20 MAI 1950.- FOURCHAMBAULT (limite Nièvre-Cher) (69.03) 0000000000000 Heure: 16 k Micheline G... se rendait à FOURCHAMBAULTen longeant la Loire, lorsqu'elle fut environnée par une lumière éblouissante et vit el surgir 2 grosses mains noires énormes qui s'appliquèrent avec vio lence sur son visage. Sa tête fut tirée en arrière et elle sen- tit le contact d'une poitrine très dure ainsi qu'un grand froid. Elle eut l'impression d'être électrocutée ou paralysée. Elle fut traînée au sol, reçut un coup de genoux dans les reins, et enten- dit alors un rire qui la fit frissonner. Elle fut entraînée très vite à travers orties et épines, puis l'entendit dire : "Ca y est, on la tient." Soudain, l'agresseur la lacha. Le témoin re- garda et vit les branches et ronces bouger et s'aplatir comme au passage d'un homme invisible. Reprenant ses esprits, elle reprit son chemin et soudain, un grand bruit, un souffle d'air chaud et un tourbillon violent la jetèrent au sol; elle vit encore la tive lumière. Blessée, griffée, hébétée, Micheline put rentrer chez elle. Traces de brillé découvertes par la gendarmerie qui a enquêté. L.D.L.N. N° 86. Janvier/Février 1967. Page 02 Charles GARREAU (1970) page 100.