19 B 1974- ISUZAO N H/Henri BROUSSOULOUX touans le dos à l'écran de son télévisur. Décidcament, la programme de la soirée ne l'intéresse pez; du moins pas oncore ! Avant de regarder le film (cinama, il savoure 12 bonne elosné à sa chemiada, quand une la donâtre passe à ravers les vitres de se fendre pour balayer le pénombre de la pilce. la Tiens, so dit-il, voilà enfin une éclaircie! " Il s'approche de la fenêtre pour soruter le ciel. Il essaie en vain de découvrir à vers le rideau de pluds uns déchirure dans les lourds nung 5. Soudats, pour la seconde fois, La lueur envahit la ferre, l'espace d'ime seconde. Cette fois, il sur qu'il ne réve pas. 43 # Cétait coure un ruban plat de 3 m de larges environ. I juillion satt de dormière le petit body stud à 80 mètres de va forma. J'avais l'impression qu'il descendaft vers toi. Il était d'un jauna Gelatent, de la couleur des phaea à todo," Kausf, la cultivateur sort pour observer le phénomène qui va durer plusieurs minutos. Lo felcoagu lumineux balaye le paysage à in ma nière d'imphare, mais dans le sens inverse des aiguilles d'une contre Chaque balayage dure environ I soconde, puis il y a tas tempe moris et le faisceau revient, rats chaque fois avec une intensité ind "Ca no pouvait pas provenir de phares d'auto, remarque Fourl ROUS- XULQUE car le bola d'où portait le faisceau sublait s'efface do sous un coup de gomme à chaque passage du rayon lumineux." Il peut alora nettorent distinguer les climes dos prés situls dorrière, comme si les arbres ne les masquatent plus et mécier 20 * Journal NOSTRADAMUS " Pº 106 du 18 Avril 1974. SUTTE MAUZAC (87) Pour la première fois de ma vie, je voyais depuis chez moi, la la ferme de mon voisin, à 250 m de " Uta de 1 Fendant environ 2 m, il demeure abasourdi. Puis le faisceau dispa raft pour ressurgir sur sa ghuche et défiler à toute vitesse, avec ot des hachures sombres. Ce nouveau phénomène dure à peu près une inute, puis le défilement cesse. Mais il n'est pas au bout day cos surprises. Au moment où il s'apprête à rentrer, un nouveau ballet lumineux attire ses regards vers le ciel, mais cette fois au-doesne is la grange. là haut sur le ciel d'encre, se détache enterque leur. Soul, celui qui l'a vue peut la décrire. C'était comme une demi-narguerite, dont le coeur était plis nota encore que la nuit. Il en partait d'immenses pétales d'un jaune intense de 150 m de long et de 3 mètres de large, aux extrémités coupées franchement, I'autre moitié m'était cachée par le toit de na grange, et tout cela tournait toujours dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Je suppose que l'engin qui les émettait ouvait se trouver à 200 m de haut et devait probablement être in- nobilisé dans une position oblique, car les pétales " d'or non- laient vers le ciel." la paquerette mystérieuse tournait dans un profond silence. C'étalt merveilleux spectablque le cultivateur aurait ainé contenoler. pendant des heures. Mais soudain, la carguerite céleste d'effaça comme sous un coup de baguette magique, Henri BROUSSOULOUX rentra chez lui regrettant d'avoir assité seul à cette féérie. Il fub long à trouver le sommeil. Le lendemain il courut chez ses plus proches voisins, Personne n'avait rien vu. II alla conter son venture aux gendarmes de St Germain les Pelles. Aucune trace ne fut trouvée, le surlendemain on apprenait que , BLANCHET d'un bourg proche de leuzac avait apergu le faisceau mystérieux, mais ne s'était pas attardé devant cette lueur.