DEBUT 1956 BARRE DES CEVENNES.-(48) 56104396 Heure I h Témoins : M. BARBOULE, gendarme et M. SIGN gendarme, actuelle- ment en retraite, le Ier à HUCHARD (Gard) le Pème à St DIE(Vosges) Cette nuit là les deux gendarmes rentraient de tournée venant de CASSAGNAC, remontant le petit col en direction des BARRES, pous- sant leur vélo à la main. En bordure de route une grange. En par- venant à la hauteur de la grange ils entendirent soudain un grand bruit qu'ils assimilèrent à celui d'un moteur de camion. Aussitôt ils appuient leur vélo contre le mur de la grange pour attendre cette arrivée. En quelques secondes le bruit s'était amplifié in- tensément, c'était maintenant un vacarme assourdissant. Maintenant le bruit semblait venir d'en haut. Brusquement, en face d'eux, à quelques mètres du sol passant à une cinquantaine de mètres un énorme engin apparut. C'était une sorte de masse noire d'une dizai- ne de mètres de diamètre et de I m 20 de haut. A la base de l'engin à environ 0 m 60 du sol, des sortes de tuyères deşquelles sortaient comme des flammes courtes et rougeâtres. Elles se situaient tout autour de l'objet et à sa base. En même temps un vent chaud et fort. leur souffla visage, les plaquant sur le mur de la grange. au.. Ils virent l'engin continuer sa route et se diriger vers le terre plein. L'objet arriva sur le terre plein et les témoins remarque- rent que les " tuyères " rougeâtres devenaient de plus en plus sombres, alors qu sommet de l'engin s'alluma une sorte de coupole d'un blanc ivoire opaque. Et aussitôt, entre la base de cette cou- pole etle dessus de l'objet noir, sortirent des rayons de diverses couleurs : verts, jaunes, bleus, verdâtres et jammâtres qui aveu- " Se glaient. Pendant ce temps le vent émis par l'engin continuait à souffler. Les rayons se dirigeaient dans tous les sens, mais cer- tains étaient plus aveuglants que d'autres. Après l'apparition des rayons la coupole laissa échapper un objet. C'était un espèce de ballon blanc qui se détacha de l'engin. Il était lumineux par lui- même, mais non aveuglant, la teinte était mate, blanc ivoire. Après un parcours oblique de peu d'amplitude il partit en ligne droite en direction de CASTELEI puis il parut Longer la pente. Vitesse de déplacement faible. Arrivé près de la colline il dispa- rut derrière la crête. Il réapparut sur le côté gauche et continua de tourner autour de la colline. Il en fit 2 fois le tour et révint sans bruit vers l'engin passant à 50 m de nos deux gendarmes. Durant le périple du ballon les témoins avaient remarqué que des personnages se déplaçaient autour de l'engin. Ils étaient 4. Ils avaient la silhouette et la taille d'un homme et firent plu- soirs fois le tour de l'engin. Le ballon se posa sur la coupole ou rentra à l'intérieur Les êtres leur parurent assez gros, leur démarche lente, comment rentèrent-ils dans l'engin ? Ils ne peuvent le dire. Puis les rayons disparueet la coupole s'éteignit et un nouveau vent tiède se mit à souffler avec violence. Les "tuyères" ne s'allumèrent pas, un vacarme assourdissant se produisit, l'engin s'éleva du sol, verticalement, extrêmementit vite et les gendarmes n'eurent pas le temps de lever les yeux pour le voir disparaître, Les témoins eurent peur lorsqu'ils virent les êtres, et longtemps après le départ de l'engin ils tremblaient encore. Ils éprouvèrent des douleurs musculaires. Ils établirent un rapport pour leur Chef. L.D.L.N. N II6. (Fév. 1972) 2