( ENTRE 1968cm JA LA -(Uruguay) HEURE 18 II 30. À inex URUS TEMOINS H. Yamandée LOPEZ, bijoutier marié, père de 5 enfants - 3 doe ses engants José (13 ans) Rosario (II ano) Fernando (8 ans). LES FAITSH. TAMANDEE profitait avec sa famille d'un repos bien mérité dans leur résidende d'été. A I8 h 30, il partit en direction de la plage de SANGRILA en compagnie de 3 de ses enfants. Il avait sur lui, un appareil photo raphique et se disposait à photographier les enfants Quelques instants aprés ŝtre arrivé sur la plage, il se tenait debout sur le sable préparant l'instrument, tandis que les enfants s'amusaient. Brusquement il commença à perosvoir une espèce d'étrange vrombissement provenant du ciel. En levont la tête il put observer la présence d'un objet insolite qui ascendait dans le ciel jusqu'à se perdre dans le lointain. Conformément à sa déclaration, il s'agis- sait d'un engin apparemment métallique, de forme circulaire argenté par dessous et sombre dans sa partie supérieure, où en plus on pouvait apprécier une protuberance en forme de coupole. Surmontant see stupeur initiale, le témoin eut la présence d'esprit de hever l'appareil photo et prendre les clichés qui oonstituent le motif de notre commentaire. Notre prise de contact avec M. LOPEZ ne se produisit qu'une année plus tard, lorsque la nouvelle arriva jusqu'à moi par l'intermédiaire d'un ami commun. Le témoin voyant dans la diffusion de l'histoire une publicité qu'il ne désirait pas et oraignent les moqueries Xx qui disorédito-- raient son prestige professionnel, avait décidé de main- tenir secrète son observation et de n'en parler qu'avec ses familiers et intimes. De telle sorte que ce ne fut pas une tache facile de le convainore de nous montrer les photos et de nous conter son expérience. Aprés nous être mis d'accord avec le témoin, nous procédines à une exhaus tive et minutieuse recherche des faits, en insistant plus particulièrement sur l'étude des négatifs qui furent mis trés aimablement à notre disposition. Dans le but de réaliser une analyse la plus serrée pos- sible et mettant à profit mes talents de photographe professionnel je décidai de soumettre les négatifs à une série d'études nationales et internationales. Dans un premier temps, je fis appol au concours de deur experts étroitement liés à l'ambaosade dos USA : KK. BONFILIO et PIRIZ appartenant au Service Culturel. Sans se prononcer quant à la réalité, ou non des OVNI et leur présumée origine, ils me rédigèrent une note dont voici l'essentiels" Les photos sont authentiques et sont le fidèle reflet de ce qu'enregistra l'appareil. Il n'y a aucune trace de retouche. On n'a pu détecter anoun truoage classique. En oonséquence nous arrivons à la conolusion qu'il s'agit d'un objet solide dont la taille oscillerait autour de 5 mòtros. Toutefois, ne pouvant établir avec exactitude la distance à laquelle il se À trouve, nous n'éliminons pas la possibilité que la taille soit plus grande enoore." L'appareil utilisé a été un AGFA à soufflet, avec une vitesse de 250, réglé sur l'infini, et avec le diaphrag me ouvert au maximum. Cherchant de nouveaux avis, je m'envolai vers l'Argentine à Buenos Aires, dans l'intention de soumettre les négatifs à divers seientifiques de ce pays. Je restai oing jours dans cette ville, période durant laquelle j'ous des en- trevues avec plusieurs esports photographes, Messiours Juan Carlos CALE de la revue " 2001 et Martin Mao RETBOLD de 1'Agence " U.P.I. ". Ce dernier ne se prononga ni pour ni contre l'existence des OVNI. Mois tous deux furent d'accord quant à l'earthenticité des photographies. A la lumière de tous ces faits, l'observation de Sangrila se présonte à nous avec d'immenses possibilités. La probité du témoin, sa grande réputation d'homme sérieux, intelligent, responsable, sont confirmées par ses clients voisins et amis. Ses 3 enfants corroborant l'histoire dans tous les détails et les photographies présentées par lui semblent éloigner le moindre doute possible. DOCUMENT REALISE ET TRANSMIS par M. Walter FERNANDEZ LUNA YI 1887. Apt 7 MONTEVIDEO - URUGUTY. LDLM N° 172 (Fev. 1978) P. 21.22