25 JUIN 1958.- LANDE D ODOS (65) 000000 00000 HEURE environ 02 H 45 TEMOIN: M. X. (anonymat demandé) et quatre de ses amis. LES FAITS / "Aprés une soirée, je rentrais chez moi avec quatre de mes amis musiciens. Il était approximativement 02 H 45 et nous causions, tout en roulant, de notre prochain contrat. Nous étions parfaitement lucides; il n'y avait en nous aucun trouble causé par la fatigue et nous n'avions ni les uns, ni les autres bu la moindre goutte d'alcool. Nos réflexes étaient donc parfaitement normaux. Nous roulions sur une route qui coupait sur toute sa longueur, une lande la lande d'ODOS - (arr. de Tarbes). Sur cette lande, stagnait à I mètre du sol, une brume qui. ajoutait à l'aspect déjà sinistre de l'endroit. Subitement, le moteur se mit à crachoter "; la voiture s'arrêta. Sur le moment, nous pensames à une panne d'allu- mage, mais en même temps, se produisit en chanun de nous un étrange malaise. Ce mabaise se manifesta par une sensa- tion de nausée et une impression trés nette d'écrasement de la cage thoracique en même temps quanne sensation d'étouffe- ment. Ce malaise fut ressenti trés exactement au moment précis où la carrosserie entra en état vibratoire. A l'extérieur, à part la brume tout semblait parfaitement calme et le ciel étoilé s'étalait dans toute sa splendeur. Nous réfléchissions à ce que pouvait être la cause de ce malaise pour le moins étrange (car nous avons tous ressenti les mêmes effets), quand tout à coup, à environ 50 mètres de nous, au centre de la BIVR 11 LIUL ES route et face au pare brise de la voiture, un engin se posa. Instantanément, il nous fut impossible de faire le moindre mouvement, notre système musculaire fut littéralement para- lysé. Toutefois, nos facultés visuelles, sensitives et audi- tives restèrent parfaitement normales. L'engin se posa avec une extrême lenteur. Il avait la forme d'un disque d'athlé- tisme et reposait sur un tripode ressemblant à des pattes d'araignée. Sa hauteur totale pouvait être de 3, 50 m à 4 m. Sa couleur était indéfinissable, translucide; on n'aurait pu dire si c'était du verre et du métal. La partie supérieure de l'engin était surmontée d'une coupole qui tournaibet au ralenti en émettant un bruit qui nous pénétrait comme s'il émanait de notre cerveau même. Ce bruit était lancinant, insolite, n'ayant aucun caractère commun avec les bruits même électroniques, que nous avions entendu auparavant. Une sorte de torpeur nous envahit mais nous laissant toute- fois parfaitement conscients. Nous regardions 1'engin mais il était impossible de nous regarder les uns des autres, car nos yeux avaient perdu toute mobilité et semblaient fixés à jamais sur la troublante apparition. Sous 1'engin il y avait également une sorte de coupole renversée percée d'ouvertures circulaires comme l'était d'ailleurs la coupole supérieure. Une peur irraisonnée nous envahit alors, une peur indéfinis- sable, la peur de l'inconnu. Des faisceaux ghacés et des bouffées de chaleur semblaient par alternance nous corroder tout l'intérieur. Ce n'était pas à vrai dire une douleur violente, mais plutôt une sorte d'emprise dont nous igno- rions l'origine et contre laquelle nous ne possédions aucune défense. On voyait, on sentait, on entendait, mais il nous etaxi otvor était impossible de faire le moindre geste. C'était un état absolument atroce. La coupole supérieure de l'engin était également percée d'ouvertures circulaires du genre hublots desquelles émanait une lueur diffuse. De ses bords opposés, partaient en obkique deux tiges semblables à des antennes télescopi- ques. Jamais, pour ma part, je n'avais vu une chose avec une telle précision. Tout à coup, la coupole supérieure se mit à tourner à une vitesse hallucinante et le bruit, supportable jusque là, prit une ampleur telle que nous etimes la sensation que notre tête était prise dans un étau et allait éclater, J'ai crié, mais mes camarades m'ont toujours dit n'avoir rien entendu. Notre vue se trouble une fraction de seconde, puis redevint normale. L'engin était maintenant entouré de luminescence dont les couleurs violentes semblei--- ent s'interpénétrer. Ces couleurs avaient quelque chose d'irréel, d'incompréhensible, sans aucun rapport avec les couleurs terrestres. On aurait dit que ces couleurs vivaient, qu'elles étaient dotées d'intelligence. On se sentit alors transporté dans un monde étrange, une sorte de kaleidoscope. Les couleurs changeaient sous nos yeux avec une rapidité inconcevable et prenaient, par instant, des formes géométri- ques, le plus souvent des tétraèdres. Je me souviens parti- culièrement de ce moment où j'ai ressenti une peur atroce, car j'avais la conviction que j'allais voir apparaître des êtres extra-terrestres, mais rien de cela ne se produisit. Et la coupole continua de tourner de plus en plus vite, en nous amenant presque même temps que le bruit augmentait au bord de l'évanouissement. Je vis alors les hublots dispa- raître pour faire place à un hublot unique immense ayant 3 for qat isto forme d'un hexagone et je me sentis pris comme sous un pouvoir hypnotique. Puis, tout à coup, dans un éclair fulgurant l'engin piqua vers le ciel. Instantanément, la paralysie et les troubles extérieurs que nous avions ressentis disparurent complètement. Je me précipitai alors à l'extérieur de la voiture, mais le ciel était absolument vide de tout engin Bien entendu la voiture repartit normalement. On s'arrêta à l'endroit où s'était posé 1'OVNI et, effecti- vement, il y avait sur le sol la trace du tripode et tout autour une sorte d'ombre ayant la circonférence de l'engin. Trois jours aprés l'évènement, je fus personnellement contac- té par un homme qui me décrivit intégralement ce que nous avions vu et ressenti. Cet homme semblait lire dans ma pensée et m'informa que je serais appelé à voir d'autres faits inso- lites dans un avenir plus ou moins lointain. Cet homme appa- ramment, était comme le commun des mortels, mais avec quelque chose de particulier dans le regard. Ce jour là en me quittant il me dit : "Les châteaux de MAUVEZIN et de MONTFORT cachent bien des secrets auxquels vous devriez vous intéresser." Puis, cet homme que je n'avais jamais vu, est parti comme il est venu. Depuis ce jour là, je suis convaincu que des extra- terrestres nous côtoient journellement. Je ressens cette vertitude comme si elle m'était dictée."1 LES CHRONIQUES DES MONDES PARALLELES DE TARADE. pages 138.139 140. 141. COMMUNIQUE PAR M. TEILLARD de MAZERES LEZONS (64) La