ENQUETE DE M. LOCOGE SUR L' OBSERVATION DE CROUGIS (22.2/1974) PARUE DANS LA VOIX DU NORD ET L'UNION DE LA MARNE DU 7 MARS 1974. A 0000000 22 FEVRIER 1974.- GROUGIS (routs de Bobain à Guise).- (02) 0000000. Heure t 6 h 1. Jean FILLION (47 ans) transporteur de charbon se met au volant de son camion pour livrer 10 tonnes de charbon dans les Ardennes. Le ciel est couvert, sans lune, il commence à pleuvoir. A la sortie du village de GROUGIS, il emprunte la N.360 vers Guise. Vitease 50 à 60 km/h. En approchant Aisonvilleil aperçoit une boule lumineuse blanche, éblouissante qui évolue à 3 ou 400 m sur sa gauche, parallèlement à la route, à faible altitude, 50 ou 60 m au-dessus du sol. Il la perd de vue en traversant le village et la retrouve sur la N.360, roulant vers Guise. Mis sur la RN il ne la voit que par intermittence, le terrain de la vallée de l'Oise étant assez accidenté. Il traverse ainsi le petit village de Longchamps et aborde la côte sinueuse et assez raide qui redescend vers l'imposant château de Guisa. En abordant les premiers lacets, M. FILLION n'en croit pas ses yeux, la chose est ià encore, évoluant toujours aussi lentement, un peu plushaut toutefois (500 m) et le péncin de plus en plus inquiet va l'obser- ver durant toute la montée de la côte (2 km 5). Il évaluera la dimension à celle d'une grossa voitize : 6 m de diamètre environ. Il y a une grange, une auréole, tout autour du disque, avec des reflets rouges-verts-violets. L'objet se déplace à la gauche du camion par rapport à la marche de celui-ci (FORD.OIEST - SUD-EST) Il va stationner à la verticale de la route, juste au sommet de la côte (où existe une vieille ferme). FILLION n'y tient plus, il SUITE GROUGIS stoppe le camion laisse les phares allumés et descend pour mieux observer, quoique il m'avouait qu'une très grande angoisse 1'd treint, se sentant seul, aucune voiture ne passe. Le disque hu neux est toujours là, il passe au rouge incandescent et s'élbre vers la couche nuageuse dont le plafond n'est pas très élevé Deux grands gaisceaux lumineux partent de l'objet. De couleur rouge ils sont dirigés vers le sol, non sur le camica. Les nuages s'embrasent de rouge quand l'objet pénètre dedans, puis tout s'estompe assez lentement, jusqu'à sa disparition totale. Le témoin remonte sur son camion, tout remué de ce qu'il a va. Aucun trouble sur lecamion, pas de touble physique sur le témoin, M. FILLION n'a avoué qu'il avait été très inquiet # j'avais vie sacrée frousse, mais c'était fantastique à regarder, Je savais que l'on parlait beaucoup de soucoupes volantes depuis quelques temps, je ne me posait pas trop de questions sur l'existence réalle de ces choses mais je n'aurais pas pensé qu'une chose ça puisse m'arriver à moi. Ça me fait tout drôle maintenant en Ga passent toutes les semaines à l'endroit où j'ai fait cette obson- vation, et je ne cesse de regsider le ciel. Je me fous des gens qui se moquent de moi." Il ajoutera après : " Plus j'y pense maintenant, plus ih me semble que l'OVNI se déplafait pour me suivre et m'observer, puisqu'il s'estarrêté juste au-dessus de la route où je doveis passer."