NOVEMBRE 1954.- SAINT WAAST LA VALLES.-(59) 00000000 DOOOO environ mit Témoin M. Roland X.. feateur 27 ans. "Je revenals de voir ma fiancée, la route était déserte, le ciel clair, constellé d'étoiles, il y avait clair de lume; 11 golaft. A peine éloigné de 800 m de la nationale 49, la lampe de mon vélo se rdt à clignoter fortement, s'étoingit, se rallume, ainsi de suite, pourtant il faisait soc. Je fus surpris de voir à ma gauche, dans le lointain de la plaine, une petite boule ludneuse de couleur fou, qui semblait au ras de 1'horison. Etonné, je ralentis un peu afin de regarder ce que cela pouvalt tre. La boule lumineuse grossissait à une d'oeil etje me rendis compte qu'elle venait rapidement dans ma direction; elle eut bientôt la grosseur d'une petite sange et fonçait toujours droit sur moi ! Apouré, j'abandomais précipitemment mon vélo et sautais dans le foss! gauche il n'en existait pas à droite ! - pour me cacher. Je lovais la tête pour voir ce qui se passait.... elle aven- çait encore, toujours silencieuse, maintenant grosse comme une pleine lune, à distance difficilement évaluable 400 m ? Je me mis debout pour mieux voir encore, alors, elle s'éteignit brusquement, comme on étaient uno lampe à la maison ! Poussé par la curiosité, je sors du fossé, essayant de comprendre ce qui s'est passé. J'avance dans la prairie de quelques 6 à 7 m dans la direction de l'apparition..... Rien, absolwent rien ! Je retourne alors sur le chemin et enfourche ma bioyclette pour partir. Soudain, la boule réapparaft brusquement mais beaucoup plus près et beaucoup plus volumineuse, comme un gros soleil à 50 m environ. Toujours couleur feu, non éblouissante, elle a depetides variations d'intensité lumineuse etje vois qu'elle tourne sur elle-même, sans pouvoir préciser si c'est de droite à gauche ou inversement. Terrifié, je replonge dans le fossé.... mais l'observe du coin de l'oeil! Elle avance au ras du sol, à 50 em ou I m, je n'ai jamais pu le préciser. Je réfléchis rapidement que je ne peux périr ici, seul dans mon fossé ! Il faut agir : je me lève, et la voilà qui palit fort, redevient lumineuse, diminua de grandeur comme un ballon qui se dégonfle, et en un éclair elle a disparu comme si elle s'éloi- meit droit devant moi, légèrement en montant. On aurait dit qu'elle réagissait lorsque je me relevais ! Désemparé et tremblant de pour, je quittais préoipitemment le fossé, réanfourbhans mon vélo, et appuyant de toutes mes forces sur les pédales, je me suis éloighé de l'endroit en prenant bien soin de ne pas brancher la dynamo, pour rouler au clair de lune et ne pas me faire repérer per " ce machin ".t Rentré chez mi, j'ai réveillé mes parents qui ont eu de la peine à croire et n'ont reproché de ne pas être allé les chercher... ils en ont de bonnes !!! Je n'ai pas dormi cette nuit là. Tôt le matin, j'ai discrétement confié cet évènement peu ordinaire à me flancée; J'en tremblais encore, J'y pensais sans cesse et cela me genait dans mon travail. J'étais extrêmement nerveux et je le suis resté pendant plusieurs mois. J'ai révé de cette boule et en ai fait des cauchemars...... (enquêteurs: MM/ JM BAVAY - J.M. BIGORNE - P. RAUCHE L.D.L.N. N 123 (Mars 1973)