17 NOVEMBRE 1972
EVILLERS (25)
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de 19 h 05 à 19 h 10
Les témoins, Melle Bernadette POCIET, MH. André PARIS, Gérard
BALLOUEY accompagnés de lelle Marie Louise LACOSTE rentrent de
Pontarlier envoiture. La voiture roule à 100 km/h, les deux
filles causent sans regarder le paysage, le conducteur a toute
son attention fixé sur la route, soul H. BALLOUTY regarde devant
lui. Il verra quelque chose " mais n'a pas le tomps d'alerter
ses amis. Ce n'est que plus tard qu'il réalisera que c'était
l'objet qu'il avait vu.
La voiture continue et les trois témoins voténté alors quelque
chose de lundneux qui semble se trouver sur les pentes du mont,
presque en face des premières maisons du village, à la Flatière.
Cela apparaît comme un globe d'un diamètre apparent sensiblement
éégal au quart de celuide la Iame. Sa teinte, comparée à des
échantillons de couleurs est jaune de cadmium orangé. Il appa-
raft plus élevé que les observateurs et se trouve au-delà de
la scirie Cotton, à une hauteur double de celle du bâtirent de
1'usine. Pour les témoins qui se déplacent, l'objet semble im
mobile, mais on verra qu'il avance en fait. Le càlcul de M.Tyrode
fixe l'altitude de l'objet à 760 mà ce moment donc à proximité
immédiate du sol dont l'altitude à cet emplacement est d'environ
762 m. les témoins prennent conscience qu'ils avaient affaire à
quelque chose d'anormal. Ils continuèrent à rouler. Au point C;
côte 739, l'objet présentait de nouveau à leur vie. Il n'avait
:
SUITE : EVILLERS,
pas changé d'aspect il se trouvait devant eux, juste en arrière
du village. Il paraissait plus grand. Voulant s'en rapprocher,
ils pursuivirent leur route. Leur observations est génée par
une haie qui longe la route et une petite rampe. Ceci indique
que l'objet était très près du sol et il se déplaçait sur me
trajectoire ressemblant sensiblement à celle qui est tracée sur
le croquis (voir L.D.L.N. N° 133, p. 16) Puis les jeunes gens
aperçoivintas à nouveau l'objet, pour le reperdre ensuite.
Lorsqu'ils le revoient il a pris une teinte rouge très pâle. Il
leur fallut traverser dans toute sa longueur cela ralentit leur
vitesse et lorsqu'ils arrivèrent dans un endroit dégagé, l'objet
n'était plus là/
L.D.L.N. F° 133 (Mars 1974)