FEVRIER 1968. SUNNUNGA, région de Sao Paulo. (Brésil) HEURE : DINGUE! AN. 1979 BRE vers 05 H 40 Le protagoniste de cet incident, M. Luis FLOZINO, est marié depuis neuf ans et père de 8 enfants; la famille vit dans des conditions plus que modestes dans les faubourgs de la ville où M. FLOZINO travaille à la charora do Morais, comme ouvrier agricole. Pour se rendre à son travail, à l'époque de la coupe du riz, il lui fallait se lever de grand matin et parcourir à pied quelque 4 kilomètres. Ce jour là, vers 05 II 40, son épouse achevait de lui préparer son casseforottte et, son petit déjeuner terminé, il roulait son premier cigare de la journée, lorsqu'il entendit dans le vois voisin, un bruit de branches froissées. Sans transition, il so sentit saisi à mi-corps par une force qui le tirait à l'extérieur de l'habitation dont la porte était ouverte et traîné en demi-suspension dans l'air. Dans ses efforts pour se libéror, il ne réussit qu'à réaliser un freinage partiel de ses pieds eu sol, et en fut même déchaussé, tandis qu'il luttait pour ne pas perdre l'équilibre. La force, dont il ne voyait ni ne cromprenait l'origine, 1'entraînait irrésistiblenant dans la direction du petit bois, situé à quelque deux cent mètres de là. Arrivé à la lisière, il chuta sur le sol, et fut ensuite tiré par 1'arrière, sur le coté droit, reprenant son inconfortable voyage vers l'intérieur du bois. Ils s'aperçut alors que tous ces désagréments avaient pour origine deux quidams d'aspect étrange : il s'agissait d'êtres dont la taille no dépassait pas cette de son fils Orlando, Bgé de treize ans (soit I m 42) et passablement laids eu égard à nos standards habituels. Lours yeur avaiont un aspect asymétrique, leurs cheveux pandaient sur leur épaules et le bas de leur visage dis- paraissaient sous une barbe hisurte. Avant que le témoin put noter d'autres détails, ces " individus suspects " 1'empoignèrent sans aménité, convorwant entre eux avec animation dans une langue inconnue du témoin. L'eun de ses agresseurs lui asséna, nos sans brutalité, trois coups sur l'oreille droite, mais FLOZINO qui était un solide gaillard, réussit à se dégager. Haletant, il se releva encore étourdi, tandis que les inconnus revenaient à la charge. Le cultivateur décida de faire face, mais ses agresseurs se déplaçaient avec agilité. Dans le corps à corps qui suivit, ile réussit néanmoins à les culbuter 1 un sur l'autre. Les deux entités se relovèrent prestement et échangèrent entre elles quelques mots, puis s'adressant au témoin, en portugais : "Mainte- nant nous partons, car avec vous nous ne pouvons..." (suivant le témoin aux enquêteurs de la S.B.E.D.N) Une autre version, celle du journal" ULTIMA HORA" du 2 MARS 1969, est la suivante : "Maintenant nous partons, parce qu avec vous nous ne pouvons pas mesurer notre fore Tournent simultanément les talons, ils pénètrèrent à 1'intériour du bois sans se presser. Le témoin reprenant ses esprits et furieuz de cette agression incomprékensi- se mit à leur poursuite, les rattrapa, et empoignant leurs longs cheveux flottants, il les amarra (sic) 1'un à l'autre en les nouant (11). Les deux 8thes continue rent imperturbablement leur chemin, sans dénouer leurs cheveux. Ils progressaient avec facilité à l'intérieur des fourrés, qui günaient la progression du cultivateur. Colui-ci dut finalement rononcer à la poursuite. Une des circonstances de ce bigarre incident laissa le témoin interrogatif # son jeune chien Mervoso qui l'ac- compagnait dans tous ses déplacements, bondit à Ba suite alors qu'il était entrainé en direction du bois et parvint à 4 mètres des entités où il s'arroba en aboyant furieu- sement. Il se mit tout à coup à hurler et à gómir et bientot roule à terre et so mit en boule. Lorsque les agresseurs se retirèrent, le chien continuait à se rouler sur le sol, sans plus se plaindre toutefois. Aprés quel- ques minutes, il se remit sur ses pattes et se releva maladroitement, encore tout étourdi de ses convulsions Le témoin rencontrant pou de temps aprés son chef M. WALDIRO CONTO, lui conta sa mésaventure et lui montra son oreille contusionnéo. Son supérieur lui conseilla d'aller faire une déposition à la police locale. En chemin le témoin croisa 1'automobile du docteur Claude, prévenu par son épouse et fut invité à y prendre place. Le Dr Claude nota 1'état d' énervement et excitation extrême du clutivateur, qui me cessa pas pendant qu'il faisait sa déposition. Un petit groupe comptant oing policiers et le médecin fut constitué et retourna sur les lieux, eoù des traînées dans 1'herbe et des traces de lutte furent relevée à l'orée du bois. DESCRIPTION DES AGRESSEURS: d'une anatomie générale du type humanoide, ils s'on différenciaient notablement per les yeux, non dans l'écartement horizontal, semblable au notre, mais en ce que l'oeil gauche se situait 3 ou 4 centimètres plus haut que le droit (aspect asymétrique). Les cheveux flottant librement sur les épaules mesuraient 65 centimètres de long, les barbes 50. Ces ornements pileus ne laissaient pas apparaître le cou et étaient d'un noir huileux. La peau du visage semblait normale, encore que peu visible sous les poils qui l'encadraient. Le vêtement consistait en une culotte agrémentée de dessins de couleurs varices dont le témoin ne garde aucun souvenir, et d'une blouse blanche à manches courtes qui paraissait ne pas tre boutonnées. Ils étaient chaussés de petites bottes noires dont la partie supérieure atteignait le bas du pantalon. Ils étaient de taille égale et se déplagaient normalement mais avec une trés grande agilité. Le petit homme qui frappa FLOZINO le premier se dérobait facilement quand celui-ci tentait de riposter. Le chien du témoin refusa toute nourriture et toute boisson pendant le reste de la journée. Il fut trouvé mort à la porte de la chambre de son matire, un mois aprés 1'incident, le corps enflé. Pendant la période qui précéda sa mort il fut absolument impossible de le faire pénétrer dans le petit bois. Le témoin est d'un niveau d'instruction réduit mais honorablement connu dans la région où il passe pour un homme travailleur et sobre. I1 affirme n'avoir rien lu sur le phénomène OVII hormis des entrefilets occasionnels dans les journaux. Il est à noter que le rapport de police de PIRASSUNGA MOHTEIONd des traces de lutte visibles sur les lieux, et que le témoin portait d'indiscutables traces de coups sur le visage et le corps. Un OVNI fut aperçu le même jour alors qu'il atterrissait dans une risière non loin de là. En outre le 20 FEVRIER 1966: un OVNI posé dans un jarding rapport de J.A. FIOCO. Le 19 HOVEMBRE 1968: quatre entités aperçues sur la route à l'entrée de PIRASSUNUNGA; rapport de quatre édu- diants. Le 6 FEVRIER 1969: entités aperçues par M. Tiago MACHADO à 07 II 00 du matin. Tous cos évènements sont localisés dans un rayon de moins de 10 km autour de la ville en question. EXTRAIT DU LIVRE DE HENRY DURRANT" PREMIERES ENQUSTES SUR LES HUMANOIDES EXTRATERRESTRES." P. 69.70.71.72.73.