i FEVRIER 1974.- 0000.00. (87) Heure: 7 h 20. T Il faisait encore sombre, lorsqus, en bordure de la Mie 147, BELLAC, POITIERS, deux jeunes filles allaient pour attendre le car qui les conduireit au CES. Leurs parents sont agriculteurs sur les domaines de " Pierrefits at Beau Site" à 3 kms à l'Est de EELLAC, sur le territoire de la commme de Feyrat-de-Bellac. La première, Melle Claudine GUILLEMOT, 12 ans 1/2; la seconde, le A Isabelle FERRIER, âgée de 14 ans, faisaient les cent pas en atten- dent l'arrivée du car, quand vers 7 h 20, elles furent prises d'une pour panique, en apercevant dans le ciel, un engin imense, ayant la forme d'un ballon de rugby qui descendait vers elles, Lachant leurs sacs, elles coururent s'abriter au pied d'un arbre, tandis que / l'appareil s'immobilisait à hauteur de la crète des arbres. Comme fascinées, Claudine et Isabelle perçurent deux lumières rouges et une troisième bleue qui se détachaient de la passe lumineuse de l'engin. Ce spectacle terrifiant, fut insupportable la petite Claudine qui perdit connaissance. GE 10 Cependant qu'Isabelle, avec une frayeur ec une frayeur accrue observait toujours le spectacle, le bruit d'une biture venait de la nationale; son frère passait comme chaque matin pour aller à son travail. An moment où sa voiture arrivait à hauteur des deux fillettes, Isabelle entendait soudain une amorce de ronronnement celui de l'engin rystérieux qui reprenait la route du ciel et dis- paraissait quelques instants plus tard derrière un éclan de nuages. Emmanuel FERRIER stoppait son véhicule en voyant surgir sa socur affolée sur le bas-côté. Il prenaitles deux fillettes à son bord 1₂ suite BELLAC contaisnt leur incroyable aventure. fur gendarmes quiont aussitôt ouvert une enquête, les 2 fillettes eitendues séparèrent donnaient une version identique des faits dont elles avaient été les témoins terrifiés. Toutes deux ont affirmé : Cet objet avait la forme gigantesque billon de rugby. Il avait des clignotants. Alors qu'il était rele tivement haut dans le ciel, il grossissait en se rapprochant de nous! Il s'est stabilisé à un certain moment. Puis, nous avons entendu un ronnement. Il disparaissait derrière les nuages.' LA MONTAGNE " du DIMANCHA IO FEVRIER 1974. (envoi de M, Patrice BERNARD de Noirmoutier)