Aber i LVAIN BELLEGARDE. TE DE M. GIRAUD.- LES FAITS. nutilà; le témoin fut réveillé par une lumière anormale qui entrait dans sachambre. Il se leva et se rendit à sa fenêtre. Tout le paysage baignait dans une luminescence bleutée, comme s'il y avait eu un fort clair delure, mais il n'y avait pas de lune. Intri- gué par cette luminosité, le témoin ne phtten déterminer la source. Puls, à 200 m de la maison, 11 remarqua une forme blanche reposant au sol au pied d'une haie. La première remarque qui lui vint à l'es- prit fut qu'il s'agissait certainement d'un de ses veaux. En effet, M. CARTON avait laissé ses bêtes dans un pré au-dessus et il se dit que l'une d'entre elles avait de franchir la hale et était peutestre malade. La forme blanche mesurait environ 2 m de long et ressen- blait bienà un veau mais le témoin la trouve tout de même bien "elaire" (lumineuse). Même sous la luminosité qui baignait la can- pagne, un veau n'aurait pas dapparaître aussi lumineux. Et à la fin, M.CARTON finit par conclure que cela était vraiment très étrange et que la lumière inexplicable provenait de cette " chose ". Il allums et commença à s'habiller. Au bout de quelques minutes, 11 fut prot. Il sortit, contourna sa maison et constata alors que tout avait dis- paru. Le lendemain, il se rendit sur les lieux, et ne découvrit aucune trace. A tout hasard, il prévint la gendarmerie de BELLEGARDE qui se livra à une enquête sur le terrain. Enquête qui ne révèla rien. HISTORIQUE La relation sommaire et déformée des faits fut publiée dans CENTRE MATIN du 04/II/1954. L'enquête suivante appartient done à la série normale des contre enquêtes sur la vague 1954. LE TEMOIN. Nous avons betrouvé H. Camille CARTON, âgé de 75 ans. Bien que les faits remontent à près de 20 ans, ils sont restés vi- vaces dans sa mémoire. Le témoin se livra même pour nous à une re- constitution de ses faits et gestes de cette mult là, Il nous montra les lieux et nous donna de nombreuses explications. C'est un agriculteur simple et direct dont la bonne foi ne saurait être mise en doute. LES LIEUL, ST SYLVAIN DE BELLEGARDE e ditus dans la Marche Creu- soise, c'est-à-dire dans un paysage vallomé de prairies et de bois (taillis). C'est une région à la fois pauvre et peu peuplée où les rares fermes sont groupées en petits hameaux Si nous pouvons nous permettre de porter une appréciation, nous dirons que les lieux sont extrêmement propices à faire passer inaperçuex toutes manifestations possible de " Soucoupes Volantes ". D'ailleurs, aucun autre cas ne fut depuis enregistré dans la région. L'atterrissage en question se produisit à 200 m environ de la maison du témoin, au pied d'une haie, sous un châne. S'il n'y avait pas eu la curieuse luminosité qui bai- gnait l'endroit, l'objet par lui-même serait passé inaperçu. Il au- rait été pris pour un veau jusqu'au bout et seule l'absence de traces sabota sur les lieux aurait pu paraftre étrange au témoin. (eq st GTE. Elle fut aisée dans la mesure où il fut possible de re- fouver le témoin. De plus, nous emes la chance de rencontrer M. Fors nand CARTON, fils de notre témoin direct et qui nous apporte des ren- seiggaments complémentaires très intéressants. En effet, cette nuit- 1, M. Fernand CARTON se réveilla lui aussi mais ne se leva pas. Il remarqua bien une lueur bizarre qui filtrait dans sa chambre mais comme sa fenôtre était orientée dans la direction opposée; il ne vit pas la chose. Toutefois, à un moment il eut conscience qu'une lueur intense (comme celle dun are électrique) traversait le ciel à vive allure pour disparaître en direction du SUD. Il n'y porta pas particu lièrement attention, mais le lendemain, lorsque son père lui fit part de son observation, il rapprocha les deux faits. C'est lui aussi qui le lendemain se rendit sur les lieux de l'atterrissage. Le sol était normalement sempé détrempé et malgré cela, ilne releva aucune trace. L'herbe n'était ni tassée, ni aplatie, et la terre n'était ni sèche, ni plus hundide qu'ailleurs. A croire que tout cela n'avait été qu'un simple rêve. Ce qui bien suf n'était pas le cas. Et ce n'est pas la première fois que les " Soucoupes Volantes " passent sans laisser de trace. De plus, il est bon de noter que durant son observation, M. Camille CARTON, put voir (grace à la luminosité qui régnait) ses bêtes dans le pré un peu plus haut. Elles ne semblaient pas le moins de monde incommodées parla mystérieuse présence lundneuse. Par la suite, le témoins ne constata chez elles aucune perturbation et lui-même ne souffrit d'aucun trouble physiologique? Une enquête sur place fut effectuée par la brigade de Gendarmerie de BELLEGARDE qui communique le fait à la presse. De la discussion qui s'établit entre les gendar- mes et le témoin, il sessortit que c'était certainement le fait d'a voir allumé la lumière dans la chambre (lorsque le témoin se décida à s'habiller pour aller voir) qui provoqua le départ de l'objet. Départ dont le filsfut imparfaitement le témoin. Les gendarmes décla- rèrent même que le témoin aurait dessayer de s'approcher sans avoir allumé chez lui. Seulement voilà, avant de constater la disparition de la chose, le témoins n'avait pas du tout conscience de se trouver face à une Soucoupe Volante. Et dans ces conditions, pourquoi aurait- il pris des précautions pour s'approcher d'un de ses veaux qu'il croyait malade ? L'élément étonnant de cette observation réside dans la des criptions des phénomènes lumineux qui se manifistèrent. L'objet en lui-même n'était pas très lumineux puisqu'au début 11 put être confondu avec un veau. Et pourtant sa quasi absence de luminosité fut suffisante pour éclairer le sol sur un rayon de 200 m au moins. Il serait peut- être plus exact de dire que l'objet baignait dans une lumière car le témoin ne prétendit jamais qu'elle était émise par lui (dans ces con- ditions l'objet aurait détre particulièrement aveuglant et ce n'étai as le cas. Le témoin ne fit que rattacher les 2 phénomèness objet dère l'un à l'autre. Qui plus est, cette lumière était uniforme. lointain était éclairéavec la même intensité que l'environnement médiat de l'objet (comme s'il s'était agi d'un clair de lune, is ce n'en était pas un). tuellement, un tel phénomène demeure inexplicable et ce n'est pas plus la Tère fois que la lumière " émise é par me Soucoupe lante nous demeure incompréhensible. Il y a là une autre forme de rayonnement pare-lumineux " que nous pouvons juste répertorier faute pouvoir la comprendre. ant à l'objet lui-même, et bien que le témoin en ait eu une image arfaitement nette, ilne put en préciser la forme. ut au plus, put il dire que c'était allongé, que c'était blanc, as ça avait la " forme et la taille d'un veau couché.... Joutons encore que le témoin insista sur le fait qu'il ne savait et comprenait pas ce que c'était mais qu'il n'avait vu eucum Stre ou autre marsouin ou j'sais pas quoi...." évoluer autour de la es photographies et relevés des lieux furent effectués.