ET 1968.- Près de SIERRA CHICA.-(Argentine) 00000 000000000000 Contact # ARG Houre vers 12 h 30 TEMOIN : Oscar Horiberto IRIART, 15 ans, faisant partie d'une famille de 4 enfants Fard lle honorable. De puis l'histoire fantastique arrivé à son enfant, la mère pleure inconsolable en armonçant qu'ils " lui avaient dit qu'ils reviendraient pour 1'emmener loin avec eux. Oscar est un garçon blond aux yeux clairs, à l'expresalon franche et intelligente. Il est comptable et aide ses parents au travail de la ferre. Oscar répéta son histoire au reporter de " EL POPULAR ". Il inspectait la ferme à cheval, il était environ 12 h 30, 11 arriva à un endroit où de nombreux poteaux de clôture étaient déposés; 11 eut l'idée de les prendre pour les ramener à la maison. "J'était à cheval le long de la clôture, dit-il quand, près d'un coin du champ je vis deur personnes qui me faisaient des signes pour que je m'approche d'elles. Tout d'abord je pensais que c'étal- ent des gens qui chassaient les obseaux, ausad je m'en approchais sana la moindre peur. Quand je fus près d'enx, je vis une étrange machine non loin. A notre demande, Oscar fit un dessin d'un objet de forme elliptique avec 3 pieds en dessous. Il avait 2 m de long et à peu près 60 cm de haut. Les pieds mesuraient 55 cm environ et l'un d'entre eux se trouvait plus en arrière que les deux autres. L'engin était couleur gris métallisé et se trouvait près d'un canal à côté d'une route. Ile composait de deux parties divisées langitudinalement par une ligne qui séparait ce qui paraissait être le sormet de la moitié inférieure. Le garçon continué en disant que ceux qui l'avaient SUITE SIERRA CHICA- appelé, avaient une apparence humaine et parlaient d'une manière similaire à celle des gens de la Terre. Ils avaient les cheveux très courts, mais ce qui l'impressionna le plus fut leure your enfoncés dans leurs orbites et qui avaient unregard fixe c.àsd. qu'ils ne bougaient pas du tout. Au-dessus de la taille ils étaient habillés d'un vêtement rouge qu'Oscar compara à un chandail La chose la plus surprenente était qu'au-dessous de la taille ils étaient complètement transparents de sorte que l'on pouvait voir ce qui se trouvait derrière eux. Leurs pieds étaient visibles et couverts par une sorte de hotte noire. Oscar dit qu'ils lui annoncèrent qu'il allait connaître le monde. Ce à quoi il répon- dit qu'il le connaftrait quand il aurait de l'argent, pensant que c'était ime plaisanterie. Ensuite ils lui donnèrent me enveloppe avec un papier à l'intérieur sur lequel était écrit le ressage suivant : " VOUS ALLEZ COTRAITRE LE MONDE !". Ensuite ila lui dirent de mettre le papier dans l'eau. " J'allais près de la clô- ture dit Oscar, et passais la main à travers le fil de fer pour immerger le papier dans l'étang, aur le côté de la route, près de la S.V. Imagines na surprise quand ni le papier, ni ma main ne fu- rent mouillée !" "Nous ne pouvons t'emmener avec nous parce que nous sommes char- gés mais nous reviendrons pour toi." Ensuite ils allerent vers la S.V. montèrent au sommet et disparurent à 1'intérieur. Aussitôt après 1'appareil décolla verticalement et disparut sans bruit. Il se perdit dans la brue aux environs de 30 à 40 m de hauteur. * J'aurais voulu pouvoir m'enfuir sur mon cheval déclara Oscar, mais je n'ai pas pu car l'animal ne répondait pas aux coups de fouet que je lui donnais, de n'ést seulement qu'après qu'ils aient dis- parus que l'animal comença à galoper." Les reporters du journal "EL POPULAR" allètent sur les lieux où 1'incident se déroula, SUTTE SIERRA CHICA.- à Ikm de la maison des IRIART. Il y avait 3 dépressions nettement marquées sur le sol, formant un TRIANGLE PARFAIT, Les photographes découvrirent qu'il était isodèle. La profondeur des trous étaitax la mêre, aux environs de II cm 5. Base du triangle; 2 m 58 pour chaque côté -hauteur: I m 21. Angles à la Base 50° chacum, Angle my sommet: 80°, 1'angle formé là où la hauteur bissectait la base était de 90°. Il y a autre chose de très intéressant, dans cette histoire. Is sergent de police, CORONEL, 47 ans, chargé de la sur- veillance de la rue dans SIERRA CHICA, reçut l'annonce du garçon IRIART comme un canular disent " Tout n'est que fantaisie. Te ne orois pas en quelque soucoupe que ce soit exceptées celles que ma femme pose sur la table !" Wannoina, il alla à l'endroit indiqué par le garçon, 4 voisins 1'accompagnatent. En atteignant le lieu de l'apparition, il s'ar- reta brusquement, à 75 m environ, à quelques 100 m de haut planait la soucoupe, Soudain, à la grande peur des 5 hommes, elle se balan- ça bers eux. Ce fut un moment de terreur. Au milieu d'un bruit infernal elle se dirigeait sur eux. Ils ne jetèrent au sol. Le sergent qui n'avait cependant pas perdu son sang froid, tira plusieurs coups de feu sur la soucoupe avec son pistolet de service. Celle-cf passe au-dessus d'eux volant du NORD vers 1'QUEST. Terrifiés ils la regardèrent s'éloigner puis disparaftre environ en 4 m. LA TRIBUNA du 3 Juillet 1968 (traduction Christian Hosselsyre) portée au CATALOGUE VALLE sous le N° 916.