LDUN 132 deja 19 OCTOBRE 1975 - DRAGUIGNAN- (85) 0000000000 Heure vers 20 h 40 Gabriel DEMOCUE de DRAGUIGNAN en moto la côte menant en noto la côte menent au mé de sa petite amie, grimpa au MALMONT (qq. kms au NORD de la ville) culminant à 507 m. Ciel clair, léger mistral. Soudain, la jeune fille remarque sur sa gauche, se dirigeant dans le me sens que la moto, une boule jaune orangé très intense, entourée d'un halo plus clair, le halo n'est pas homogène et semble tourner autour de la boule, les jeunes gens sont alors à plus d'un km du sommet. Ils s'arrêtent et observent l'objet se déplaçant lentement en direc- tion OUEST EST à basse altitude, pas très loin d'oux samble-t-il 500 ou 600 m. La grosseur apparente de la boule centrale est compa- rable à la dimension d'un malon. Elle semble survoler le versant SUD du MALMONT, puis elle disparaît derrière les crêtes, tout en laissant une lueur rouge visible entre les arbres. La jeune fille ne veut pas aller plus loinet Gabriel la ramène chez elle à DRAGUIGNAN. Puis il rencontre un ani à qui il raconte son histoire. Ce garçon(qui n'a pu encore être interrogé) fait partie d'un petit groupe de jeunes s'intéressant aux OVII. Il contacte ses camarades et ils décident d'aller voir sur place. DE UXIEME PHASE : Ils partent à 2 voitures, La Tère, une R8 conduite par Alain IECA, avec comme passager le garçon(non encore interrogé) la seconde une FIAT 128, pilotée par Georges MACRET, avec Christian- BENSA comme passager. Ils arrivent à la table d'orientation par le chemin étroit qui y mène et ils manoeuvrent pour mettre leurs voitures dans le sens de la descente, prêtes à partir et éteignen, les phares. SUITE : DRAGUIGNAN Puis ils se rassemblent près de la table d'orientation, où deux bancs accueillent les visiteurs. Dos que leurs yeux se sont hábi- tués à l'obcurité, ils remarquent tout d'abord une lueur blanche et diffure au sommet du Malmont, à 80 m de la table d'orientation. Puis des sons bizarres parviennoits à leurs oreilles qui semblent provenir de cette lour. Ces sons ressemblaient à des interférences redio. Aucuri des auditeurs de cet étrange concert n'arrive à le décrire très exactement. Au me morent, Georges MACHET qui s'appuie sur la table d'orientation en pierre sent celle ci chauffer brus- querent, de mine il a la sensation qu'une onde de chaleur le tra- varse, Ses camarades sentent également we élévation quasi instea- tende de l'air ambiant. Puis ils aperçoivent mo lumière pouge eu-dessous de la lueur blanche du sormet, lumière qui se met à so déplacer et descend de long du chemin caillouteux menant du sommet à la table d'orientation, tandis qu'ils entendent distinctement des bruits de cailloux déplacés, comme si quelqu'un de très lourd se déplaçait sur le chemin. Iss 4 gris commencent à ne pas se sentir très rassurés. Coorges HACRIT, Christian BENSA et le 3ème se chachent derrière un petit mir situé en contre bas, Alain LECA s'allonge sur un des bancs encadrant la table. De là, ils obser- vent la lueur rouge qui descend le chemin et s'aperçoivent qu'elle so déplace en male temps qu'une silhouette sombre estimée par les observateurs à 3 m de hauteur. Disons que cette ombre d'apparence. humaine dépassait 2 m/ Pendant tout ce temps, le sifflement modulé du début continuait de se faire entendre. Poursuivent son chemin, la silhouette arrive à environ 25 m des témoins, à moins de 20 m de la R8 d'Alain IECA, s'arrête comme pour ramasser quelque choses 30 secondes après elle se relève et la lumière rouge à la hauteur de la ceinture a'éteint, de même que les sifflements s'arrêtent.... G SUTTE: DRAGUIGNAN C'est le silence et l'obscurité. Quelques instants après c'est un bruit de branches cassées près de la Re qui leur parvient, puis c'est la voiture elle-mêfo qui est secoude fortement plusieurs fois. Mors c'est la paigua. Alain IECA qui retenait ses camarades depuis 04. nimites donne le signal de la fuite. Georges MAGRET et Christin BESA se précipitent vers leur voiture, non sans s'être préalablo-! ment entendu que si elle ne voulait pas démarrer ile se chahenient. derrière les buissons du ravin, le compagnon de TECA fonce vera la R8 et s'apprête à ouvrir la cortière quand un puissant rayon lund- noir, blanc, éblouisant at venant du sommet les écleire violemment Ils se jettent à plat ventre jusqu'à ce que l'obscurisé revinnne qq. instanta plus tard. Ils montent alors dans la voiture qui ne veut pas démarrer. Celle ci esrientée vers la descents, no sinple poussée permet de la lancer et le moteur démarre. Quant à Georges MACRET et Christian NSA ils sont d pertie, le notour de la FIAT s'est mis en marche normalement, llain IECA conduit la Re. Sitôt le aceur en marche, il freine, et stoppe à qq. mètres de son point de départa"ét'regarde en arrière. Il remarque tout d'abord une silhouette identique à celle qui descendait le chemin à 5 ou 6 m de la voiture, puis une seconde, puis une troisième. Les 3 strea dépassent 2 m. Alain IECA embraye, avance de quelques mètres et stoppe à nouveau. Les 3 étres continuent leur progressionlente vers la voiture, Quant ils mot suffisamment près, il embrave à nourany, stoppe 10 ou 15 m plus loin, il lui semble que les tres se sont arrétés; il passe en marche arrière, retourne vers eux, stoppant à 5 a du plus près. Ils so remottent alors en route du même pas saccad Alain ouvre la portière, met in pied à terre et se retourment crie par 3 fois : Vous êtes bons ou vous êtes méchants L'être le plus près de la voiture se retourne alors vers celui qui : (4) TITE DRAGUIGNAN | |- * est derrière lui, à gauche et un étrange dialogue semble s'engager entre los 3 êtres par l'intermédiaire de sortes de siffleronts modu- lés difficiles à décrire. Piis, ils se remettent en marchio plus vito semble-t-11, le témoin remonte en voiture et démarre. Il s'er- rête 50 m plus loin voit qu'il n'est pas suivi, fait demi-tour of romonte vers la tablo d'orientation. Il n'y a plus rien. Pendant tout cette pharo, son camarade, fou d'épouvante, est accroch nu voston d'Alain. Plus d'êtres, soule au sommet du at La lour blanche oborvée au début. Alors mubitement, Alain a peur, il img- gine les êtres cachés mets à lui sauter dessus s'il descend de voi ture. Il manoeuvre lentement tous phares allum's et part défini- tivement. The ou deux heures après, 11 remonto soul sur les lieux. Cette fois In lueur blanche elle-mête a disparu. The odeur de vernis d'isolant électrique Fûléte curiousement dans l'athosphère. Description des étres : Grandeursupérieure à 2 n. Combinaison rouge non phosphorescente. Lunière ventrale à l'intérieur de la combinaison. Tête ou casque, carrée, avec une ou deux ouvertures Jucineuses et rectangulaires au niveau des yeux, Démarche lente et mécanique. Un des êtres n'avait pas de casque mais somblait porter un masque type masque à gas et quelque chose de mobile devant le visage, peut-êtrein voile. 3ème PHASE: La Ibre voiture pilotée par Georges MACRET avec Christian DENSA à sa droite. Eux sont partis sans se retourner. A une centaine de mètres avant d'aborder un virage serré, ils ont assisté à une étrange scène. Durant a fraction de seconde, deux jambes rouges semble-t-il phosphorescentes, traversent 16: chewin en deux enjembées, quelques mètres devant la voiture. (5) : SUITE DRAGUIGNAN. Au mmo instant les phares se sont éteints brusquement, ainsi que 1'éclairage du tableau de bord, le virage a été pris en catastrophe ils ont failli aller dans les décors. Après un bref instant les phares et le tableau de bord se sont progressivement rallumés. Ils ont foncé vere la vallée, Christian BEHSA courageusement réfugié sous le tableau de bord. 150 m plus bas ils s'arrêtent sur une petite plate forme pensant qu'Alain LA va les rejoindre nais au bord de la panique, ils foncent vers DRACULONAN. Un kilo- mètre plus loin, nouvelle rencontre avec 2 janbie. Cette fois ellen, venaient de droite, descendaient rapidement une pente embroussaillée, de très forto déclivité, en direction de la route. La Biat passa event que les 2 jambes atteiggent la chaussée, Seul Georges MACROT los a vues, Christian BENSA était toujours réfugié sous le tableau de bort. A mi-chemin entre LE MALMONT et DRAGUIGNAN, nouvol incident Sans que le conducteur touche au volant, la voiture s'est trouvée perpendiculaire à la route spuis est revenas saule sur la trajec- toire normale. Come si, une force inovne avait déplacée le véhicule. et l'avait remis dans sa position initiale.. La Fiat roulait à 60- 70 km - la route est droite, pas de gravillon à cet endroit. Lour eventure se termine à l'entrée de DRAGUIGNAN où ils attendent Alain IECA et soncompagnon. Puis tous quatre vont prévenir un ami qui les vožent arriver pâles comme des motės. Le 29 OCTOBRE 1973 L.D.L.N. Nº 132 (Février 1974) J. CHASSEIGNE.