réelle frayeur of regrettons de n'être pas sorti. 2 JUDI 1974.- LA PHRVENCHE 000000000000 CURIEUX PHENOMENE De elle BADON. D. (07) Heure: 4 h Jo campais à quelques kilomètres de LA PERVENCHE, avec dos copains, lorsque nous fures réveillés à 4 h très précises, par am sifflement métallique cigu qui émettait des sons comme un ressage, toujours sur la reen note. De son provenait d'une dizaine de mètres derrière notre tento. Le lieu était tout à fait désert loin de toute ferme,route et lignes électriques. De grands plateaux désertiquos dominatent la clairière plantée d'arbres où nous avions installé notre tente. Le premier sifflemont dura environ 8 minutes, il cessa quelques secondes pour faire place au ## bip, bip "bien connu des sonars * - 3 ou 5 m - " l'appareil" si l'on peut parler d'appareil " 101 10₂ décolla avec dess sauts de puces puis ce fut Onvol avec l'impres sion de rase motte, des bruits de fouilles et de branches renuées, à une vitesse extrêmement rapide. Le bip bip, continua durant le vol, puis ce fut le silence total. Les oiseaux reprisent your chant qu'ils avaient interrompus durant les 15 m de la présence (du phéno- rène. Je ne peux dire de quoi il s'agissait, car nous étions paralysés de peur et nous ne sommes pas sorti de la tente. Nous avons rogyrdé si des traces ce remarquaient sur le sol, nous n'avons rien noté à l'ex ception d'un trou de 30 cm de long et 4 à 5 cm de diamètre dans la torre sèche et formant monticule. Le sol était crous à l'intérieur malo tha a Kétait ce dd mità deg tampas. Nous avone an und