16 JUIN 1952.- HAUTEKINT.-(59) 000000 Heure: 20h 30 M. Jean H. est fonctionnaire à MAUBSUCE. Il est igé de 50 ans et avait donc 30 ans au moment de l'observation. "C'était le lundi 16 JUIN 1952. J'habitais à HAUTMONT. Après mon travail au bureau, j'allais le soir jardiner à 100 m de chez moi. Ce soir là j'étais dans mon jardin avec mes outils. M. B. (60 ans en ce tempe 1) était là lud aussi pour cultiver son lopin de terre. Handicapé par sa jambe artificielle, il éppouvait beaucoup de dif- ficultés pour bécher. Jo nettoyais un pare d'oignons tandis que M.B. s'affairait à quelques mètres de moi, un peu en retrait. Tout à coup, je l'entends qui dit " TIENS ! TIENS !". Mais trop occupé, je n'y prends pas garde. Denouveau il laisse échapper les nomes exclamations. Alors je me retourne légèrement pour voir ce qu'il a et je l'aperçois interloqué la boche à la main, la tête en l'air. Regardant alors dans la nome direction, je vois dans un ciel bleu coré, très pur, très clair, sans aucune étoile, une chose qui m'apparaft pendant fraction de seconde comme un avion à réaction qui arriverait vers nous Mais non, c'est trop voluminox et cela ne bouge pas ! Je die à mon voisin' mais c'estun des célébres cigares volts dont on a parlé aux Etats This ! En effet cela ressemble à un bâton épais, d'aspect métallique, avec comme des boules sombres aux extrémités arrondies de l'objet. Doux minutes plus tard, il s'épaissit lentement et en 4 ou 5 m devient insensiblement un armeau ! Et nous voyons le ciel en son [P:6) milieu. Cet objet il s'est déplacé à 1'EST, vers le clocher d'HAUT- MONT et s'est de nouveau immobilisé.Son bord droit a commencé à 'élever et en quelques minutes il a pris une position à 45°/ C'était extraordinaire ! Nous nous demandiohs ce qui allait se passer Nous étions ébahis devant oe monstre d'aspect métalliques inconnu et totalement silencieux. Puis il s'est mis à diminuer de diamètre lentement, et nous nous sommes rendu compte qu'il s'éloignait lenteme ment vers le NORD en montant dans le ciel; il a pris de plus en plus de vitesse; nous l'avons suivi du regard jusqu'à ce qu'il ne soit plu qu'un point dans le ciel. Mais jusqu'au dernier moment de visibilité nous avons distingué les boules sombres de ses extrémités qui n'ont jamais bougé. Une fois de plus nous en avons conclu qu'il n'avait Jamais tourné sur lui-même L.D.L.N. N° 121 (Déc. 1.972)