29 NOVEMBRE 1973.- BAITA BLANCA.-(Argentine) 000000000000 TENOIN : M. X.., 25 ans, chauffeur routier, célibataire.(admis à l'hôpital de BAHIA BLANCA en état d'amnésie totale, rocouvre la froire 3jours après) et fait le récit de son extraordinaire aven- ture.t M. X.. qui travaille pour une entreprise de transports de Rio de Janeiro doit aller livrer du matériel de construction. Il fait le plein d'essence vers I h, le dimanche 20 Novembre 1973, au fonta ESSO de la rue Basco. Il regrette ensuite de ne pas avoir changé le meu, car la crevaison est certaine. Il roule depuis quelque temps déjà sur la routa 3, déserte à cette heure; il fait froid et in ne trouvera personne pour l'aider si besoin était. * J'ai arrêté le camion au bord de la route et je suis descendu j'ai pris le cric et nen outila, j'ai commencé à changer le peu. La route était déserte, soudain elle s'est éclairée d'ime forte lundère jaune qui semblait venir d'ime distance de 2.000 m. Ton- mant qu'il s'agissait sans doute, des phares d'une Peugeot, sans JAD me retourner, j'ai continué mon travail. Quelques secondes après la secondes lueur devint si intense qu'elle éclaire toute la campagne, mada elle était devneur bleue, d'une couleur semblable à celle produí to par un appareil à souder électrique; j'ai voulu me relever mais une sorte de malaise m'a envahi et res jambes ne répondaient pas. J'étais à genoux et mal rẻ ma défaillance j'ai pu me retour er et regarder, J'ai aperçu pris du groupe d'arbres sur le côté de la route, une grande chose qui avait la forme d'une assiette suspendue dans l'air, à 7 mètres environ et 3 personnes qui observaient. A nouveau j'ai essayé de no relever, mais j'en étais incapable et . GUITS SUIIA BLANCA et dans l'impossibilité de parlor. Ces trois êtres sont restés un long mornt à me fixor, peut-être 5 mm, ils étaient : deux hon- nes et une forme, celle-ci restait au milieu, et j'ai déterminé son poze parla forme de sa poitrine et par sa longue chevelure blonde qui tombait sur son dos. Les hommes étaient éralement blonds, rais ils étaient coiffés avec les choveux en arrière. Tous 5 étaient à peu près de la more taille : I m 70 ou 75 et portaient des vé torents idontiques. Une sorte de combinaison rise très ajus- te, des bottes do tointe damåtre, semblable la teinte d'une peau de charis ils portaient des gants de fo teinte, mais n'avais ent ni ceinture, ni arre, ni casque. Leura vinages étaient sembla- bles aux nôtres. Le front décant, les yeux bridés comme ceux d'un Japonais mais plus saillants. Ils parlaient entre eux dans une sorte de langue sans voyelles qu'il m'était impossible de compren dre et ils produisaient des sons bizarres qui m'ont fait penser à ceux énda par une radio mal réglée. L'un de ces étres m'a pris par le col du blouson et m'a fait lever avec autorité unis sans violen- ce. J'ai voulu parler mais je n'avais pas de voix. Tendant que celui qui m'avait relevé re soutenait, l'autre a placé un appareil dang 1'index de on main gauche. J'ai bien regardé, c'était une sorte de rasoir à piles avec un petit tube. Ils m'ont appliqué cet appareil pendant quelques secondes sans que j'éprouve de la douleur. En 1'en- levant, j'ai aperçu sur ton doigt, 2 gouttes de amg, j'ai dit alors 'vanouir, car reg souvenirs s'arrêtont 14." Le REVEIL: . X.. s'est réveillé à une heure impossible à détermi- ner. Selon les témoignages et les faits qui s'ensuiviment il pourrait se situer entre 2 et 3 h du matin, du dimmbhe. En ouvrant les yeux il ne rendit compte qu'il se trouvait allongé près des wagons, à l'in térieur de l'enceinte de la proprifté, Sté Dural de BAHIA BLANCA, A SUTIE BAKIA BLANCA. à 9 km 600 du lieu de son aventure. Il marcha sans but précis, ayant tout oublié, même son nom, son domicile, le cardin et ce qui vonait de lui arriver. La tête lui tournait il avait froid. En arrivant sur laroute, il continua à marcher, guidé seulement par los phares des voitures. Il se rappelait tout cela, le ARDI 30, en se réveillant sur un 11t de l'hopital municipal de BAIIA. Il frissonna, ses vêtements intacts étaient rangés au pied du lit. Il éprouva le besoin de furor et de savoir d'abord 1'heure qu'il était. Il ne trouva pas sa montre, ni le briquet. et les cigarettes qui étaient rangées habituellement dans un étui métallique. Par contre, dans la poche. du pantalon se trouvaient 150000 pesos qu'il avait en partant de chez lui. Il a demandé des nouvelles de son camion. Question plus préoccupante pour lui que celle qui concerne la SV et les étranges êtres. Il lui fut répondu que son camion avait été trouvé par la police à VILA VERDE, à quelques 18 kms de BAHIABLANCA, avec le cric installé et le prou prêt à être monté;dans la boite à cents se trou- vaient ses papiers. Dans le livre d'entrée de l'hôpital municipal page 103 en lit : : NOM: N.H. - Lieu de l'accident : route 3 -CAUSE Il dit avoir été ébloul par une sorte de lucur partant d'une SV et avoir vu 2 hommes et. I femme très blonds. Pas d'autre souvenir. Blessure: traumatisme crânica Front temporal droit avec amnésie totale. Reste mystérieuse, la période pendant laquelle il sveilla à 10 kms environ de l'endroi de sa rencontre et le moment où il fut examiné par le Dr Smirnoff, traumatologue et médecin légiste. Voici son témoignage : "Le Dimanche 28, vers 9h 30 je reçus un coup de téléphone do No lo Docteur Alpacaro, de l'hôpital Espagnol. Elle m priait de passer l'hôpital désirant connaître mon avis au sujet d'un ons an002 SUITE BANIA BLANCA.- curieux. Arrivé là-bas, vers 10 h 15, je me suis trouvé en présan- ce d'un homme de 25 à 26 ans. Cet homme souffrait d'amnésie totale et très grave, oubli du passé. Il ne savait plus qui il était, ni le nom de ses parents, il pleurait constamment. Il voulait savoir où il était. Ahomme qui l'avait ramené à l'hôpital l'avait trouvé marchand come un automate dans les rues du centre de la ville, ar- rêtant les passants pour leur demander où trouver un posto de police. Iensant à un accident de la circulation, j'ai commencé, l'examen de M. X. sans lui trouver delésion apparente. En esquis- sant un geste vers son front, mais sans l'avoir encore touché, il faut insister sur ce point, j'ai remarqué que le patient avait instinctivement un mouvement de recul, comme s'il craignait d'avoi mal. Fourtant son front ne portait pas d'hématone ni de bosse, ni de brûlure. J'ai conclu à une douleur de l'exqui-parieto temporal droit. Quelle sorte de coup a provoqué cette amnésie ? Le cas de M. X. est très troublant. page L.D.L.N. N° 137 (Août Sept 1974). Diagnostic du psychiatre Edouardo Donata qui s'occupe de l'examen mental des personnes ayant observé des OVNI. Il n'est difficile de placer dans un cadre déterminé le cas de M. X. (Dionis Yanca). Il semble que son privitivisme, sa simplici- té et le souci permanent qu'il éprouve envers les choses quotidien nes travail, camion, pneu crevé, montre qu'elles sont plu impor tantes pour lui que le fantastique des faits qu'il raconte. Cela écarte à priori, l'hypothèse de l'affabulation, je crois que Dionis a vécu quelque chose d'effrayant, quelque chose de fantas- tique et terrible, le choc paychologique consécutif aurait peut-st déclanché le syndrome de Korsakoff.' 17 Selamat. 11 A prpent Dionis Yanca, ne dort plus, ne mange plus, et, parle de changer de métier pour ne pas risquer de se retrouver sur me rout In mitt. Howalaine Sants & Actualited # Tovembre 1978