MARDI 12 OCTOBRE 1954.- 0000000000 000000 TOULOUSE. "Le Mardi I2 OCTOBRE, vers 04 h. M. Pierre VIDAL, cuisinier, demeurant 76, chemin de Lanusse (Banlieue Nord de Toulouse, quartier Croix-Daurade) venait de se lever et se trouvait aux WC, quand il entendit un sifflement venant de l'extérieur. Se précipitant à la terrasse, tout en appe- lant son neuveu, M. Angel HURLE, qui dormait dans une cham- bre voisine, les deux hommes purent voir une sorte de fusée géante, si lumineuse qu'on n'en voyait pas les contours, décoller et disparaître dans la nuit, le temps d'un éclair. Le propriétaire du champ est . Gérard GICHAOUA, domicilié 78; chemin de Lanusse. La fusée " émettait une lumière orange et vert sale. Après la fin du déjeuner, l'oncle et le newru se rendirent sur place. Aucentre d'une surface circulaire de 4 à 5 m de diamètre, et marquée par des condensations de vapeurs grasses couvrant l'herve, ils constatèrent l'existence de 4 empreintes, délimitant un traprèse dont la grande base mesure I m 40,la petite base Im 20, et les côtés I m 20/ Une odeur ressemblant à du pétrole se dégageait des herbes qui ne présentaient aucune trace de brûlure. Enquête de poli- ce et de la sureté militaire. AUCUNE RADIOACTIVITE NE FUT DETECTEE." LA DEPECHE DU 13 OCTOBRE DU 15 OCTOBRE - DU 14 OCTOBRE M NOTE DE M. NAVARRO qui a fait une enquête : Je me suis rendu, début Mai 1972, 76, chemin de Lanusse et c'est Madame VIDAL qui m'accueille devant la grille du petit jardin de la maison. Elle est plutôt surprise de ma visite, 1.00000 ST TELU ear, me dit-elle, " mon mari est mort en 1963, après une longue maladie." Mais quand je lui apprend le but exact de ma venuo, elle fronce les sourcils et me déclare tout de go, qu'elle n'a rien à dire. J'inainte, mais elle ne veut rien dire, elle se refuse à me faire entrer et nous parlons sur le trottoir devant la grille du jardin. J'apprend cependant que les tra- ces se trouvaient justo derrière la maison et qu'elle n'a pas été témoin du phénomène ; c'est son mari et son nouveu qui lui ont tout raconté. "Les jours suivants, re dit-elle, nous avons été envahi par les journalistes, la police, les militaires qui faisaient des relevés sur place. Un " savant" a eu très peur en étu diant les tracon, il disait qu'il allait mourir, qu'il no fallait pas y taucher car c'était radioactif " (le journal déclare le contraire). His elle ne veut faire avon comentad re et se refuse même à coramiquer l'adresse de son novos, * Vous êtes jeune, me dit-elle vous feriez mieux de vous into- reaser à autre chose, tout ça c'est de la blague," Je lui fait remarquer que cela revient à dire que non mari lui a fait une blague, mais elle me certifie la véracité de sos dires. L'objet a réllement existé. Finale ent, elle me mot gentiment à la porto. (J'ai temu ume 1/2 Heure).