13 JUILLET 1961. BLENIN (1le Zélande) 00000000 prycho on farce. AT. Heures vers 05 H 30 Anty TEHOIN Mme Ellen MORELAND demourant OLD RETWICK ROAD à WOODBOURHE. RECIT DU TEMOINS" Aussitot aprés avoir allumé dans 1'étable, je traversais le pré pour rentrer les vaches et les traire. L'air était froid, le ciel couvert d'une épaisse couche de mages (dont 1'altitude fut estimée à environ 600 m par les enquêteurs). J'étais à peu prés arrivée au milieu du pré lorsque je pris conscience d'une étrange lueur verdâtre, directo- ment au-dessus do na tete dans les magos. ๆ Je m'arrêtai aussitôt pour bien observer ce phénomène, en ne demandant q'il aurait pu s'agir de la lune(tout en sachant qu'elle n'aurait pu tre là) quand, brusquement deux lumières verditres, semblables à doux gros yeux, apparurent à travers la couche de mages. Le sol fut il- luminé par cette lumière, irritante pour la vues en jetant un coup d'oeil sur moi, je m'aperçus qu'elle m'éolairait également. C'est en me retournant à ce moment là, que je vis une "soucoupo volante" à environ 15 m du sol, qui descen- dait lentenont, comme pour atterrir. Je remarquai doux "jets de fon(ou qui me parurent 1'stre) s'échappant de deux bbandes làmineuses situées 1'une en bas et l'autre en haut de la coque de cet engin. Elles étaient brillan- tes, couleur orangée, tirant sur le jame et, par moments, elles émettaient un léger sifflement. A moins de 5 m du sol, 1'engin s'arreta, s'immobilisa dans 1'air et resta là, comme accroché. Les lueurs s'étoignirent ob réapparurent sous un certain angle, chemne se mettant alors à tourbillonnor à grande vitesse un produisant un faible ronronnement. C'est à ce moment que je me rendis compte de présences "Inumaines dans cet Ctrange appareil. Son done transpa rent, était intérieurement éclairé par une lumière trés blanche dont je ne pus découvrir la source. Deux hommes y étaient assise 1'un derrière l'autre, séparés par la longuour d'un bras. Les corps étaient vêtus d'une sorte d'uniforme trás collant, qui me parut Otre d'une substance aluminisée. L'homme qui se trouvait en arrière se leva, passa on avant en tendant les bras et on regardant quel- que chose qui paraissait se trouver entre lui et son com- pagnon. Il me fut impossible de distinguer leurs traits, car leurs têtes étaient complètement enveloppées dans une oppèce de cloche opaque, argentée, rivée à leurs épaules. Puis l'homme se rassit, l'appareil bascula légèrement, les deux jets de feu réapparurent, comme au moment de la des- cente et, avec un "woohh " impressionnant d'air viblem - ment brassé, l'appareil séleva verticalement et disparut dans les muages à la vitesse de l'éolair, en émettant un bruit aigu. Quelques instants plus tard, la température monta nette- ment et 1'air présenta une odeur curieuse de poivre choud " Rovemie de mes émotions, je rassemblai mes vaches, qui n'avaient manifesté amoun signe d'inquiétude à la vue de l'appareil, et les dirigeai vers la cour. Je procédai à la traite comme à l'accoutumée, puis je me précipitai dans la maison pour raconter ce qui venait de se produire. ickéke Tout le monde fut bientôt sur pied. Te téléphonsi à la police; mon mari alla de son côté, raconter l'affaire que autorités de WOODBOURIE, qui prirent la chose au sérieux et ouvrirent une enquête. " POPULAIRE DU CENTRE " du samedi 14 OCTOBRE 1961 Recherches d'Archives de M. CATINAT Guéret -