28 FEVRIER 1974 Jur Entre AURBILHAN et RABASTENS.- (65) 100000000000000000000000 Heure Minuit trents. he LOHICAN, de Rabastens, après avoir passé la soirée à Tarbes, au chevet de son mari hospitalisé, regagnait son domicile en compagnie de son fils. Elle venait de dépasser AUREILHAN, lorsque à hauteur du cimetière, elle apercevait dans son rétroviseur un phare, comme celui d'une motocyclette, assez loin derrière elle. Soudain, ce phare se rapprochait rapidement de sa voiture, en prenant une coloration rouge et grossissait jusqu'à devenir gros come le dessus d'une table de jardin. Cette boule circulait sur la chaussée au ras du sol et semblait resurer environ In de dia- mètre, Me LONCAN et son fils pris d'une certaine panique poussai ent l'accélération de la voiture à son maximut. A plusieurs repri sea: cette boule pour la rattraper clignotait un instant et sem blait projetée en avant. Elle vint se placer à une dizaine de mètres en arrière de la voiture et légèrement au-dessus. Le fils de Mme LONGAN, 14 ans, saisi de panique, priait celle-ci d'aller plus vite et ne quittait pas la boule des yeux, mais l'engin étai toujours dans le sillage de la voiture. Cela devait durer pendent 18 kms. A l'arrivée à Rabastens, peu avant l'éclairage axial de 1'entrée de l'agglomération la boule s'arrêtait sur la chaussée e rapatissait rapidement en raison de la vitesse da la voiture, mal neboule plus petite se détachait alors de la sphère et ennait si la voiture en provoquant une gerbe d'étincelles énormes fusant de SUITE AUREILEAN RABASTENS- de toutes parts du véhicule, une odeur de brûlé se répandait en même temps dans l'auto. La boule qui avait suivi e LONG était nous dit alle comme le soleil à son couchant. Après s'être arrêté, cette boule gurquait sur la gauche et se dirigeait vers les prés.... Pénétrant dans RABASTENS, Mme ENCAN encore sous le coup de émotion, pensant qu'elle avait le feu à son véhicule, afcamelta dans un garage pour demander un extincteur..... il n'y avait plus rian, ni odeur. Son fils se plaignit de mal aux yeux et sa mète disait qu'il ser blait hymotisé. Mre LONCAN prévint les gendarmes peu après, ceux-ci en se compa- enie refaisaient ne partie du chemin, sans rien voir. Ils arré- tèrent même un automobiliste venant de Tarbes, celui-ci leur déclara avoir vu une lumière dans un champ, il avait pensé à uná voiture en panne # LA DEPECHE." du 2 MARS 1974.