7 AOUT 1972 LD IN 139 Route DIJON-BESANÇON.-(25) 0000000 (Audoux) ..... THPT Heure: 0 h 30 Témoins : M. Jacques POILTNT nó on 1955, Jean et Claude CADORET et Brice MOUAZAN domiciliés tous les quatre à ST MIS (93). Les témoins étaient au terrain de camping de Pagnsy, ils décident de faire une promenade et quittent le cerp vers 22 h. Vers 0 h 30, ils sont au village d'Audeux. Soudain, ils voient un point lund- neux blanc qui se déplaçait en ligne droite à une vitesno an00% faible (magnitude environ 2). L'observation se situait vers Besançon. Le point lundneux coupa la route de la gauche vers la droite. (Carte Michelin Mo 66, plis, 14, 15). Ils ramirent la route en sens inverse, dans le sens locançon-Dijon, pour retourner au camp de camping. Fondant lerátour, un des témoins, Jacques POILVET, avait la sensation que quelque chose d'insolite allait se passer derrière lui. Il se retournait à chaque instant pour regarder derrière lui en étant persuadé qu'il allait voir quel- que chose. Avant d'entrer dans le petit village de Courchapon, ils virent un autre point lumineux d'environ -3 de magnitude qui émer- gea d'une nappe de brume. Ce point luzinoux était très mobile, il descendait et montait verticalement suivant un mâle 1'ampli- tude du mouvement étant assez faible, mais très discernable à l' oeil. L'éclat blanc du point lumineux varlait d'intensité. Plus son éclat baissait plus l'amplitude du mouvement augmenteit. Quand l'éclat atteignait un maximum, le point lunthoux restait à peu près fixe dans le ciel. Hauteur sur l'horizon 35°, 10° sur la gauche de la route. Au bout de 30h 40 minutes, les témoins . SULTE DIJON BOSANCON. E observèrent plusieurs autres points lumineux plus faibles mais de nature indentique. Un des points luminoux était très mobile, il décrivait de grands cercles au-dessus de la forêt. Il avait aussi m mouvement de translation d'une dizaine de degrés s'effectuant eans cettes on aller et retour. Distance témoins : fofft environ 2 ms. Pendant l'observation il y avait unléger bruit(qui ressen- blait au hip-tip des satellites d'après J. POILVER). Ils regardèrent à nouveau le point lumineux principal (le Ter) et apergurent soudain une étoile filante qui tomba du point. lurinou. En rere temps ils entendirent un cri d'animal (d'après J. POLLYST, il s'agirait d'un oiseau). J. POLIVAT eut l'idée de faire des signaux avec une lampe électrique. Il fit donc des signaut avec une Inmpe. Ils eurent l'impression que le point. huine se rapprochnit d'eux. Une certaine angoisse s'empara d'eux. Les camarades de J. POILVET apercurent des lumières dans les arbres. Au-dossus d'un champ, tout près, à environ 5 m de houteur et 10 m de distance apparut brusquement un point luni- ou qui s'éleva rapidement en " aig-zag ". Un autre point lumineux se déplaçant dans le ciel du SUD vers le NORD, à haute altitude, fit demi-tour et revint en " zig-zag.". Il était envi- ren 4 h 30. nous le jour conmençait à se lever, le point lumineux principal s'éle- va doucement muivant un angle de 45° environ par rapport à l'ho- rizon. Aumoment où le point lumineux s'élevait, lesfils électri- ques bougèrent et congnèrent les porcelaines. J. PILVET estima l'altitude du point lumineux à 1.500 m d'après un nuage. Il était environ 6 h. (enquête d'Alain BARAUD); L.D.L.N. N° 131 (Janvier 1974)