NOVEMBRE 1954.- LA ROCHE EN BRENIL.-(21) Heure 10 H 09 Témoins : M. Raymond R, et un garçon de 13 ans. "Ma profession m'oblige à travailler dans la nature. Le VENDREDI 5, je me trouvais sur le territoire de la commme de LA ROCHE EN BRENIL (Côte d'Or), à 3 kms au Sude de cette ville, dans les près qui bordent la Route Nationale Paris-Nice. Le petit jeune homme (13 ans) qui travaillait avec moi me fit remarquer à environ 500 de nous, une masse énorme, grise, en bordure du bois qui se déta- chait nettement sur les feuilles jaunes. Il était alors 10 . 09 Je me précipitais avec le gamin en direction de l'objet, après avoir fait 100 m, nous aperçunes des lueurs orange, tout autour de l'engin. J'ai pensé tout de suite, à me soucoupe. Je suis donc retourné à notre point de départ, pour cherchera ma serviette qui contenait un appareil photo 6x6. Nous avons couru très vite vers l'engin mais en passant par le bois pour éviter d'être vus. C'est alors qu'apparut à nos yeux une scène dont je me souviendrai long- temps. Nous étions dans le bois à 40 m de la soucoupe, qui elle, était dans le pré. Un homme était dehors à 5 m de l'engin il por- tait une combinaison incolore, d'appartence en matière plastique. Les épaules étaient très développées. Il y avait sans sa combinai- son dans son dos quelque chose qui lui faisait une sorte de bosse, il avait un casque gris foncé, d'un diamètre d'environ 40 on qui partait des épaules. L'homme qui mesurait I m 50 à peu près, mais pas plus, tenait sur sa poitrine une caissette d'un noir brillant. Il se déplaçait lourdement en tout sens, dans un rayon de 3 m; 11 avançait, s'arrêtait, se déplaçait, revenait. Le manège a blenduré 10 minutes. La soucoupe avait environ 9 mètres de diamètre. Je vous fais un croquis, d'après les photos, ce qui sera plus facile qu'une description. Du disque s'échappait une lueur faible tantôt orange, tantôt verdâtre. Un bourdennement semblable à celui d'um transfo caractérisait le bruit de l'engin. La coupole: haute de 3m surmontait l'engin, lui-msme d'une hauteur totale d'environ 5 mètres. La coupole était entourée de hublots assez rapprochés, Je pris alors tant bien que mal, coup sur coup, les 7 photos qui me restaient. L'homme repartit dans la soucoupe en passant par une porte située à la base de l'engin, et qui glissa de l'in- térieur. Alors deux autres hommes en sortirent dans le même dé- guisement. Je signale en passant qu'une lueur vive régnait à 1'intérieur de l'engin. J'eux très peur et le gamin aussi. L'un des 2 hommes tenait dans ses mains quelque chose qui ressemblait étrangement à un pistolet mitrailleur, dont le canon partait en s'évament. Le second tenait une boule blanche, grosse comme les deux poings. Ils vintent à l'endroit exact où s'était arrêté leur collègue, ils tournèrent le dos, je n'ai pas pu voir ce qui se passait mais une fumée bleue lumineuse s'échappa. Le gamin au comble de l'émotion, partit en courant à travers bois, en direc- tion de la R.N. Il fit beaucoup de bruit en passant sur les bran- ches mortes. Immédiatement, un des hublots de la coupole s'éclai-> ra vivement d'un vert oru. Un faisceau balaya les parages où cou- rait le jeune homme. Je m'aplatis contre le talus. se) Alors le gosse pourra un eri aigu. J'ai eru m'évanouir à ce moment Quelques 20secondes plus tard, un sifflänts phige sifflement puissant et la soucoupe décollait à la verticale. Michel (le gos- avait un genou à terre, la tête basse, dans l'impossibilité de se relever. Sa figure le piquait. L'ayant remis sur pieds, les des jambes croulaient, mais il marcha et tout se dissipa. Néanmoins nous sommes allés à l'emplacement où était l'engin. L' herbe était brûlée et la terre noire et meuble comme de la Suite La Roche en Brenie cendre sur un rayon de 3 mètres. Il était 10 H.55. Plus loin, je retrouvai une partie de la boule blanche. C'était un genre de coton hydrophile, mais quelle ne fut pas ma surprise en la saisissant. Lourde comme du plomb.( Je l'ai pesée à la maison, 428 gr.) A côté restait également une poudre jaune ressemblant à du soufre. Je récu- pétal ce que je pus; elle était très lourde également, 78 grammes que je remis dans un papier. Mais à peine arrivés à la voiture, le papier était rongé et les doigts me brillaient. Le lendemain des cloques gonflées d'eau et de sang se formèrent, A présent tout se cicatrise, mais mes doigts restent sensi- bles, la peau très noire est redevenue normale. (Article transmis par M. Patrice SALVY de Dijon) Fichée au Catalogus VALLEE (personnel) sous le N° 329. 000000 5 NOVEMBRE 1954. HEURE/ 18 H. 05 LA ROCHE EN BRENIL LES MESES TEMOINS / M. Raymond R. et Michel ( 13 ans) "Nous étions à peine remis de nos émotions qu'à 18 H. 05, 9 objets à reflets orange traversaient le ciel d'EST en OUEST dans un siffle. ment assez prononcé qui attira l'attention. L'un d'eux piqua brusque- ment à la verticale tandis que les 8 autres disparurent comme l'éclai air. D'après les nuages ils se trouvaient à 8,000 mètres d'altitude. A 100 mètres du soll, l'engin s'immobilisa; nous aperçumes alors la forme d'un disque. Puis la lueur devint pâle. Le sifflement très doux et le disque descendit doucement en se balangant. Il toucha terre à l'endroit exact où 9 heures plus tôt nous m'avions déjà observé le même phénomène. La lumière orange devint très, très pâle, avec par instant des reflets verdâtres. Ni le jeune homme, ni moi- même n'avons osé nous approcher. Nous en étions approximativement à 200 mètres, Environ 10 minutes plus tard le soucoupe déesllett assez doucement jusqu'à 10 m du sol, puis dans une immense gerbe orange, elle monta à la verticale, la boule devint vite très petite et disparut à l'infini. Sur 7 photos prises, 4 seulement sont très nettes, car j'ai changé plusieurs fois de diaphragme. Après agrandissement on distingue très nettement l'homme, ses habits en dessous la combinaison sont vraisemblement noirs. Il est impossible de distinguer la tête de même que les mains qui sont cachées par des gants opaques. J'ai fait analyser la poudre et le coton par un ingénieur chiniste qui est resté perplexe devant ces 2 corps inconnus. Mais il apparaît que dans la poudre, entre en grande proportion du nitrate d'argent. Ces pièces à conviction, je les conserve précieusement, je ne les révèlerai pas, car maintenant on tourne toujours au ridicule les témoins de pareilles rencontres; mais je voudrais que le public sache que les soucoupes existent bien, c'est pourquoi je vous auto- rise à publier mon récit, Quelles soient interplanétaires ou puis- sance étrangère, je ne sais pas, mais il est incontestable que ce Tayon soit utilisé comme arme qui peut avoir des conséquences inime- ginables; lorsque le gosse fut stoppé, il était à plus de 80 mètres de l'engin dont 40 mètres d'épaisseur de taillis. Conolues. Je ne suis pas fou. J'ai toute ma raison, et un jour si le besoin s'en fait sentir je pourrai alors prouver qe que jusqu'à présent la majeure partie des gens ont cru être une hallucination. Recevez Monsieur, mes salutations ete///// E Article transmis par Patrice SALVI de DIJON. R.R.