23 MARS 1974.(veillée nationale) REUCHIN (62) 00000000 Heure vers 20 h 15 Le gendarme Z regarde machinalement par la fenêtre située près du Téléviseur et qui donne sur la colline; il aperçoit une boule lumineuse légèrement ovale de couleur rouge orangé qui grossit au-dessus de la colline. Il appelle sa femme puis prévient ses collègues qui logent dans le même bâtiment et le Chef qui occupa le logement voisin et tous sortent dans la cour de la Gendarmerie pour observer cette lumière que le Cher croit d'abord être un feu allumé par des bûcherons ou des agriculteurs, Prenant des jumel- les, il se rend compte que ce n'est pas un feu et que ldobjet ce déplace légèrerent de gauche à droite. Il décide d'aller se rendre compte sans savoir exactement ce que celà est; il faut signaler que ce soir là un brouillard léger, mais certain masque les étoilea et rend difficile l'appréciation du relief. Le Chef de la Brigade part done avec le gendarme Z en camionnette. Ils montent la côte qui monte vers Boyaval et après avoir manqué le chemin qu'ils voulaient prendre, à cause du brouillard, font demi-tour, quittent la D 7I et s'engagent vers un chemin de terre qui mène vera EPS, mais ils ne font qu'une soixantaine de mètres dans ce chemin pour déboucher sur le plateau après avoir contourné un petit bois appelé " la Savonnière" Pien d'anormal n'est visible. Au bout d'un moment ils éteignent leurs phares pour ne pas être éblouis et les autres gendarmes et leurs familles restés à la gendarmerie, voient eux, toujours l'objet pendant ce temps, et les phares de l'estafette, ou en tout cas, leur lueur qui balaie les champs. De la gendarmerie les témoins cons tatent que les phares ont été coupés et à ce moment l'objet décolle ". SUITE HEUCHIN.- brusquement suivant un angle d'à peu près 45°* Il préviennent par radio l'estagette et les occupants de cette dernière découvrent alors sur le ciel comme " deux phares d'auto james, très proches l'un de l'autre". Ils observent cela pendant quelques secondes, puis les deux phares " disparaissent très vite vers ANVIN, approximativement vers le SUD. Le chef décide de redescendre. L'estagette reprend la route qui dercend à flanc de colline dans le village et stoppe à mi-côte, Le 2 gendarmes scrutent le ciel pendant 1/4 d'heure à 20 mn et au bout de ce laps de temps voient réapparaitre les deux phares " derrière de grands arbres de l'autre côté d'Heuchin per rapport à la colline. Ils remonténté dans l'estafette et prenant la route qui morte vers Lisbourg, dans la direction approximative de leur observation. Ils aperçoivent un agriculteur qui, malgré 1'heure ta dive laboure encore son champ, le chef pense alors que les deux yeux aperçus ne sont peut-être que les deux phares du tracteur, mais ce dernier n'a qu'un phare sur les deux qui éclaire normale- ment. Ils demandent à l'agriculteur s'il n'a rien vu d'anormal, et sur sa réponse négative, reviennent un peu sur leurs pas et ex- caladent un talus qui borde la route content dans un champ pour observer à nouveau le ciel. Ils aperçoivent au bout de peu de temps quelques minutes, les deux phares" qui avancent régulièrement dans le ciel, mais rapidement, puis disparaissent dans la direction de Fontaine les Boulans, en donnant l'impression de fondre" dans le sol. Selon nos témoins il est alors 21 h. L'estafette regager. le gendarmerie. Les gendarmes n'ont trouvé aucune trace. Faille à 7ms d'Heuchin. EXQUETE DE H. DUSART.