MARS 1968 Hum délirant OTOKO-(Bolivie) HEURE 18 H (locale) Cesoir là, no Valentina FLORES sortit pour faire rentrer dans leurs enclos son troupeau de brebis et son cheptel de lamas qui paissaient à environ I kan de là. Elle avait déjà enfermé ses brebis et revenait avec ses lamas lors- qu'elle remarqua avec étonnement que l'enclos de ses brobis était recouvert d'une sorte de filet qui semblait etre fait en matière plastique. A l'intérieur de l'enclos, elle vit un petit homme de 1,10 m environ, occupé à tuer ses brobis avec un gros tube comportant un crochet à une extrêmité. Pensant qu'il s'agissait d'un voleur de trou- peau, Mme FLORES lui lança des piorres; alors l'étrange créature se dirigea vers une boîte, reposant sur quatre pieds, ressemblant à un posto de radio; il tourna une roue sur le dessus du poste et celui-ci absorba rapide- mont tout le filet tendu au-dessus de l'enclos. Mme FLORES est une maftrosse forme; elle s'arma d'un baton ot s'approcha de 1'enclos pour corriger le voleur. Mais le pseudo-voleur s'avança vers elle, armé du même instrument avec loquel il avait saigié les brebis et le langa plusieurs fois contro olle en lui infligeant ainsi de légères coupures aux bras; chaque fois l'instrument lui revenait dans la main droite, comme un boomorang. Puis, le petit humanoide ramassa la machine qui avait absorbé le filet, ainsi qu'un sac qui semblait fait d'une matière plastique transparente où il aurait déposé les viscères des brebis sacrifiées. BOLIV L'humanoïde était coiffé d'un casqueoà visière du genre de nos coureurs automobiles, surmonté d'une tige de 3 centimètres environ, doublement recourbée en forme de 8 et semblant métallique. Il était vêtu d'une combinaison sombre dont les jambes rentraient dans de grosses bottes semblant fourrées. Il portait sur le dos un sac, à angles relativement vifs, plus gros que ceux de nos cosmonautes en exploration lunaire; ce sac était retenu par deux grosses sangles claires, trés larges, croisées sur la poitrino de 1'humanoIde. Une tigo rigide, semblant métallique, terminée par une boule sortait du dessus du sac. Tenant" 1'appareil au filet" d'une main, le sac à viscères de l'autre, doux gros tubes sortirent de dessous le sac à dos, sur les côtés, jusqu'à toushor terre. Alors le petit homme commença à s'élever dans l'air puis, accélétant sa montée avec un bruit extraordinaire de sifflement il finit par disparaître. L'alerte donnée, la police arriva aussitôt sur les lieux elle constata la perte de 34 brebis, ainsi que l'absence chez chacun des cadavres, de petites sections du tube digestif et d'organos. Vime FLORES a été soumise à un interrogatoiro serré et à une surveillanco; les enquêteurs furent : le Colonel Robelio AYALA,le Lieutenent Alfredo AMPUERO et Carlos COSO del'armée, ainsi que le docteur Jean SEA et M. Jesus PEREIRA du comissariat de la police locale. Pablo AYALA fils du olonel, traça un cupqués de 1'humanoide d'aprés le témoignage de Mme FLORES. EXTRAIT DU LIVRE DE HENRY DURRAIT, "PREMIERES ENQUETES SUR LES HUMANOIDES EXTRATERRESTRES" P. 98 à 100. 9