AOUT 1944.- Prés de MONT DE MARSAH.-(40) 0000000 Foudre en Boule- interesant Heures 17 H. TEMOINS # me ANDRES, 35 ans et oing de ses amies. LIEU un petit village tout prés de Mont de Marsen, dans la blahchisserie du villages Conditions atmosphériques Il venait d'y avoir de l'orage, lo tampa se remettait au beau, le ciel était dégagé LES FAITS Les six blanchisseures travaillaient dans la pièce principale. Cela commença par un gros orage, le temps était très lours, puis une grosse pike bruyente se mit à tombor, labourant le sol. Pendant ce temps, les six ouvrić- res s'acharnaient à lour thohe. Puis la pluie censa, les munges partirent, le soleil réapparut. L'air dedevint plus frais, plus respirable. Les travailleures se miront alors à parler de leurs affaires personnelles, dos ravages de la guerre en cours. Un quart d'heure plus tard, quelques unes de ces femmes se sentirent mal à l'aise, contractées, somblant pressentir un duhonent, mais elles contimèrent leur labeur. Mais voilà que par la fenttre domment directement sur l'ex- térieur et qui était maintenant grande ouverte, elles onton- dirent des cortes de crépitements discrets. Puis elles virent apparattre un étrange ballonnet d'environ 30 an de eiamètre, qui s'avengait pratiquement silencieusement, selon une trajectoire courbe, qui 1'mmenait vers le bâti- mont et cela à une altitude qui décroissait avec son approch 11 descondait du ciel..... Il ralentit sa vitesse et entra dans la pièce en empruntant la fonttre ouverte. Il semblait transparent, mais bien réel. A certains moments sa surface extérieure somblait donse, comme un brouillard gris, et à d'autres moments, elle devenait translucide et un peu bril- lante. Il avangait maintenant comme en flottant, avec quel- ques petits soubrosarts légors qui inquiétaient les témoins. Los dames étaient clouées sur place par la peur. Puis le phénomène se mit à flotter à deux poucos au-dessus de la ito de chacune des blanchisseuses, redescendant un peu entre chaque personne..... Bien que cela parut inoffensif, ellos ne bougèrent pas d'un millimètre, se contentant de suivre des yeux les évolutions régulières de la boule... Aprés son trajet pratiquement on ore de oerolo, pour our- voler les têtes et y stationner quelques secondes, il ne C'est là restait plus que lêne ANDRE à" coiffer " qu'arriva le plus extraordinaire. En fin de course, la boule ralentit sa vitenne pourtant déjà faible et am liou de remonter au-dessus de la dernière tête, y RENTRA, ou plutot LA TRAVERSA, Y RESTANT QUELQUES SECONDES, avant de ressortir et de s'élancer vers la fenêtre où elle n006- léta sa vitesse pour partir en oblique dans le ciel.... Lors de sop stationnements rapprochés, les dames ressen- tiront une sorte de légère brise tiède. Sens odour, sans bruit. Elle ne projotait rien, évoluait telle que relaté ci-dessus, dans un silence qualifié d'exaspérant. La pauvre femme " TRAVERSER " par le phénomène raconta ensuite qu'elle n'avait pas souffert, mais qu'il lui avait semblé avoir ou à ce moment précis, la tête comme dans du coton (sic). Elle ressentit réellement des cortes de petites vibrations qui la ohatouillaient. Les autres témoins a'étaient précipités vers la victime, mais à lour stupéfaction, celle ai était trés bion et trés décontractée; elle se sentait mieux que toutes les autres et ne reagentit rien de désagréable oe jour là. Mais quelques jours aprés olle souffrit de terribles maux de tête, tels qu'elle n'en avait jamais eu, et dû faire appel à un nèdocin. Celui-ci la soigner pour les nerfs, mais les maux contimèrent et le malecin ne comprenait plus, car la patiente se garda bien de lui relater les faits le souffrit terriblement de la tête encore longtemps avant que cela passe avec les années et cela la fatiguait énormément, sans autoune température. ajoutons que 1 (nergie électrique était absente du local; en 1944 on repassait par chauffage sur le poble. Fait authentique. OVNI ou foudro on boulè RECUEILLI PAR. LECAT EN TE 1974. LDLN N° 168 (Octobre 1977) P. 15 at 16