FON MAI 1974 VAUX (rive droite du Cher).(03) 00000 Houre 16 h 30 et 17 h X. Féche, il est assis au bord de larive droite, sur un chemin tracé au buldozer pour le passage des camions et surplombant l'eau de 50 à 60 cm. Il avait tendu deux lignes, une à droite et une à gauche. A un moment il perdit de vue la bouchon de gauche, alors, il se pencha en avant et tourna la tête à gauche pour essayer de le repérer. A cst instant précis, il entendit un FLOUF sonore au ras de la berge, à une vingtaine de mètres de lui sur sa droite. Ie PLUUE était semblable à celuiqu'aurait pu produire un gros bidon tombant dans l'eau ou une cerpe faisant un saut, Immédiatement d'ailleurs, le témoin envisagea cette seconde éventualité. Il tourna la tête pour voir et resta à la fois stupéfait et effrayé. A l'om- placement du PLOUF, 1'eau était soulevée en in incroyable sillage de 2 mètres de large et de 60 cm de profondeur. Ce sillage so propa- geait droit vers la rive opposée distante de 50 à 60 mètree. En ve opposée dis même temps le témoinentendit venant de sous l'eau, et peut-tre produit par l'invisible objet qui creusait le sillage, un ronfle- ment de moteur aussi intense qu'un ronflement de moteur de camion, mais plus régulier et dans une tonalité de " Quououou..." C'était quelque chose de " terrible" (le témoin employa de nombreuses fois ce qualificatif. S'il avait été plus près, la vague aurait pu le balayer, Icsillage avançait assez vite, sur plus de la moitié du trajet, il conserva son importance, puis au bout de 25 à 30 m, il comença à décroître tandis que le ronflement devenait de plus en plus faible, Dans le dernier quart du parcours (15 à 20 derniers nètres)l'eau fut simpleront légèrement agitée on surface, SUTTE VAUX IN HAI 1974. tahissant le passage de la " CHOSE " qui bientôt atteignit l'autre rive où il se produisit comme unsouffle vers le haut. ET PUIS PLUS RIEN. Le témoin regarda en l'air et ne vit rien. D'ailleurs à part le sillage dans l'eau, IL N'A RIEN VU. C'est du reste un cette raison qui le poussa à se taire. " J'aurais vu tomber quelque chose dans l'eau, j'aurais prévenu la gendarmerie, mais là, comme je n'ai rien vu et que je ne veux pas d'onzuzis; je no veux plus entendre parler de cette affaire." ENQUETE DE M. GIRAUD; Les faits furent publiés, à cause de l'indiscrétion du cousin du témoin à qui il en avait parlé. Ce qui mit le témoin dans une belle colère. Le témoin ancien chauffeur dans une entreprise privée possède dans le bourg une solide réputation d'homme sensé, ni blagueur, ni illuminé, le garde champêtre ajoute même qu'il ne va W Jamais au café. Le témoinaccepte de conduire les enquêteurs sur 100 les lieux mais en leur faisant remarquer qu'il donnait là une unique #exclusivité et à la condition expresse de ne plus jamais le revoi Il est visiblement dépassé par ce qui lui est arrivé, le garde chan- pêtre est fortel, aucune loutre, aucun rat musqué n'a pu produire un déplacement d'eau pareil et encore moins un bruit de moteur ! Sur place et en fonction du profil des lieux, nous avons pu effec- tuer les constatations suivantes : Un objet tombant du ciel aurait été contraint de suivre une trajec- toire inclinée à plus de 20° sur l'horizontale afin de pouvoir fran- chir le talus de la rive et tomber dans l'eau au ras de la berge. Un objet tombant dans ces conditions et en considérant comme mul le freinage de l'eau n'aurait pas pu s'éloigner de plus de 15 à 20 mètres de son point de chute et en aucun cas atteindre l'autro rive sur son simple élen, fused" fantastique que cols puisse SUITE VAUX, paraître nous sommes obligés d'envisager la présence d'un objet disposant d'un moyen autonome de propulsion et qui aurait profité du fait que le témoin tournait la: tête pour plonger dans l'eau, 0000000000