13 8 7.9 22 AOUT 1968.- == VILLIERS EN HORVAN. (21) 0000000 20000 sehr contre enquête par enquêteur J.T. Bet, tres awline HEURE IO H 15 4 Il TEMOINS M. Marius CARRE. N. Paul BILLARD. Les deux témoins, observèrent au sol un " rectangle blanc lumineux émettont une colonne luaineuse." LIEU VILLIERS EN MORVANT, petit village à 8 kms de Liernais, 4 kms de Brazey en Morvan. Carte Michelin 65, pli 17. Sur la route D. II7, Villiers est bati à flanc de cotonu, traversé de routes étroites, à l'altitude de 450 mètres en moyenne. Vers l'Ouest part un ohemin étroit, difficilemont praticable en voiture, conduisent au NORD.OUEST du villago, à la côte 517 ct so terminant par un chemin d'exploitation. Burdetto butte que travaillaiont les deux témoins, dans un champ de soighe. C'est ainsi que l'enquêteur, M. TYRODE, instituteur à Evilliers, situe les lieux de l'observation. "De la batte, en suivant un sentior bordé de haies, on arrivo successivement à un champ de pommes de terro, à un champ d'avoine et enfin à une haie dans laquello pousse un ohone qui servira de point de repère aux témoins pour re- trouver la direction de leur observation. Si l'on tourne le dos à la cota 517, on jouit d'un magni- fique panorama s'étendant sur les départements de la Nièvro, de la Sane et Loire et sur l'anclave Cote d'Orienne de Monnesaire. Placés comme ils l'étaient, les deux oultivateurs pouvaient aperoevoir le vallon parcourui par la D. 106 B et la D.234, 6/2 puis une colline jalonnée par les côtes 488, 476; derrière elle passe la RN 30; plus au loin la vuc s'étend encore. C'est aur les flancs de cette oollino, sur une vieille voie romaine, à 2 kms 200 des témoinc, que s'est produit le phénomène ayant motivé l'onquête." La 2 Août 1968, vers 10 H 45, M. M. Marius CARRE et Paul BILLARD, 40 ans environ, étaient vanus avoo une charrette tirée par un tracteur ramasser des corbes de ziekeseigle dans le champ de M. CARRE. . Carré était suur lo tractour et M.. Billard sur la char rette pour ronger la moissonneue Ils avaient bien romar qué dans une plantation de sapins appartenant à . Joan Viard, magon à BUIS (Saône et Loire) et sur la colline en face, une sorte de rectangle blano posé au sol, comme un Journal (tondu, disent-ils, mais sans pouvoir en préciser les dimensions. Ils étaient en train de regarder à nouveau cot objet lors- qu'ils curent la etupéfaction de constater que la chose s'illuminait progressivament. De blanche au début, elle devient bleutée, puis din blou blouissant insupportable, comme la lueur d'un are électrique. Pula l'aspect changea, los deux témoins no puront préciser le changement de forme, car il leur était pénible de fixer l'objet. Toujours est- 11 qu'ils auront ensuite una vision étonnante.. Bion que la lueur gontinuat de rester à la meno place, une espèce de prolongement lumineux s'en détachait, se diri- geait vers aux, tout comme si cette lumière était solide, formant une colonne. Partant du point où se siturit le oarré blang la colonne avangait rapidement pour venir a'arrêter, ayant parcouru le distance de 2.200 mètres, - 4/3 sur la haie que nous avons signalée, où paussait un chinc, à 50 mètres d'oux. On pourrait comparer l'impression que lour a donnée 11anco de cette " lumière " au déploie- pent d'un gigantesque soufflet d'un appareil photo dont le corps se situerait à plus de 2 kms. Malgré la difficulta de soutonir l'éolat de cette lueur, les doux témoins sont catégoriques quant à leurs remarques. Lorsque la lumièro" attognit la hais ils euront tous les doux la meno impres- sion cola disaient ils offrait le même aspect qu'une inwonse cheminée d'usine, qui serait vue par le hout, c'est-à-dire de deux corales concentriques, le plus petit sur la haie, l'autre au loin str lo rectangle Cette cheminée rayonnait une lumière bleue vive autour d'elle. A d'autres enquateurs les témoins ont signalé que le bout du tube " luineux, d'un diamètre de I à 2 mètres, paraissait dessiner comme une toile d'araignée brillante. Parvenue à la hoio, la lueur parut retourner à son point do départ comme le soufflot qui se forme. prés cela les deux cultivateurs purent à nouveau aper- cevoir le rectangle blanc à son emplacement, puis tout disparut. Toutefois avant ootte disparition, sans qu'ils puissent tre affirmatifs, il leur a comblé qu'une sorte de dicque ou de boule grisâtre était posée sur le rectan- gle. Bien que leur vue fit fatiguée, les témoina purent pour- suivre leur täche ce jour là ainsi que les jours suivants. Commentaire de M.TYRONS: Ni 100 gendannes qui ont enquete, af moi-mana, n'avons pu découvrir do tragou ru sol, ni trouver d'autros, tóni- macos. Il faut remarquer que, si du quté des pa temats 1 ( la vue est trés vaste, du côté du phénomène elle est trés limitée et de cet emplacement on n'aperçoit absolument cucun lieu bé, ni villago, ni maison isoléo. L'objet BG Bituerait d'aprén les repères relevés rur la voio romaine venant de Chiney en Morvan, nu milion de sapina do trois ans qui ne semblaiont pas avoir souffert ou no- ment de l'enquête- Les gendarmes qui ont effectué leur enquête m'ont bien précisé qu'en raison de la configuration du terrain ot bien que l'objet et la voiture éventuella n'aient été súpzzés que de 300 à 400 metres, ni l'un ni l'autre n'aurai pu se voir.. Ces deux témoins sont parfaitement sincères et de bonne foi. Je cite tout spécialement M. CARRE qui était trés gené pour me raconter ce qu'il avait vu et j'en connais la raison. En effet, j'avais appris à VILLIERS et à BRAZEY qu'il avait bammooup raillé M. MICLOT, le traitent d'illuminé " pour son observation du 21 Juin 1968. Il est bien probable que s'il avait été le seul témoin de ce spectacle il n'en aurait jamais parlé. ENQUETE DE Jean TYRODS. Kyatériausos S.V. " P.96 à 99. "