces de trois points d'appui étaient visibles, assez profon- fèment enfoncées dans la terre ameublie par la pluie. A plusieurs endroits, dans le paro, les témoins de ces faits ont relevé une odeur semblable à celle du kérosène. Et ils ont relevé sur une arbre des traces de brûlure comme celles qu'aurait pu provoquer une tuyère de réacteur. * PRESSE OCEAN. " du Ier CCTOBRE 1974.