4 FEVRIER 1974.-
CARIGNAN (08)
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Houro 6 h 40
ENQUETE DE M. Serge SPLINGER et Jean NICOL.
L'observation avait été citée par L' UNION DE LA MARNE à la date
du 5 Février.
1
Témoin: IL, DRICH Raymond, 39 ms, marié, contrenafître à l'usine
MALAKOFF de GARICHIA, habitent à 800 m de son lieu de travail.
1. DRION quitte son domicides pour se rendre à son travail en
eyclomoteur, Au cours du trajet son attention est attirée
lueurs venant de sa gauche (impression de soudure à l'arc) qui
pareiscent venir d'une ancienne briqueterie. Continuant son trajet,
11 observe à nouveau ces lucurs étranges qui semblent alors prove-
nir du sol, mais un assez haut talus lui cache la briqueterie et
11 ne peutexactement distinguer la provenance. Ces lueurs sont de
couleur bleutée. Poursuivant son trajet, il aperçoit à nouveau le
phénomine et cotte fois il s'arrête pour mieux observer. A se
grande stupéfection il voit sur sa gauche un objet de force cylin-
drique, de I mètre de grandeur apparente (subjectif) immobile,
paraissent se situer sur LA CHIERES " (Ikm environ) affluent de
la louse. Il n'y a plus de phénomènes d'arc électrique, mais
l'objet émet une lumière légèrement bleutée et diffuso, par le.
dessous, non éblouissante. L'objet lui semble à une altitude de
40 à 60 m et il lui paraft qu'il voit un peu le dessous, le dessus
de l'objet émet une lumière identique en couleur. Elle donne
1'impression que sont des foisceaux lumineux et il lui semble que
ces faisceaux tournent comme les phares. Puis de nouveaux éclairs
bloutés appareissont, l'engin part à une vitesse terrifiente
SUITE CARIGNAN
en direction de DREVILLY SEDAN, semblant amorcer une légère
courbe. Le Pómoin ne sait pas si ce sont les maisons qui lui ont
caché 1'engin ou si c'est colui-ci qui a disperu brusquement. Il
I'a perçu aucun bruit ni ressenti aucund sonsation au cours de
J'observation. Celle-ci a duré 10 secondes environ 7 pour les
lueurs, 3 pour l'objet. L'engin lui a patru plus gros qu'une pleine
lume (cela donnerait 9 cm environ grandeur réello).
Ia tamps était clair et froid. Le témoin a fait une déclaration
à la gendarmerie, le terrain a été examiné, il était imprégné d'eau,
1: Chières avait débordé. Les gens alentours n'ont rion vu.
L.D.L.N. NO 136 (Juin Juillet 1974) p. 18. 19.