Tot AOUT 1947.- ARECIES (73) 000 no 00 Heures vers 20 H 30 TEMOINS M LANGEVIN femme de l'ancien Directeur Général du Métropo- litain de Paris. Sa soeur, The STONE, la fillette de Me LANGEVIK, sa nièce at n voisin. LIEU : lestémoins sont devant le chélet, altitude du village 1055 m, bâti dans une cuvette bordée de montagns. CIEL CLAIR, CHATEUR ACCABLANTE. SOUDAIN, on voit apparaître, en silhouettes sombres sur le ofel lund- neux, 1h à le soleil vient de se coucher, trots objets arrondis qui semblent sortir de la montagne ou plutôt de derrière elle. Ils sont disposés de telle sorte qu'ils forcent un triangle à peu près équila- téral, pointe dirigée vers le haut. L'ensemble s'approche du village, à une vitesse n'excédent pas 200 km/h et paraft suivre un chemin rectili- gne orienté dans la direction 0.8.0 - E.E.E. Les objets passent près du chflet à une distance minimale de l'ordre d'un kilomètre. Poursuivant leur chemin vers la Suisse, ces objets mon- trent maintenant aux témoins leur partie supérieure éclairée par le soleil couchent. D'apparence métallique, chaque objet se compose de deux parties : une partie lenticulaire, qui paraft tourner, dans le nene des aiguilles d'une montre, et d'un dôme fixe, le tout ayant l'allure d'un chapeau dépourvu de comoavité. Chaque objet est incliné sur l'ho- rizontale et se reut " ventre en avant" ou si l'on préfère " dome en arrière ". Finalement les 3 objets disparaissent à 1'E.N.E. derrière les montagnes. Aucun bruit. Aucune lumière. PHENOMENES SPATLAUK N° 16 page 26. Envoi de M. QUINCY. ARCHIVES DE TULIE.