12 AVRIL 1974.- WWW TARBES (65) Heure inuit PR ENOTENTE DE M. F. LAGARDS SUR information de M. Coudreau. Témoin entendu dans le bureau de H. Lagarde, TEMOIN: The G. A.. infirmière dans une clinique Tarbaics. LES LIEUX : Au 3ème étage de la clinique un long couloir central, très large, plongé dans l'obscurité. A chaque bout, une grande baie vitrée. L'une donne au SUD OUEST, l'autre au NORD.DSTO, 1 gozzonce la campagne. A 25. 30 m un petit chemin, bordé de haute peurtiers dépassant la hauteur du 3ème étage. LES FAITS: Dans le couloir à son poste de service Fine G. A.. survoille à son bureau le monotoring des électrocardiogrammes des maledes sous sa surveillance constante. Soudain, elle aperçoit dans 1'ebpace derrière la baie vitrée côté N.E. en avant de la 1ighe des peupliers, à quelques mètres derrière la baie, un disque lumineux d'un diarbtre évalué à 20 cm. Couleur jaune orangé, K contour parfalterehta défini; de temps en temps des teintes vertes appaissent fugacement autour. La vision a duré 5 à 6 secondes et le disque a disparu. "Bien que je sois au 3ème étage, dit me A. la seule chose à laquelle j'ai pensé est que j'étais l'objet d'une force de res collègues et je les ai appelées pour le leur demander." Bientôt elles se trouvèrent 5 au 3ème étage près du poste que re pouvait quitter le A. Elles affirment toutes qu'elles ne sont pas les auteurs de la farce et " blaguent un peu le témoin sur sa vision . Dix minutes à peine venaient de s'écouler quand le phénomène refait son apparition derrière la o baie et toutes noint 1'obrasver, Ire à ont déconcerté. L'objet se nito h NY SUTE TARBES 12 AVRIL 1974 la même hauteur que la première fois, mais au lieu d'être immobile, il décrit une orbite dont l'exa est netérialisé par le montant central de la baie. Il ne modifie sa trajectoire, ni en hauteur, ni en largeur. En décrivant son orbite le disque paraît se présen- ter sous la forme ovoïde, comme une lentille bi-convexe, à droito et à gauche de l'orbite, revenent à sa forme circulaire lorsqu'il. se présente de face. Le disque rouge orangé énet un halo verdtre un peu phosphorescent. "J'aurais voulu savoir si l'objet voulait rentrer, mais j'étais comre paralysée. F.L. Aviez vous peur ? 1 après "Non, pas moi. Feis les autres étaient rrosisées méta la disparition de l'objet que nous avons observé pendant 3 à 4. m. Je voulais ouvrir la baie, mais je ne pouvais bouger. J'ai alors pensé à manoeuvrer l'interrupteur de lumière. Je n'avais que le bres à albonger derrière, sans regarder, sachant bien la position de l'interrupteur pour allumer deur bongues rampes éclairent le couloir. Au moment où la lumière a fait son apparition le phénomène est parti en s'élevant en deux ou 3 paliers successifs, à une vitesse assez faible, puisque j'ai eu le temps de compter les paliers. Il s'est dirigé vers la droite de la baie, c.à.d, SUD ou SUD EST. J'ai alors ouvert la baie en grand, j'ai regardé en l'air, par terre, partout je n'ai rien vu. F.L. Et vos collègues ? "Elles étaient encore pétrifiées. Restées dans la position occupée au moment où l'objet est apparu. L'une tenait le bras d'une autre et ne l'avait pas laché et cela pluséeurs secondes après la dispe rition. Le lendemain, j'ai pris na voiture et un appareil photo. et je me suis promenée sur la route de Rabastens pour voir si je pouvais observer la boule de me LONCAN. Je ne suis pas impression- SUTIE TARBES 12 AVRIL 1974. nable mais avant tout curieuse d'ens savoir davantage sur co phénomène. Avant, je n'y croyais pas, à présent que j'ai vu, je sais que cela existe et j'y crois, Mon observation restera gravée dans ma mémoire. L'objet lui a paru très près de la fenêtre et elle avait l'in pression d'être observée. ME Sitôt l'évènement passé me A. a fait le tour des ses malades au cas où quelque chose ce serait passé. Elle n'a rien remar- qué d'anornal. Hmo A est mariée, mère de famille, originaire de Clermont Ferrand, elles est douée de dons parapsychologiques qu'elle. pense tenir de ses ascendants.