1 TRIL 1964.- 4 NEWARK VALLEY.-(U.S.A.) 0000000000000 626) NVT Wilcobr on RE douteux HEURE: 10 H 00 (locale) сем Cet incident c'est produit le même jour que la fameuse rencontre faite par l'agent de police Lonnie ZAMORA, à SOCCORO (Nouveau Mexique) et a été complètement oblitérée par elle; nous avons traduit ici la déclaration officielle du témoin, rédigée aprés interrogatoire, contresignée et entegistrée par le commissaire de police d'OWEGO (comté de Tioga) Paul J. TAYLOR, et son adjoint George WILLIAMS, le Ier MAI 1964 # " Je soussigné, Garry THELBERT WILCOX, déclare avoir 28 ans au 7e jour du présent mois, étant né le 7 Mai 1936, à ENDICOTT, NewYyok. J'habite sur la RD. N° I, Newark Je suis Valley, New York, avec ma femihe Judith, Lynda. exploitant d'une ferme laitière. J'ai obtenu mon certifi- cat à la Newark Valley Central School en 1954. A IO H. 00 du matin environ, Vendredi dernier, 24 AVRIL 1964, j'épandais du fumier, avec mon épandeur sur l'un de forme. Ma maison est la mes champs situé à l'Est de ma seconde sur la gauche, en bordure de Davis Hollow Road, qui va de Wilson Creek Road à Newark Valley. Le temps était clair et le soleil brillait. Le terrain était sec. Je jetai un coup d'oeil au sommet de la colline, du champ où je travaillais et remarquai un objet brillant tout en haut. Je pensai à ce moment là que c'était le réfrigérateur abandonné, que je savais être là. Aprés un autre coup d'oeil, je remarquai que cet. objet ne semblait pas être le réfrigérateur, mais que c'était quelque chose d'autre. Alors je dirigeai le tracteur et son épandeur sur la pente de la colline, en direction de l'objet. La distance entre le pied de la colline, d'où j'avais d'abord remarqué l'objet, et son sommet, où il m'est- apparu, est d'environ 800 yards (731 mètres) environ. C'est pendant que je grimpais la colline vers l'objet, à environ 100 yards de lui-(91 m environ) que j'ai pensé qu'il s'agissait d'un réservoir supplémentaire d'aile tombé d'un avion. Je n'en étais pas étonné. J'arrêtai le tracteur à cet endroit et je fis à pied les 100 yards restant jusqu'à l'objet. La première chose que je remar- quai fut qu'il était au-dessus du sol et qu'il était un peu plus gros qu'une voiture (dans le sens de la longueur). Il était de forme oblongue, quelque chose comme un oeuf. Il ne comportait ni soudure, ni rivet, ni quoi que ce soit de ce genre. Il était absolument lisse. Il était de couleur aluminium. Je touchai la chose et son métal était plus dur que l'aluminium et elle ne bougeait pas? Je ne sais pas si elle était posée sur des pieds ou si elle se maintenait en l'air. Elle avait environ 21 pidas de longueur (6 mètres) environ) 4 pieds de hauteur (I, 21 m 'environ) et 15 ou 16 pieds de largeur (4, 57 m ou 4; 80 m environ). Pendant que j'estimais tout cela, il n'y avait aucune vibration, aucun son et la chose n'était ni chaude ni quoi que ce soit d'autre. Alors que je la touchais, deux petits hommes d'environ 4 pieds de haut (I m 21 environ) sortirent de dessous eet" objet réservoir " (sic). Je ne sais d'où ils venaient. Chacun d'eux portait un plateau d'environ un pied carré (9 dm2 29). Les plateaux somblaient être faits de la même matière que le vaisseau (réservoir). Sur ces plateaux se trouvai- ent ce qui m'a paru être des touffes d'herbe. Je me tenais debout à environ I pied (30 centimètres environ) du vaissent Les deux petits hommes se dirigèrent vers noi de dessous le vaisseau. Ils s'arrotèrent à environ I yard de moi. Alors il me sembla que l'un d'entre eux parlait et me disait " Ne craignei rion, nous avons déjà parlé à des gons." Lours voix ne résonnaient pas comme une voix que je pourrai décrire. Je pouvais comprendre ce qui m'était dit, mais je ne puis dire s'ils perlaient anglais ou non. L'un des hommes se tenait en arrière de l'autre. Je pou- vais voir que ces deux hommes de quatre pieds de haut avaient des bras et des jambes comme nous. Je ne pourrais dire s'ils avaient des pieds et des mains semblables aux notros. Ils étaient assez larges pour de si petites per- sonnes (ou individus) Je ne pouvais distinguer s'ils avaient des épaules ou non; elles semblaient exactement tomber droit. Ils n'avaient pas de figure, telle qu'avec des yeux, des oreilles, un nez, une bouche ou des cheveux. La voix semblait venir d'auprés d'oux plutôt que de chacun d'oux. Ils semblaient avoir une sorte de vêtement qui couvrait l'endroit, où normalement il aurait dit y avoir la tête. Quand ils levaient lours bras je pouvais voir un bourrelet 1), où nous aurions notre coude. La couleur de cette combinaison complète entièrement souple était blanc-aluminium. Il n'y avait pas trace de cheveux. Il n'y avait ni couture, ou piqure aux pobhes. 11B me diront " Nous venons de ce que vous appelez la planète MARS." Ils me demanderent ensuite ce que je faisais. Je leur dis que j'épandais du fumier. Ils me ls me demandèrent de leur expliquer cela plus en détail. Ils semblèrent s'intéresser à ce qu'était ce fumier. Quand je leur ous dit ce qu'il était et d'où il prove- nait, ile me demandèrent ce que je faisais pousser d'autre avec cette matière. C'6st--dire quand je lour ai parlé de la chaux et de l'ongrais. Ils n'ont rien dit sur la chaux mais ont été intéressés par l'engrais. Je leur ai dit qu'il était fabriqué avec les os d'animaux morts. Pendant que je leur expliquais la fonction de l'engrais ils me demandèrent s'ils pouvaient en avoir. He leur répondis que je devais retourner à la ferme pour en prendre. Alors l'un d'eux me dit qu'ils visitaient cet hémisphère. Je ne sais pas lequel c'était comme je vous l'ai déjà dit. La voix semblait provenir de celui de devant, le plus proche de moi. Je leur demandai alors si je pouvais y aller Ils me répondirent qu'ils ne pouvaient venir ici (sur Terre) que tous les deux ans. Leur conversation semblait passer rapidement d'un sujet à un autre. Ils remarquèrent que nous ne pouvions envoyer des gens dans l'espace. Ils me dirent qu'ils nous avaient surveillés. Ils déclarèrent que nous ne pourrions vivre sur Mars et qu'ils ne pourrai- ent vivre ici sur Terro. Ils me dirent aussi que pour vivre ibi extrayaient de la matière de l'air et qu'ils étaient ici pour voir ce qu'ils pourraient apprendre sur notre matière organique, parce qu'ils pensaient que la Terre et Mars, ainsi que d'autres planètes devraient modifier leur environnement. Ils précisèrent qu'ile oxistait une diffé- rence de gravité et qu'une modification était en train de se produire. Ils avouèrent qu'ils ne pouvaient voler prés nos villes parce que les funées et les matières (on aspension) dans l'air affectaient le vol de lour Vaisseau; qu'ils essayaient de rosta là où l'air était pur. Ils semblaient en savoir beaucoup plus sur les pla nètes, l'air et toutes ces sortes de choses mais ils ne semblaient pas en savoir long sur notre agriculture. Ils me dirent aussi que les gens de chez nous qui avaient pénétré dans l'espace ne survivraient pas plus d'une année. Ils retournèrent alors sous le vaisseau et disparurent. Ils se baissèrent un peu quand ils pénètrèrent dessous. Alors le vaisseau sembla planer. J'entendis un bruit, comme un malenti de voiture. Il n'était pas fort. Puis il décolla lentement au-dessus de la vallée en direction de la ferme des SOKOLOSKI et disparut en l'air aprés avoir parcouru environ 150 pidas (45 m environ). Pas de chaleur, d'explosion, de vent, de poussière de bruit (autre que le son du ralenti); de lumière ou quoi que ce soit d'autre que le vaisseau aurait pu laisser derrière lui aprés son décollage. Ils n'essayèrent pas de me blesser de quelque façon et il n'y avait rien eux qui ressemblat à une arme. Ils n'élet avec vaient ni n'abaissaient pas leur voix. C'était la même tout au long de la conversation, dont ils firent presque tous les frais, Aprés leur départ, je revins à la maison et appelai ma mère au téléphone. Je lui racontai mon observation de l'objet dans ses grandes lignes. Puis j'allai traire les vabhes et accomplis d'autres tâches. Je retournai au sommet de la colline avec un chargement de fumier, vors 16 H 30 envi- ron et je posai un sac d'engrais sur le couvercle de l'épan- dour. Quand j'arrivai au sommet de la colline, là où le vaisseau avait été, je fis tomber le sac d'engrais au sol et le laissai là. Le lendemain matin je remarquai que le sac d'engrais s'en était allé. J'ai relu cette déclaration et elle est vraie. Je réalise parfaitement que l'incident décrit ci-dessus est inhabituel mais je certifie que c'est une description véritable et précise de ce qui s'est vraiment passé." Signé Garry T. WILCOX. George E. WILLIAMS - Paul J. TAYLOR. Dés que nous avons eu terminé la lecture de cette décla ration, officiellement entérinée par deux autorités de police (ce qui ne nous a pas impressionné !) nous avons fait le rapprochement avec les histoires de contactés qui pullulent dans certains milieux soucoupistes (pour ne pas dire soucoupomanes !) et notre méfiance a été mise en éveil. Voulant vérifier le cas nous avons alors appris que : Garry T.WILCOX a été interrogé et contre - interrogé plusieurs fois par le shérif Paul J. TAYLOR et l'officier George E. WILLIAMS. Des renseignements ont été pris sur lui auprés de personnes appartenant à sa famille, auprés d'amis, d'alliés, de relations. 9 -Mis Priscilla BALDWIN, technicienne radar au cours de la Seconde Guerre Mondiale, ancienne voisine des WILCOX 9 avait fait connaître le cas, l'avait examiné, s'était fait conduite sur les lieux par Garry; son interrogatoire est plus détaillé que la déclaration de WILCOX. - Le docteur Berthold - Eric SCHWARZ, conseiller au Laboratoire des ondes cérébrales de l'hopital Essex County Overbrook CEDAR GROVE, New Jersey, a soumis le 17 WILCOX à un examen psychiatrique poussé. - Walter N. WEBB, conseiller du M.I.C.A.P a lui aussi examiné l'affaire. Trois personnes, MM. KOLUJLARZ, STEVINS et Me PHERSON, corroborent l'observation WILCOX par des témoignages sur un des OVNI vu dans la même région. Aucune de ces enquêtes, policières, clipéologiques, médicales, n'ont pu décoter un défaut menant à la conclu- sion que WILCOX a été affabulateur ou halluciné. FLYING SAUCER REVIEW N° SPECIAL UFO Porcipients SEPTEM BRE 1969. PP. 20 à 27. EXTRAIT DU LIVRE DE Henry DURRANT Premières enquêtes sur les humanoides extraterrestres." P. 93 à 98.