26 SEPTEMBRE 1954.- CHABEUIL (26) 00000000 CONTRE ENQUETE par MIchel FIGUET (23 ans aprés) -enquêteur L.D.L.N. et A.A.M.T. HEURE: 14 H 30. 0000 0 10000 TEMOIN: Mme Lucette LEBOEUF; née Salin. LIEU CHABEUIL, lieu dit " Gontardes" 26120 B.3 M.77 Carte d&Etat Major I/25000 VALENCE 7.8. CONDITIONS ATMOSPHERIQUES : Temps gris et maussade, pluie fine une heure avant l'apparition et trés légère aprés. OBSERVATION : a) un engin en forme de toupie (comme une soucoupe avec dôme). b) un petit être d'un mètre dix à un mètre quinze qui paraissait enveloppé dans un scaphandre transparent des pieds à la tête (comme du cellophane). Il portait un casque, son visage n'était pas visible car l'avant de ce casque en forme de cloche était brouillé. (Déclaration du témoin au cours d'une contre enquête réalisée en 1974, soit 20 ans aprés les évènements). En 1954, Mme LEBOEUF avait soit-disant déclaré aux jour- nalistes venus 1'interviewer que les yeux de l'être la fixaient et que son visage était bien Humain(ce qui est faux). DEROULEMENT : Le témoin est occupé à ramasser desmûres dans un chemin creux, sur un petit plateau de 2 ha, en forme de trapèze dont les deux côtés (Sud et Ouest) surplombent le cimetière où elle était passée quelques temps auparavant pour fleurir le caveau familial. & "J'appelais ma chienne " Dolly" un cocker noir qui fola- trait à proximité dit-elle, comme elle arrivait prés de moi, elle tomba à l'arrêt et se mit à hurler à la mort (j'ai remarudé que les chiens du voisinage qui étaient attachés hurlaient également à la mort). C'est en levant la tête que je vis à 2 m 50 de moi un petit être qui sortait des mais (le champ n'avait qu'une dizaine de rangées). Son casque était brouillé, ses bras n'étaient pas visibles (ce qui ne veut pas dire qu'il n'en possédait pasp. J'ai hurlé et je me suis cachée dans la haie, la peur me faisait claquer des dents, il s'est avancé vers moi en sautillant. Ensuite, (je ne sais combien de temps je suis restée cachée dans la haie) du champ se trouvant derrière le carré de maïs, s'est élevé, un engin en forme de soucoupe ressemblant à une grosse toupie mécanique d'enfant, mais le dessous était plat. Le temps était gris, il venait de pleu- voir une heure avant, et cet appareil avait une couleur sombre, gris sale et terne. Je n'ai remarqué ni lumière, ni hublot (de ma place je n'ai pu à aucun moment distinguer l'engin lorsqu'il était au sol). Il s'est élevé lentement au-dessus du champ de maïs à l'hori- zontale, j'ai perçu un léger ronronnement pendant ce mouve- ment, puis il a basculé de 90° (position verticale) et a disparu en direction du Nord. Est à une vitesse vertigineuse en émettant un sifflement bizarre, je n'ai pas remarqué de mouvement giratoire. Les gens qui se trouvaient au cimetière ont entendu les hur- lements de ma chienne et le sifflement provoqué par la soucoupe Mon mari qui se trouvait au cimetière, at entendu le bruit de l'engin et lui qui travaillait dans l'aviation, gast sest parfaitement rendu compte qu'il ne s'agissait pas d'un avion à réaction. Des gens sont venus dont trois agriculteurs qui, à ma nine, ont bien vu qu'il m'était arrivé quelques chose de fantastique. Ils m'ont trouvéedans les buissons; j'étais comme paralysée et je ne pouvais appeler. La première chose que les agriculteurs ont fait, c'est de me mener à la ferme de M. MASSO et de me servir une grande tasse d'eau de vie." EFFETS: Sur le témoin : nous ne pouvons affirmer si la de paralysie du témoin est dûte à la peur ou à un effet provoqué par l'engin. Mme LEBOEEF est restée couchée deux jours avec la fièvre. La peur avait entrainée sur elle des troubles qualifiés de strictement féminins. (Enquête de M. Pierre BOUVARD de 1'Association Mondiale Interplanétaire). Sur les animaux : Dolly la chienne de Mme LEBOEUF a tremblé pendant trois jours et trois nuits consécutives. TRACES : I°) dans la première rangée de mais (la plus éloignée du chemin mais la plus proche des robiniers qui bordent le champ de luzerne), sepp pieds sont couchés en forme rayonnante. Une branche de robinier est cassée sous l'effet d'un 2°) effort dirigé de haut en bas, il s'agit d'une branche de 8 cm de diamètre. 3°) Sur un pobinier proche, une branche est complète- ment effeuillée, elle se trouve à 2 m 50 du sol. 4°) Des arbrisseaux, sous les robiniers ( aubépines, journalières) sont couchés, cassés, tassés, pliés, asq comme s'ils avaient reçu un choc important. 5°) Il existe un trou dans l'herbe de 15 cm de diamètre, situé sur la périphérie d'une trace circulaire. 6) Certains témoins auraient remarqué sur les lieux, des empreintes de pas comme une grosse patte de chien avec un talon étroit (Mais d'aprés un agriculteur, il s'agissait des traces de pas d'un tesson (blaireau). A NOTER : Des jeunes gens qui allaient au cinéma par la route de Montvendre virent la " soucoupe en vol. Un docteur de Chambéry (Savoir) aurait vu une " soucoupe volante" venant de la direction de VALENCE cinq minutes aprés l'observation au col du Chate) Mme LEBOEUF n'a jamais crié " n'ai pas peur Dolly, c'est un épouventail " pour la raison suivante, l'être qui mesu- rait I, I0 m est sorti de la dernière rangée de mais qui pouvait avoir deux mètres de haut, il n'était donc pas visible au milieu du champ comme le représente M. Jacques LOB dans son livre " Ceux venus d'ailleurs " aux Editions Dargaud. 0 Mme LEVOEUF a effectué cette correction sur l'album que lui présentait l'enquêteur LDLN. D'autre part en dessinant l'engin sur la demande de M. Jean Louis Ruchon, journaliste à l'agence A.I.G.L.E.S, Mme LEBOEUF a refusé de préciser certains détails sans vouloir donner la raison de son refus mais en précisant que des Scandinavex lui avaient demander en 1954 de ne pas divulguer certains points? Deux autres rencontres rapprochées proches de CHABEUIL. La première le I.I.1977 à 19 H 45. Lieu dit " LA SERRE " D. 154 entre Combovin et Chabeuil. Un disque prés du sol COU observé par M. et Mme PEREZ. Observation à 3 km 500 au SUD.EST du lieu de l'observation de Mme LEBOEUF (enquête de M. FIGUET, A.A.M.T - L.D.L.N) PV de gendarmerie de la brigade de Chabeuil, No 9 du 4 JANVIER 1977. La deuxième le 28.02.1978 à 19 H 45, PK 2 + 000 CD 200 entre Malissard et Chabeuil, 3 km 500 au SUD. OUEST du lieu de l'observation de Mme LEBOBUF. Décollage d'un objet lumineux observé par Mme BARZIE et son fils ( enquête de M. FIGUET. PV de gendarmerie de la brigade de Chabeuil N° 255 du 10.03.1 1978. SOURCES: Catalogue Vallée, cas N° 156. Michel CARROUGES" Les apparitions de Martiens ". Aimé MICHEL " A propos des soucoupes volantes ". 6 Le Progrés - 1'Echo Liberté - Le provençal du 29/09/1954. Le figaro, Combat, le Parisien du 30/09/1954. Jacques LOB et Robert GIGI "Ceux venus d'ailleurs. P.II ENQUETE DE Pierre BOUVARD de 1'Association Mondiale Interpla- nétaire. L.D.L.N N° 177 (AOUT, SEPTEMBRE 1978) P. 16.17.18.