Ier JUILIET 1954.- BASE DE GRIFFISS.- 000 000000 Heure MIDI, U.S.A... PO Le radar de la BASE oapte un étrange signal, on crut d'abord à 1'écho d'un avion mais quand on eut précédé aux vérifications d'usage on s'aperçut qu'aucun avion ne se trouvait dans les para- ges. On fit décoller un STARFIRE F. 943 moins de deux minutes plus tard, le pilote du chasseur l'avait repéré une chose luisante en forme de disque qui se trouvait à quelques kilomètres au-dessus de son appareil. Le pilote cabra son avion nit less gas et fonça vars lui. Il ne se passa rien tant que l'opérateur n'alluma pas son poste de radio pour inviter l'inconnu à se faire recommaftre. L'espace qui les séparait se réduisait rapidement. L'inconnu devenait très visible. Il était immobile. Alors le réacteur de l'appareil s'ar sta brusquement et le poste de pilotage devint un enfer. Le pilote raconta plus tard que o "était comme s'il avait reçu en pleine figu- re le souffle d'une lampe à souder. Comme il n'avait pas le temps d'avertir la Base il oria à l'opérateur de sauter. Quelques secon- des plus tard à demi atougle et suffocamt 11 sautait à sont tout. Il eut juste le temps tandis qu'il était sur le dos, d'apercevoir l'objet quiétait énorme et ciroulaire. Les deux aviateurs atterri- rent sains et saufs tandis que l'avion s'écrasait sur une automp- bile et deux maisons tuant quatre personnes dont 2 enfants. "TES SOUCOUPES VOLANTES AFFAIRE SERIEUSE" F. EDWARDS.